Macron est fou, il parle de 4eme vague. Moi dès que quelqu’un dit « vague » je me méfie. Comment faire confiance à quelqu’un qui divague. S’il divague, je me dis, il est cinglé. Surtout que la vague est précise, puisque c’est la quatrième. Encore une vague vague, je comprendrais, mais là quand on divague avec une vague précise, je suis désolé mais je n’ai pas confiance. Sans compter qu’on nous dit que les comorbidités c’est lié à l’obésité, à la graisse. Certes quand on dit « graisse », c’est moins grave que quand on dit « vague », mais comme tout ça vise à endiguer l’épidémie et que quand on dit « vise » ce n’est jamais bon, surtout quand on digresse et qu’on divague, je me méfie. Je me méfie s’autant plus que quand Macron dit faire quelque chose, il a tendance à le faire immédiatement, alors que quelqu’un de normal quand il diffère, il remet à plus tard, mais lui il ne diffère pas ce qu’il dit faire quand il divague, qu’il digresse et qu’il divise. Il est fou, je vous dis.
Je voudrais bien être élogieux à son égard, mais la seule façon serait de traiter la femme de ce tyran de « vielle bique » parce que dans ce cas, en accOlant les deux (j’insiste sur le « o »), façon « brangélina », pour Brad Pitt et Angélina jolie, on aurait « Tyran-Bique » et quand quelqu’un est dit « Tyran-byque », forcément c’est élogieux. Difficile, hélas, d’être dithyrambique autrement, d’autant que ce type est glauque. Pas juste parce qu’il a épousé sa maîtresse à tous les sens du terme, mais parce qu’il salit tout ce qu’il touche. Avant quand je parlais de ma chronique sur YouTube, il n’y avait aucun moyen de faire un jeu de mot avec, maintenant, il suffit que je rajoute « sa femme » et on a « ma chronique sa femme », chose dont je doute, mais que je viens, malgré-moi, de visualiser, vision qui va me hanter jusqu’à ce que le covid m’emporte, comme quoi ce n’est pas forcément une mauvaise chose. Il n’en demeure pas moins qu’à cause de Macron ma chronique est irrémédiablement salie.
Ça reste entre nous, mais je connais quelqu’un qui bosse à l’Elysée et il parait que Macron est fou de Coca-cola. Il n’y a que ça dans son frigo, au point que quand il pisse, il pisse du coca-cola. Alors j’ai demandé à mon ami si ce n’était pas un problème, et il me répond : « le problème ce n’est pas le coca out, c’est le coca IN ». Du coup à tous ceux qui pensaient que tout ce que dit Macron c’est de la poudre aux yeux, je dis : « ça peut monter jusqu’aux yeux, mais ça vient de plus bas ». Il ne neige pas que sur yesterday, pour ceux qui ne verraient pas de quoi je parle. Au point que quand Macron a quelqu’un dans le nez, on se demande comment il reste encore de la place, même si le sien a tendance à s’allonger faisant qu’il se rit des problèmes érectiles : ce n’est plus Pinocchio, c’est pinoc…. Mais bon, je digresse. En tout cas, c’est mieux pour lui d’avoir un nez long car les Nérons ont tendance à mettre le feu (surtout s’il y a des roms autour) et, dans son cas, se serait mettre le feu… aux poudres, ce qui n’est jamais bon, surtout avec le pass sanitaire qui risque de faire que les gens très pass trépassent.
A ce propos, j’ai fait un rêve bizarre. J’étais bien au chaud devant ma cheminée en train de fantasmer sur Agnès Buzin en nuisette quand j’entends frapper. Je vais ouvrir et qui je vois, transi par le froid ? : le covid. Il me dit, en tremblant : « pardon, mais on dit LA covid ». Alors je lui réponds, « 1) je ne suis pas un collabo et 2) avec tous ces picots, ça m’étonnerait ». Il me rétorque : « Mais je m’identifie comme virus femelle ». Bon, là, je dois avouer qu’il m’a pris de court. « C’est à quel sujet », lui-dis-je. « Je suis venu vous vendre des vaccins ». Il était ridicule avec ses picots tout malingres, alors j’ai rigolé : « Tu ne m’intimides pas, corona, j’ai de l’Ivermectine et je suis plus grand que toi ». Il me fixe, sort une fronde de sa poche et commence à la faire tournoyer avec un regard haineux. « Tu n’as jamais entendu parler de Covid et Goliath ?» qu’il me dit. « Vaccine-toi ou je te crève ! »
C’est là que j’ai remarqué qu’il manquait un bout à un de ses picots, un peu comme une bougie qu’on aurait découpée à la scie égoïne, dans tous les cas une histoire de « cire qu’on scie ». Du coup, je me suis dit que la partouze géante à Wuhan avec des Français, des Américains, des Chinois, un pangolin et une chauvesouris, n’avait peut-être pas eu lieu un samedi. En réalisant que ce n’était peut-être pas non plus un hasard que delta soit la seule lettre de l’alphabet grec en forme de triangle, comme possédé par une forme irrépressible de complotisme judéo-maçonnique, complètement en transes, j’ai sorti un exemplaire dédicacé de Mein Kampf que je ne savais même pas que j’avais, en hurlant : « Qui, qui ??? » (du nom d’un petit chien que j’avais dans le temps) et, à ma grande surprise, le variant a été consumé par les flammes ne laissant derrière lui qu’un prospectus Pfizer à moitié calciné.
