L’administration Trump a commencé à remigrer chez eux quelques clandestins et délinquants étrangers qui avaient été préalablement capturés aux USA.
La manière a été drôle puisque généralement, les prisonniers ont été expédiés par avions de transport militaires et livrés tels quels sans avoir demandé d’autorisation. Les choses n’ont pas traîné.
Le Brésil a reçu ses compatriotes.
Puis cela a été le tour de la Colombie, qui a tenté de faire des histoires :
- Bogota a refusé que les avions US atterrissent et a cherché à compliquer le processus en réclamant un traitement bureaucratique de la chose.
- En réaction, Washington a annoncé la fermeture de son service de délivrance des visas dans son ambassade colombienne.
- Le dirigeant colombien a rétorqué qu’il allait se venger sur les citoyens US présents dans son pays qui n’auraient pas respecté toutes les procédures, devenant alors eux-mêmes délinquants.
- Les USA ont répondu en interdisant aux responsables colombiens d’entrer en Amérique, en imposant un droit de douane de 25 % sur les produits colombiens et en menaçant de le porter à 50 % et de fouiller minutieusement tous les citoyens colombiens qui se présenteraient à leur frontière : le comble pour les trafiquants de drogue.
- Le dirigeant colombien a commencé à négocier en proposant de se charger de l’évacuation de ses délinquants présents aux USA, mais il a néanmoins osé avoir l’insolence d’imposer des droits de douane de 50 % sur les produits US.
- Des individus pro-américains, ou contrôlés par Washington, ont proposé de créer une sorte de gouvernement alternatif et ont menacé d’orchestrer des émeutes en Colombie pour renverser Petro.
Le dirigeant colombien a alors abandonné toute résistance, acceptant même les livraisons de ses délinquants par avions militaires US sans bureaucratie inutile.
Washington a maintenu les punitions à l’égard des dirigeants colombiens jusqu’à ce que les livraisons de délinquants, dont de clandestins, commencent.
L’équipe Trump entend continuer à ne pas perdre de temps et compte maintenant exporter des délinquants étrangers au Salvador, y compris des individus non salvadoriens, que les USA ne peuvent pas restituer à leur pays d’origine. Par exemple des Vénézuéliens. Nous verrons si la méthode éprouvée fonctionnera aussi avec le Salvador.
Source : Actualités mondiales et françaises
Allo Darmanin ? Allo retailleau ? Comme quoi, avec ou sans laisser-passer consulaire, c’est possible…