La mort de Nahel Merzouk, Franco-Algérien âgé de 17 ans, est survenue le 27 juin 2023 aux abords de la place Nelson-Mandela, à Nanterre, dans les Hauts-de-Seine, (Île-de-France), causée par le tir d’un policier, Florian M., à la suite de son refus d’obtempérer. Elle donne lieu à une affaire judiciaire, à des émeutes durant plusieurs jours dans différentes ville et pays, ainsi qu’à de vifs débats politico-médiatiques.
Les deux policiers présents invoquent la légitime défense, affirmation contredite par une vidéo relayée sur les réseaux sociaux, les montrant sur le côté de la voiture conduite par Nahel Merzouk : on y voit Florian M. tirer à bout portant lorsque celle-ci redémarre. Le policier, qui indique qu’il aurait été écrasé contre le mur par la voiture s’il n’avait pas agi dans l’urgence, par son tir mortel, est mis en examen pour homicide volontaire et a été placé en détention provisoire le 29 juin 2023.
L’affaire relance le faux débat concernant les violences policières et la question du racisme au sein de la police française…
Cet événement a conduit à des émeutes d’ampleur inégalée en France, dans beaucoup de banlieues, avec destruction de mobilier urbain, incendies de voitures et agressions contre les forces de l’ordre et tout ce qui peut représenter la France, l’État et son autorité.
Par contre, la nouveauté est l’hostilité des « vrais mafieux » délinquants « de banlieue » à ces émeutes qui entravent leurs trafics et notamment celui de drogue.
Les banlieues contrôlées par les dealers n’ont d’ailleurs pas beaucoup « bougé », c’est à noter.
L’intelligentsia de gauche a soufflé sur les braises, brandissant le sempiternel « racisme » de la société française.
L’extrême gauche antifa, dopée par les « gilets jaunes » et les manifs des retraites, semble avoir un rôle moteur important dans les émeutes.
Elles sont très médiatisées.
Par contre, les deux cagnottes « antagonistes » créées pour le jeune décédé lors du contrôle et pour le policier montrent en réalité la vraie position de la population française. En effet la cagnotte pour le jeune est d’environ 200 000€ tandis que celle pour le policier (faite par Jean Messiha) a dépassé 1 500 000€.
Enfin, il y a eu à Lorient, Annecy, Angers, réaction et descente dans la rue de « commandos anti-racaille » issus de la mouvance nationaliste ou identitaire, entraînant une réaction policière, judiciaire et médiatique très très forte. Le gouvernement, qui n’a pas encore véritablement réagi, pourrait profiter de cette occasion, si ces troubles reprennent ou s’amplifient, par exemple a l’occasion des festivités du 14 juillet, qui sont habituellement accompagnées de flambées de violences urbaines, pour instaurer l’état d’urgence ou même de siège et en profiter pour supprimer le peu de liberté qui reste à la mouvance patriote et, plus généralement, dite « d’extrême droite », qui sera à nouveau accusée de tous les maux et désignée à la vindicte publique.
Et les flics feront le sale boulot contre les nationalistes en obéissant scrupuleusement aux ordres comme ils l’ont toujours fait.
Nous avons eu un avant-goût de cela il y a quelques jours, lorsque des groupes de jeunes français, c’est à dire de blancs, ont tenté de s’opposer aux émeutiers et autres pillards issus des banlieues par la force.
Un premier bilan peut être dressé de ces interventions populaires.
Tout d’abord, il convient de remettre ces événements dans un contexte plus général, celui de l’interdiction des manifestations et des mouvements nationalistes.
Cette politique répressive envers les patriotes a été initiée il y a maintenant plus de 10 ans, en 2012, après l’élection du président François Hollande, successeur de Nicolas Sarkozy.
L’Œuvre Française et les JN, avec l’interdiction d’une manifestation à Lyon en juin 2012, contre la délinquance ethnique des quartiers presque entièrement peuplés d’immigrés, puis celle d’une nouvelle manifestation, sur un sujet très semblable, à Paris en septembre de la même année, avaient déjà connu des vagues d’arrestations de militants et de poursuites devant les tribunaux correctionnels.
Les dissolutions, en 2013, des mouvements l’Œuvre Française et les Jeunesses Nationalistes, qui répondaient à la mort de l’antifa Clément Méric dans une rixe avec des militants et sympathisants du mouvement « 3ème Voie », furent les premières dissolutions de mouvements auxquels rien de concret ne pouvait être reproché, puisqu’ils étaient totalement étrangers à ce triste fait divers.
