Le gouvernement rwandais a renouvelé ses attaques contre la France, affirmant que notre pays était directement impliqué et dans la préparation du « génocide », par un « rôle direct » et dans « son exécution même ». Robert Kagame, le président actuel du pays, a identifié les militaires français comme des acteurs directs de massacres.
« Les puissances occidentales aimeraient que le Rwanda soit un pays ordinaire, comme si rien ne s’était passé, ce qui présenterait l’avantage de faire oublier leurs propres responsabilités, mais c’est impossible. Prenez le cas de la France. Vingt ans après, le seul reproche admissible à ses yeux est celui de ne pas en avoir fait assez pour sauver des vies pendant le génocide. C’est un fait, mais cela masque l’essentiel : le rôle direct de la Belgique et de la France dans la préparation politique du génocide et la participation de cette dernière à son exécution même. […] Interrogez les rescapés du massacre de Bisesero en juin 1994 et ils vous diront ce que les soldats français de l’opération Turquoise y ont fait. Complices certes, à Bisesero comme dans toute la zone dite “humanitaire sûre”, mais aussi acteurs. »
Louise Mushikiwabo, la ministre rwandaise des Affaires étrangères, relayant les attaques de son président, a exhorté la France (?) à « regarder la vérité en face ». Ces accusations, qui suivent celles au sujet d’un autre prétendu génocide, vise à la même finalité : parvenir à obtenir des excuses officielles prélude à un vaste racket des Français.
Pour toute réaction, le gouvernement a fait savoir samedi qu’il ne participerait pas aux commémorations dudit génocide qui doivent se dérouler ce lundi. Le gouvernement avait dit regretter « de ne pouvoir prendre part aux commémorations ». Le voyage de l’Africaine Christiane Taubira, ministre de la Justice en France, a été annulé. Le gouvernement affirmait sa « surprise » face aux « récentes accusations portées à son encontre par le président du Rwanda […] en contradiction avec le processus de dialogue et de réconciliation engagé depuis plusieurs années entre nos deux pays […] Dans ces conditions, Mme Taubira, garde des sceaux, ne se rendra pas ce lundi à Kigali » a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
Suite aux messages indignés des autorités rwandaises, le gouvernement d’occupation a fait savoir qu’il serait représenté, en la personne de l’ambassadeur de France au Rwanda Michel Flesch. Ce dernier sera donc la caution officielle des attaques contre les militaires français.
L’attitude indigne des autorités sonne comme un nouveau camouflet infligé à la diplomatie « française » après les échecs en Ukraine, en Syrie, au Mali et en Centrafrique notamment, et encore les graves crises diplomatiques avec le Maroc ou le Qatar.
Parce que vous, à « Jeune Nation », vous faites confiance à ces honnêtes personnes que sont Mitran, Balladur et Juppé ?
[Non, me répondrez-vous, des trémolos dans la voix, mais : « À notre armée ! »…]
Ce n’est pas du tout une question de confiance dans les politiciens, ce n’est pas essentiellement une question d’idéalisation de notre armée, une simple question de réalisme pour qui connaît l’armée française. Croire que des militaires français aient pu de sang-froid et volontairement participer à des massacres, c’est mal connaître notre armée républicaine pour qui un mort dans le camp en face conduit à une enquête.
Pour les Belges, on ne se prononce pas. Peut-être qu’il y a eu autre chose genre : « Eh ! Ils vous ont volé vos frites là-bas »…
Hum… Non cette théorie n’a objectivement aucun sens. Sinon celui, après avoir obtenu de la France un « acte de repentance » comme disent les occupants, de conduire la France sur la longue route des excuses permanentes, sonnantes et trébuchantes…
Je ne pense pas non plus que les soldats français aient participé directement au génocide des Tutsis – lesquels ont une culture du mensonge, comme l’avait souligné un des participants aux divers procès –, c’est à dire en massacrant femmes et enfants – pourtant, à voir les troupes passées en revue par Manu le Chimique avant une manif antipédés, on peut avoir des doutes légitimes (une lacrymo en pleine gueule en France, c’est l’équivalent d’un coup de machete chez les Nègres, voir mon fond d’écran Twitter…) –, parce qu’arrivés trop tard. (Dans le feu de la pleine action, l’“émulation” entre tueurs aidant, je ne dis pas.) Mais ce dont je suis certain, c’est que le socialaud a le goût du sang – Algérie…Rwanda –, qu’avec Mitran, Balladur, Juppé, et tout la clique, la “France” – que de crimes ne commet-on en Son nom ! – a largement armé et encadré l’armée et les supplétifs rwandais génocidaires, la crapule mitrandienne et bec-de-lièvre, profiteur de guerre, Barril en tête. Lisez « le Parisien » d’aujourd’hui, accablant !
il y a eu un d’autre projet durant cette période turkoize, regarder vers les mines d’uranium c’est par là que commence et prend fin cette histoire, avec l’avion Russe aussi, (ils sont beau en costumes blanc sur le tarmake).
Quoi dire quand vous mettez les enfants, femmes et hommes de coté, quoi dire quand vous devez prendre toutes les armes du village, quoi dire à part oui Chef, et bien monter des actions pour aider les hommes femmes et enfants en bravant toutes les interdictions, en prenant risque de sa vie pour l’autre, c’est l’art de la guerre ça : prendre soins de l’autre.
Maintenant reste à trouver la pensée qui permet de trouver le repos sans mettre en danger sa vie cérébrale.
Nina 21RIMA