Le 16 juillet 1995, Jacques Chirac prononçait un discours lénifiant sur la responsabilité de l’État français, dans la rafle du Vel d’Hiv; « la France, ce jour-là, accomplissait l’irréparable ».
Nous ne reviendrons pas sur cet événement. Nous ne rappellerons pas que la France avait perdu la guerre. Que sans l’armistice signé par le Maréchal Pétain, il y aurait sans doute eu beaucoup plus de morts civils et militaires. Le fait que, le nombre de déportés a été limité par rapport aux autres pays occupés, n’est jamais évoqué (lire Éric Zemmour, le Destin Français).
Ça n’était pas de toute façon, la raison de cette allocution. Le président de la République n’avait alors qu’un seul objectif en tête ; déclarer la France coupable, et ceci afin de satisfaire les revendications de la « communauté organisée ».
Avi Pazner, ambassadeur d’Israël en France de 1995 à 1998, alors que Jacques Chirac entamait son premier mandat de président, le décrivait comme un homme « impressionnant », et un « grand ami de la communauté juive de France ».
Ainsi, dès le début de son premier septennat, Chirac entrepris une repentance incessante.
Jean-Marie Le Pen était alors son principal adversaire, ce qui lui donna l’occasion de multiplier ce genre d’interventions. Devenir le rempart républicain contre le danger fasciste faisait évidemment parti d’un cynique calcul politicien.
Pour ceux qui ont connu les années 90, difficile d’être passé à côté de cette manipulation, de cette arnaque qui atteignit son apogée entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2002.
Mais, au delà du calcul électoral, se cachaient des intentions encore moins louables. Suite à la victoire de l’équipe nationale, au mondial de football de 1998, nous eûmes droit à une nouvelle propagande très active en faveur de la France « Black, blanc, beur ».
Après avoir été mis sur le banc des accusés, après avoir fait notre procès, nous avions enfin la possibilité de faire acte de rédemption.
Mais à une condition, nous devions désormais nous métisser !
Le mot d’ordre venait des médias, des politiques (à l’époque Sarkozy parlait de discrimination positive), mais aussi de lobbies plus « discrets ».
En fin de compte, le travail de sape a assez bien fonctionné. L’immigration est devenue submersion.
Elle a été encouragée par la majorité des partis, UMP compris.
Les mêmes qui avaient fait de nous des criminels, et des assassins à perpétuité.
« Supermenteur » Chirac, ce guignol de l’intox ne nous manquera pas. Il aura participé activement à notre désagrégation, en tant que peuple ethniquement homogène, et nation historiquement souveraine.
Malheureusement, ces successeurs firent de même.
La contrition est désormais devenue la règle..
Du discours sur le Vel d’Hiv, jusqu’au mouvement « Black Lives matter », dernière manœuvre de la fondation Open Society de Georges Soros, la démarche est identique.
Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, et le procès de Nuremberg, nous devons expier le mal qui sommeille en chacun de nous.
De Soros, à BHL, on retrouve toujours les mêmes, pour nous rappeler notre faute originelle.
Leur plan est désormais clair; pour établir un gouvernement mondial, les nations doivent disparaître. Et quoi de plus efficace que de traîner nos ancêtres dans la boue?
Cette guerre mémorielle ne prendra donc jamais fin, car elle justifie notre soumission, et notre disparition programmée.
Démonter point par point leur sinistre stratagème, tel doit être notre priorité.
L’avenir appartient plus que jamais aux chercheurs éclairés, et aux Français avident de vérité.
François Le Franc
Attention à ne pas trop dériver à gauche dans une critique qui se veut de droite.
Affirmer que les blancs se font avoir par un discours culpabilisateur, c’est affirmer le primat de l’éducation sur la race: soit exactement la théorie des gauchistes.
C’est la race qui doit nous sauver, pas la vérité.
En tant que nationalistes, nous ne sommes ni de droite, ni de gauche, mais de France ! Voir d’extrême France..
Rétablir la vérité historique est indispensable afin de nous libérer de cette culpabilité qui empêche toute renaissance. Notre race mourra alors d’avoir attendu un réflexe biologique qui ne viendra pas..
Le combat que nous menons s’adresse à l’âme de notre peuple, se faisant les gardiens de notre glorieux passé, et les éclaireurs de notre destin.
Que chacun comprenne que nous n’avons rien à perdre, à part notre dignité.