Il n’y a donc rien de fondamentalement nouveau, mais simplement une aggravation de la situation.
Cela démontre que la tactique de dispersion et d’autonomie, par la création d’une myriade de structures purement locales et enracinées, mais de nature générationnelle et donc plus proches du groupe de camarades que strictement politiques, montre ses limites : ces structures sont également dissoutes par arrêtés ministériels et ont plus de difficulté à reprendre l’action politique que des mouvements nationaux, qui peuvent continuer à exister sous d’autres formes.
Pour en venir à la situation actuelle, Il sera observé que des émeutes très semblables avaient éclaté à l’occasion de la dernière coupe du monde de football, notamment en raison du classement de l’équipe marocaine. Là aussi, des militants nationalistes avaient tenté de descendre dans la rue pour se confronter aux pillards des cités et mettre fin à leurs prédations, et là aussi ils avaient, notamment à Annecy, été poursuivis en justice et parfois lourdement condamnés, à des peines de plusieurs mois de prison ferme qu’ils avaient exécuté en détention.
Dans le cadre des récentes émeutes, il y a eu, sur le plan médiatique, trois villes particulièrement touchées.
Tour d’abord Lorient, mais il n’y a pas eu de poursuites pénales. Il semblerait qu’en accord avec leur hiérarchie et l’autorité préfectorale, des militaires (des commandos marine sont basés à Lorient) soient intervenus pour arrêter de façon musclée des émeutiers issu des banlieues et les remettre à la police. Celle-ci n’est intervenue pour les disperser que lorsque la presse s’en est fait écho et qu’un début de scandale a éclaté autour de ces « milices ».
À Angers, était implanté un groupe local, « l’Alvarium », aujourd’hui dissous et remplacé par le RED (Rassemblement des Étudiants de Droite).
Leur local a été plusieurs fois attaqué par des pillards issus des banlieues, poussés sinon encadrés par la mouvance antifa, qui avait même fabriqué et distribué de faux tracts à l’entête de « l’Alvarium » appelant à nettoyer les banlieues, pour les exciter.
Donc une trentaine de militants de l’ex-alvarumium ou du RED sont sortis du local et ont dispersé, plusieurs soirs de suite, par la force, les émeutiers qui attaquaient leur siège.
4 militants ont été traduits en comparution immédiate après une rapide enquête. Ils ont pu être libérés sous contrôle judiciaire et seront jugés le 10 août. Les peines maximales prévues vont de 3 à 14 ans selon les infractions qui leurs sont reprochées et leur état, ou non, de récidivistes.
Pour ce qui est d’Annecy ou d’autres villes, il y a également eu quelques sorties de militants et confrontations, mais aucune arrestation n’a, pour le moment, été médiatisée.
Bref, ce que veulent protéger ceux qui nous gouvernent et ceux qui les dirigent, c’est la marche forcée vers une société toujours plus multiraciale et la destruction de l’identité française, et ce quel que soit le prix à payer par la population.
Voilà la leçon à en tirer.
Durant la fameuse Nuit de Cristal, voici quelle a été la réaction de la hiérarchie nazie:
« Vers 1h00 du matin, le Reichsführer Himmler est arrivé au « Vier Jahrszeiten » et a donné au chef de groupe Heydrich l’ordre suivant, valable pour tous les membres de la police d’État : « La police d’État doit se conformer aux souhaits des bureaux de la propagande et, en premier lieu, prévenir les pillages et assurer la protection des Juifs et de leurs biens »
« Quand Heydrich, qui n’en revenait pas, s’est tourné vers le Reichsführer SS Himmler pour en savoir plus et recevoir des instructions, Himmler lui a simplement transmis un ordre d’Hitler qui ne disait pas autre chose : les SS devaient rester en dehors de l’affaire et la Gestapo d’Heydrich devait assurer la sauvegarde des biens de la communauté juive »