C’est là que je me suis réveillé, en sueur, moins terrifié par le virus que par l’idée que mon subconscient puisse devenir antisémite à l’insu de mon plein gré. Un antisémitisme d’autant plus injustifié que, si on cherche bien, parmi tous les protagonistes derrière cette folie vaccinale (et c’est pareil avec la presse et les médias) je suis sûr qu’on peut en trouver qui ne sont pas d’origine hébraïque, dont le conjoint ou les enfants ne le sont pas non plus ou qui n’ont pas de conflit d’intérêts avec une société quelconque dirigée par des membres du peuple élu. Par exemple…, par exemple…
Moïse m’est alors apparu, preuve que je dormais encore et m’a immédiatement rassuré : « l’antisémitisme serait de faire l’amalgame entre le juif ordinaire (lequel se fait piquouzer tout comme vous) et l’élite juive qui le pique et se fout de son sort comme de sa première Kippa. Ça se ressemble, comme une puce et un prépuce, mais l’homme a kippa qui pas piqua et l’homme a kippa qui piqua, ça n’a rien à voir. Les juifs sont des gens très bien, mais certains ont une façon particulière de raisonner. Par exemple, ils se réclament eux-mêmes comme différents, tout en se plaignant ensuite d’être traités différemment. Du coup, donner du pouvoir par les hommes à ceux, parmi eux, qui n’ont toujours pas compris ce qu’être élu de Dieu signifie, ceux qui confondent « Yahvé » et « Yahvé qu’à piquer », c’est comme ajouter de la nitro à la glycérine, ou nourrir un Gremlin après minuit. Le pouvoir corrompt toutes les élites, mais eux ça les rend carrément fous. Si (raison pour laquelle s’y installer était prématuré) c’est malheureusement compliqué, en Israël, de ne pas avoir une élite juive, il n’y a aucune raison, en revanche, que la vôtre le soit, en France, sauf à considérer que vous êtes 67 millions d’incapables. Je dis ça, je dis rien. » Sur ce, il a sorti de sa poche une baie de canneberge et, sous prétexte que c’était un fruit amer rouge, l’a ouvert en deux avant de disparaître. C’est là que je me suis vraiment réveillé… en tout cas, j’espère.
Du coup, si refuser le vaccin c’est antisémite, on comprend mieux pourquoi ils en ont fait une usine à gaz, car c’est toujours mieux qu’une chambre. D’autant que si on mettait tous les variants dans une chambre on pourrait s’apercevoir que tout ça n’est qu’une « chambre des covids ».
Source : La Mite dans la Caverne
Absolument sublime ! Bravo !
En parlant de rêve débile, après son deuxième shot de poison (Astra en 1, Pfizer en 2), mon père a rêvé que des infirmières le poussaient dans une piscine remplie de feuilles d’artichaut (c’était la saison) en lui disant que de toutes façons, AstraZeneca c’était du jus d’artichaut.
Ce matin j’ai donc fait mon premier test antigenique avec un gentil infirmier qui est venu à la maison. Et voici le quatrième de mes six enfants déclaré positif.
Après une discussion où je signifiais à cet aimable saint laïc que la mort n’était pas un scandale, et que la grippe faisait moins de mort que les avortements, j’ai feind un étouffement. Sidéré par mes bouffonneries, Il m’a signifié mon manque de savoir-vivre. Autant que la mort, lui répondis-je !
Je suis négatif mais « cas contact » ; « vous aussi, depuis au moins tout de suite » lui indiquais-je.