2018, Versi Pellis, 147 pages, 16 €
Traduction de Edwige Thibaut.
Préfaces de Benito Mussolini, Oswald Spengler et Heinrich Himmler
La dénatalité – phénomène tragique annonçant la mort des peuples et qui n’est pour ainsi dire jamais mentionne par les études universitaires. Richard Korherr, élève de Spengler, en a fait le centre de son travail paru pour la première fois en 1927. Avec une surprenante actualité, chiffres a l’appui, il met en évidence le fait que de tous temps, en tous lieux, la dénatalité est le symptôme ultime d’une décadence propre aux grandes villes et fruit des antivaleurs qui s’y développent.
En véritable suicide librement consenti, c’est aussi une arme de destruction massive employée délibérément et qui trouve actuellement son exacte application. Une nouvelle guerre, insidieuse, sans armes et sans violence, a été déclarée a l’Europe : celle des naissances.
Mais rien n’est inéluctable. De son lointain passé, en visionnaire engage, Richard Korherr nous lance un avertissement, un appel à une prise de conscience : Les plus nobles idées, les plus belles réalisations, ne valent rien si l’on n’a pas d’héritiers à qui les transmettre. Confrontes a une menace inédite de submersion mondiale, l’acte politique majeur que puissent accomplir les Européens, c’est d’avoir des descendants. Cela signifie aussi que ce sont les femmes qui sauveront notre continent en ayant cet esprit de sacrifice suprême au profit des générations futures.
Disponible sur la Boutique nationaliste