« Par la suite, on a ordonné aux brigades de pompiers d’éteindre les incendies et de protéger les bâtiments adjacents contre la propagation des flammes. Tandis que les bureaux régionaux et locaux du parti étaient alertés par les Gauleiters, et les unités de la SA par leur chef, Viktor Lutze, la police et les SS ont également reçu des ordres précis avant minuit. Qu’ils les aient exécutés est une certitude, attestée par de nombreuses preuves documentaires. La police en est venue aux mains avec les pillards. Des dirigeants politiques en uniforme ont essayé de disperser la foule. Les pompiers étaient à l’œuvre. Là où des habitations juives avaient été prises d’assaut et des objets domestiques jetés dans la rue, les policiers les ont ramassés et immédiatement rendus à leurs propriétaires. Là où les incendies dans les synagogues ne pouvaient pas être maîtrisés, les SS ont aidé les Juifs à sauvegarder les objets de culte. De nombreux Juifs – à leur propre demande – ont été placés sous protection, en garde préventive »
« Le relevé ci-dessous – aussi discutable soit-il à bien des égards – représente tout ce que nous possédons en matière de chiffres au sujet des dommages de la Nuit de Cristal. Commerces et grands magasins détruits : entre 844 et 7500 Synagogues incendiées ou détruites : 267 ou 177 Décès : 91 ou 36 Le nombre de Juifs qui auraient été emmenés en garde préventive, y compris ceux qui avaient demandé la protection de la police, varie selon les sources entre 35 000 et 10 000. On admet en général que la majorité a pu ressortir le lendemain. »
Le 19 juillet, un Ignymontain (habitant de Montigny le Bretonneux, et Montigny, ça veut dire Mont Incendié (le igny est le même que dans ignifuge)) a reçu ce courrier, un chef d’œuvre de langue de bois.
Monsieur,
Votre courrier relatif aux nuisances que vous avez subi dans la nuit du 29 juin a retenu toute mon attention.
Comme vous avez pu le constater, les nuits suivantes, l’ensemble du territoire national a été victime d’émeutes et de pillages.
Vous comprendrez que dans ce contexte où les Commissariats de Police ont été attaqués et parfois détruits, votre appel n’a pu aboutir.
L’ensemble des agents de la ville se sont mobilisés de jour et de nuit pour effacer les stigmates et permettre aux administrés de circuler.
Restant à votre disposition … » fin du courrier signé du responsable délégué à la citoyenneté et à la sécurité, rien que le titre de ce monsieur donne une idée de « la fermeté » de la réaction de la Police Municipale.
Ce que le courrier ne dit même pas, c’est que la PM est fermée la nuit, il y a quelqu’un de permanence, mais aucune voiture disponible pour intervention, en l’occurrence, je pense qu’elle n’est même pas intervenue au cours de ces nuits de violence, elle est sagement restée en observation derrière ses écrans de surveillance (lesquels ne pouvaient rien voir la première nuit puisque l’éclairage public était coupé).
Ce qui est terrifiant dans ce courrier, c’est que l’accent est mis sur « un appel qui n’a pas pu aboutir » et non sur ce que la PM a fait ou n’a pas fait: on ne sait même pas si un appel a pu aboutir ou non, en réalité, les fameux citoyens sont restés livrés à eux-mêmes – ou plus exactement, livrés à ces autres citoyens tout aussi citoyens qu’eux si ce n’est plus.
On ne sait pas quel est l’intérêt d’un courrier aussi creux: s’excuser, rassurer, ou bien faire comprendre à l’auteur de l’appel qu’il est maintenant dûment repéré et fiché.
Attention à ce que l’on appelle les étymologies populaires ou alors vous plaisantez, Montingny ne signifie pas du tout « mont incendié », d’autant plus que le « ignis » latin en question est classique (fin de la République, premier siècle avant notre ère) et on ne le trouve aujourd’hui que dans les mots savants comme ignifuge en effet (les mots savants dont des mots que l’on a repris au latin et grec à partir de la Renaissance et même de l’époque scolastique pour exprimer des notions que nos langues romanes, produits de l’évolution phonétique populaire du latin, ne pouvaient exprimer). Les mots latins qui sont passés en roman appartiennent plutôt à la latinité tardive (IVe et Ve siècle ap. notre ère), au Bas-Empire notamment, et au latin médiéval.
Il faut faire un peu de toponymie. La plupart des toponymes français sont des noms de domaines formés par un anthroponyme d’origine gallo-romaine ou germanique auxquels on a adjoint le suffixe toponymique gaulois pat excellence -acum, signifiant « appartenant à, est la propriété de ». C’est le grand celtisant Henri d’Arbois de Jubainville qui a fait cette découverte à la fin du XIXe siècle dans sa thèse, c’est sa contribution essentielle à la connaissance.
