A l’occasion des élections présidentielles en Russie, Yvan Benedetti était invité en tant que président de l’Œuvre française comme observateur international. Il fait le point sur ce séjour et sur la réélection triomphale de Vladimir Poutine.
Les thèmes abordés :
- Comment se retrouve-t-on observateur pour les élections russes ?
- Comment était l’organisation des élections et quelle est la validité du scrutin ?
- Invitation au nom de l’Œuvre française interdite en France
- Les personnalités françaises invitées en Russie
- L’état du pays avec les sanctions
- Pourquoi accepter d’être observateur électoral alors que vous êtes un pourfendeur du système électoraliste
- La Russie représente-t-elle un espoir de redressement de la France et faut-il prendre parti dans le conflit russo-ukrainien ?
Yvan Benedetti a lancé une cagnotte de financement participatif MENSUEL afin de soutenir et renforcer son combat au service du redressement de la France, de son patrimoine, de sa culture, de ses institutions, de sa grandeur et de son indépendance.
- DONS PAR GIVESENDGO :
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Très bien ! Excellent point, qui confirme mes propres analyses et informations déjà collectées.
Cette intervention d’Yvan Benedetti est rassurante.
Elle nous confirme l’intelligence politique qui est la sienne.
Intelligence qui lui permet, contrairement à d’autres « penseurs » de droite intellectuellement moins affutés, de négliger les question secondaires pour se focaliser sur la seule qui doit compter pour un haut responsable nationaliste : « QUI » est notre ennemi, A NOUS, Français ?
Ce qui – sans rien retirer aux mérites de Rivarol ! – confirme la médiocrité des analyses totalement hors sujet, qui nous furent imposées dans le courrier des lecteurs des éditions du 21 février et suivantes de cet excellent hebdomadaire.
Analyses prenant en compte des données aussi ridicules que l’architecture de la datcha de Poutine, les mœurs du clergé orthodoxe où les supposées folles nuits des quartiers chauds de Moscou, mais sans jamais prendre en compte – répétons-le ! – la seule question raisonnable : « QUI » est NOTRE ennemi en FRANCE ?
• Qui nous a imposé les accords « Blum Byrne » de 1946, limitant drastiquement la création cinématographique française au bénéfice d’un pourcentage de films hollywoodiens exposant notre jeunesse à la déliquescence des mœurs de l’American Way of Life ?
• Qui, sinon la French American Foundation, se permet de formater à son avantage ses « Young leaders », hommes politiques, journalistes ou hauts fonctionnaires, puis de favoriser leur carrière au plus haut niveau d’une administration française livrée ainsi au contrôle d’une puissance étrangère ?
• Qui est allé jusqu’à emprisonner, en 2013, l’un des cadres d’ALSTOM afin de faire pression sur une entreprise française obligée de céder à la « General Electric » le contrôle de nos techniques nucléaires les plus performantes ?
• Qui nous a imposé la Gay Pride hier et le Wokisme aujourd’hui ?
• Qui finance les ONG dites « No Borders » déversant des immigrés sur nos rivages ?
En résumé, qui a inspiré l’analyse de François Mitterrand : « Nous sommes en guerre avec l’Amérique. C’est une guerre sans mort apparent, mais UNE GUERRE A MORT ! » ?
• Qui a inspiré l’analyse de François Mitterrand : « Nous sommes en guerre avec l’Amérique. C’est une guerre sans mort apparent, mais UNE GUERRE A MORT ! » ?
En conclusion : QUI nous impose ses diktats depuis 1945 ? L’Amérique ou la Russie ? Dès lors, SOUCIEUX DES SEULS INTERETS DE LA FRANCE, notre allié de circonstance ne peut être que l’ennemi de notre ennemi.
Ennemi situé à Washington, celui qui le combat étant à Moscou.
Prendre cela en compte s’appelle de la Réalpolitique. Et toute autre réponse, faisant intervenir en politique internationale une « moraline » du niveau de bécassine me semble indigne du niveau intellectuel des intervenants sur ce site… autant, d’ailleurs, que du niveau des lecteurs de Rivarol, comme j’ai déjà eu l’occasion de l’écrire !
Par ailleurs, qui peut ignorer que la guerre en Ukraine n’est qu’un élément d’un autre rapport de forces à l’échelle de la planète opposant les nations qui y échappent encore à la mondialisation génocidaire pilotée depuis Wall Street ?
Et qui n’a pas compris que la question ne se pose plus de savoir qui marque des points dans cette confrontation, dans la mesure où les chefs d’orchestre de la mondialisation, ces oligarques financiers apatrides dont l’emprise sur le monde repose sur le monopole du dollar viennent de connaître leur première grande défaite.
Et une défaite – pour ne pas dire un effondrement ! – consécutif aux nouvelles alliances qu’a imposées à la Russie leur tentative d’isolement économique. Ce dont résulte à l’échelle de la planète une inversion des rapports de force qui étaient favorables aux Banquiers US depuis les accords de Bretton Woods de 1944, renforcés en 1971 instituant le monopole international du dollar.
Un monopole du dollar qui se trouve vigoureusement remis en question notamment par l’Inde, la Russie et surtout la Chine. Ce qui compte tenu de l’endettement de 102 000 milliards, s’aggravant de 5,5 milliards par jour et atteignant 372% du PIB des USA consomme la défaite de l’oligarchie US mondialiste désormais acculée à la défensive.
Merci Monsieur Poutine !