Il ne faut pas être grand clerc pour entrevoir dans Montigny l’union de l’anthroponyme Montanius et du suffice -acum. Ce qui fait Montaniacum, le domaine de Montanus. Tout dépend ensuite de l’évolution phonétique du toponyme. En zone d’oïl et partant en français standard, Montaniacum donnera Montigny; en zone d’oc méridionale (gascon, provençal, languedocien) Montagnac; en zone d’oc septentrionale (auvergnat, limousin, vivaro-alpin) et au sud de la zone d’oïl (berrichon, bourbonnais) Montagnat (mais il y a beaucoup de toponymes en -ac dans le Limousin); dans l’ouest de la zone d’oil vers Angers ou à l’est en Bourgogne-Franche-Comté Montagné ou Montagney; en franco-provençal (lyonnais, Dauphiné, Savoie, Suisse romande) Montagnieu.
C’est presque systématique, c’est pratiquement une loi phonétique, le « -acum » gaulois donne toujours « y » en langue d’oïl standard, « é » à l’ouest et à l’est de la zone d’oïl, « ieu » en franco-provençal, « ac » et « at » dans le Midi. On peut d’ailleurs voir que l’évolution phonétique va moins loin dans le Midi, la romanisation fut plus intense. Dans le nord en revanche, le superstrat germanique est beaucoup plus sensible, les évolution phonétiques sont beaucoup plus poussées. On a d’un côté acum> at et ac; acum > y et é.
Salviniacum, domaine de Salvinius donnera donc respectivement Sauvigny ou Souvigny en zone d’oïl central, Souvigné dans l’Ouest (vers Tours), Sauvagnieu dans le Forez, Sauvagnat en Auvergne, etc.
Floriacum (domaine de Fleurus) > Fleury, Fleurey, Fleurieu-sur-Saône (10 km au nord de Lyon), Fleurat (dans la Marche en Creuse), Florac en Lozère.
Et puis j’oubliais, quant au gentilé Ignymontain, il est complètement fantaisiste.
J’ai bien conscience qu’il est difficile de trouver un gentilé dans la mesure où tous les toponymes français sont le produit d une évolution phonétique populaire, contrairement aux toponymes allemands par exemple. Soit il faut revenir à l’étymologie et trouver un gentilé savant à l instar de castelthéodoricien pour Château-Thierry ou plus simplement rajouter les suffixe qui servent à former la plupart des gentilés en français: ien, ois, ais, et. Montinois aurait pu faire largement l’affaire.
Eh bien discutez en avec la mairie
Sur internet, on trouve la même étymologie pour Montigny lès Metz
https://www.montigny-les-metz.fr/decouverte-de-la-ville#:~:text=L'origine%20du%20nom%20MONTIGNY,hauteur%20et%20IGNIS%2C%20le%20feu.
L’origine du nom MONTIGNY viendrait de deux mots latins : MONS (nominatif) – MONTIS (génitif) signifiant le mont, la montagne, la hauteur et IGNIS, le feu.
On en déduit que ce “mont du feu”, cette “hauteur enflammée” aurait été appelée ainsi par les Gaulois qui utilisaient les lieux élevés pour allumer des feux afin de correspondre d’un village à l’autre.
Lesdites mairies ne sont pas composées de philologue et encore moins d’honnête hommes, à fortiori en 2023. Il faut leur envoyer cette controverse et ça fera de la pub pour JN. Ils verront en sus que tous les types professant des idées conservatrices et jaloux du passé ne sont pas des conspis abrutis.
Ignis est le vrai mot latin pour feu, c est le mot noble et indo-européen. On a un vocable approchant en sanskrit.
La notion de feu qui s’est impatronisée dans nos langues romanes vient de focus, signifiant foyer, âtre où brûle le feu. C est le même mot en espagnol et en italien, respectivement fuego et fuoco. Et en roman d’oïl : feu (l’évolution phonétique est toujours plus lointaine dans la latinité du nord de la Loire). Focus a supplanté ignis à l époque impériale (vers le IIIe siècle), ce qui corrobore ce que je disais dans mon message précédent. Les langues romanes procèdent de la latinité tardive.
Il est impossible qu’un toponyme formé à l’époque médiévale ou tardive utilise ignis, mot oublié et tombé en désuétude depuis longtemps.
L’étymologie que je vous ai donnée plus haut est la seule valable, au moins vraisemblable.
Tout à fait d’accord avec l’analyse et la conclusion de Maître Bonneau, qui mériterait qu’on y réfléchisse.
Quant certains commentaires qui suivent ?
On les dirait « HORS SUJET » en langage universitaire…
Où plus simplement « ENCULAGE DE MOUCHES » dans le langage de ma concierge…
Laquelle ajouterait que la culture, c’est comme la confiture : MOINS ON EN A PLUS ON L’ETALE !
En effet, Monsieur Le Perlier… La France est en train de crever mais certains, qu’on aurait pris pour d’authentiques nationalistes puisqu’ils fréquentent ce site, ne sont bons qu’à discuter du sexe des anges. je me demande ce qu’ils sont venus foutre ici, mais par contre je comprends mieux le peu de succès de notre cause s’il n’y a, pour la défendre, que des militants de clavier de cette sorte.
Il y a une modération sur ce site et je ne comprends qu’elle laisse passer sans s’inquiéter une telle masse de commentaires hors de propos. Ce n’est pas rendre le meilleur service au site…
Cher « GL »…
Vous avez parfaitement raison et votre commentaire évoque pour moi une citation de Nietzche : « LA PLUS PERFIDE FACON DE NUIRE A UNE CAUSE EST DE LA DEFENDRE INTENTIONNELLEMENT AVEC DE MAUVAIS ARGUMENTS »
Après un texte de Maître Bonneau traitant d’un sujet aussi grave, occuper des pages entières par ce genre de verbiage ne suggère qu’une question : Sottise ou mauvaises intentions ?
Mais, les « militants de clavier » que vous désignez étant -semble-t-il – des habitués de ce genre de cuistreries, il est probable que, seule une sottise aussi envahissante que péremptoire soit à déplorer dans leur cas.
Non non, on parle bien de l’embrasement de Montigny que l’on retrouverait selon moi dans l’étymologie même de Montigny, David amène des commentaires d’un niveau que je suis content d’avoir suscité, il estime qu’à titre de jeu de mots « mon » étymologie est pertinente tout en me rappelant à l’ordre sur ce qu’on doit en penser sérieusement; connaissant le niveau d’érudition de Pierre-Marie Bonneau, je suis bien tranquille qu’il a apprécié les échanges.
Quant à l’idée de renvoyer la Nuit de cristal à la tête de nos démocrates (sachant qu’avec les nazis au moins, il n’y a eu qu’une seule nuit et pas des dizaines comme en France, aux USA ou en Angleterre, si vous la trouvez hors sujet, je ne sais plus quoi dire.
D’une manière général, essayez d’apporter des éléments positifs (au sens de concrets, d’observables, de vérifiables) dans vos commentaires, ne vous inquiétez pas, on ne vous accusera pas d’étaler votre culture.
Dites nous par exemple où en est votre brillant kriegspiel en Ukraine au lendemain de l’arrestation d’Igor Strelkov, un colonel russe aussi imbécile que moi-même, qui traite Poutine de lâche et de minable (contrairement à moi, il ne le traite toutefois pas encore de traître)
https://rusreinfo.ru/fr/2023/07/les-raisons-de-larrestation-digor-strelkov/
ou
https://ripostelaique.com/igor-strelkov-arrete-un-patriote-ne-peut-traiter-poutine-de-minable-et-de-lache.html
Combien de temps allez-vous, avec d’autres, tenir la ligne Georges Marchais du « bilan globalement positif »?
Monsieur X…
Où en est un certain Kriegspiel ? Demandez-vous…
A savoir : l’options que j’ai jugée envisageable concernant le déplacement des troupes de Wagner ?
Le brillant philologue que vous êtes devrait plutôt s’interroger sur le sens du terme Kriegspiel.
Lequel consiste à envisager toutes les options possibles pour l’adversaire et même – comme je l’ai répété plusieurs fois – les plus improbables !
Ce kriegspiel ? C’était donc un KRIEGSPIEL.. tout simplement.
Sauf pour ceux qui n’ont toujours pas compris…
Il y a une rumeur selon laquelle la police a reçu des ordres visant en fait à faciliter le travail des pilleurs casseurs (en bloquant l’accès dans les rues où ils étaient à l’oeuvre), comme ils laissent faire les antifas. Le but de tout ça serait, pour l’avenir (ce coup ci c’était une répétition) sous prétexte d’émeutes, de museler les réseaux sociaux (ce n’est pourtant pas par ce biais que les pilleurs communiquent entre eux) et d’interdire les réunions dissidentes, la peur faisant accepter ces mesures de restrictions des libertés.