I – Alex Graham
L’argument passe-partout préféré des gauchistes qui ne manquent jamais une occasion de le resservir aux nationalistes blancs, c’est le «Tous les Serpents ne sont pas Venimeux », en abrégé, le TSV (NAXALT dans la version anglaise : “Not All [members of group X] Are Like That”). Argument vicieux qui prétend qu’il faudrait se garder de toute généralisation hâtive au prétexte que les stéréotypes ne s’appliquent pas à tous les membres d’une minorité. Je voudrais défendre ici l’idée selon laquelle cette vision SVT du monde pénalise avant tout les plus vulnérables et ne fait que refléter l’aveuglement égoïste de ceux qui la soutiennent, des Blancs de gauche aisés et diplômés pour la plupart. Étant donné que ces gens-là sont généralement sensibles à ce genre d’accusation, cet angle d’attaque pourrait les pousser à remettre en cause leurs certitudes. Retourner contre eux leur rhétorique de justice sociale pourrait s’avérer une stratégie payante (à condition de ne pas tomber dans le « vrai racisme, c’est vous »).
Dans l’immense majorité des cas, les gauchistes fréquentent les gens de couleur dans un cadre universitaire ou professionnel. Or, ces environnements ne sont pas représentatifs de l’ensemble de la population. Les diplômés ont en moyenne un QI légèrement supérieur à 100, ils sont également plus consciencieux et respectueux – au moins si on regarde par tranche d’âge. Dans ce cas évidemment, il est facile de faire fi des préjugés racistes, mais c’est oublier un peu vite que les gens de couleur aisés et diplômés ne constituent qu’une frange de leur population d’origine.
Tout le monde n’a pas la chance de vivre en vase clos dans des banlieues confortables, et quand bien même, tout le monde n’est pas exposé de la même manière. Si pour une raison ou une autre vous êtes vulnérables, femmes, enfants, personnes âgées, vous devez alors recourir à des évaluations rapides des dangers au moyen de ce qu’on appelle des heuristiques (raccourcis cognitifs), ou plus simplement encore, des stéréotypes. Ces généralisations sont une forme d’adaptation évolutive, cela peut être une question de vie ou de mort, il vaut donc mieux prendre le risque de se tromper sur les faux positifs. En Angleterre, on a bien vu comment les enfants des classes populaires blanches ont pu être les victimes propices des gangs de violeurs; ces enfants étaient indirectement victimes de l’idéologie antiraciste qui bridait l’action de la police.
Du reste, quand ça les arrange, les gauchistes savent très bien recourir aux généralisations et ridiculiser l’argument selon lequel tous les serpents ne sont pas venimeux : essayez de dire à une féministe que « tous les hommes ne sont pas comme ça ». Au fond d’eux, ils savent bien que l’argument TSV ne tient pas debout, cela rend leur silence devant la criminalité des racisés d’autant plus coupable, c’est une fuite lâche devant la peur d’être traités de racistes. Les non-Blancs, c’est sacré.
Les partisans du TSV répondraient peut-être que l’incidence de la criminalité, même si elle est plus élevée chez les non-Blancs, ne l’est pas au point d’en faire un paramètre de la politique sécuritaire. Bien évidemment que la plupart des non-Blancs ne sont pas des criminels, mais cela ne change rien au fait qu’ils sont en moyenne plus prédisposés à la violence et aux comportements asociaux, que leur présence accrue au sein des sociétés blanches est corrélée à toutes sortes de troubles, à un sentiment prégnant d’insécurité et à une déliquescence du lien social. Pourquoi faudrait-il en faire venir toujours plus ? Ce n’est pas à nous de nous justifier, c’est à la gauche sansfrontièriste de nous dire pourquoi nous devrions accepter de supporter le coût social de l’immigration. La vérité, c’est qu’ils considèrent la présence étrangère comme un acquis et que le TSV n’est qu’une argumentation branlante pour tenter de la justifier.
Les tenants du TSV pourraient aussi faire valoir que les torts causés par les stéréotypes (renforcement des contrôles de police, discriminations vexatoires, etc.) sont disproportionnés à l’« incivilité » alléguée des minorités raciales. Autrement dit, il faudrait trouver un compromis, un équilibre, mais un compromis entièrement à la charge des Blancs puisque ceux-ci doivent accepter plus de criminalité en échange de rien, si ce n’est le plaisir envié de vivre dans un équilibre diversitaire et de ne pas être traités de racistes. Mais étant donné que la délinquance a une forte composante raciale, des stéréotypes vont nécessairement, inévitablement, se développer et il y aura donc forcément de la discrimination et de l’exclusion, rendant l’équilibre angélique introuvable – d’autant que discrimination et exclusion peuvent effectivement, en retour, créer de la délinquance. À tout prendre, puisque les stéréotypes sont si difficiles à vivre pour ceux qui en sont les victimes, ce serait justement une bonne raison de prononcer le divorce racial. Est-ce que la gauche aurait une solution pratique à ce dilemme à part de dire aux Blancs, tant pis, il faut faire avec ?
À ce stade de la discussion, les TSV agacés pourraient répliquer : « Eh bien moi, je vis dans un quartier à diversité et il ne m’est jamais rien arrivé ». C’est le comble de l’égoïsme, se vanter de s’en être bien sorti pour prouver que l’expérience n’est pas douloureuse, quel manque d’égards pour ceux qui y sont restés. C’est comme de dire à des parents d’enfants morts dans un accident de montagnes russes, que vous, vous trouvez cette attraction géniale, c’est complètement à côté de la plaque. Cette façon de penser trahit une indifférence envers ses semblables totalement en contradiction avec l’éthique solidaire par ailleurs prônée par la gauche. […]
II – Richard Houck
Depuis que j’ai commencé à faire des conférences sur des sujets de société, je suis assaillis de moustiques agitant leur argument TSV pour me prendre en défaut. À chaque fois que je parle d’une minorité, ça ne rate pas, il se trouve toujours un petit malin pour me dire «vous savez, pour être honnête, tous les Juifs / Noirs / femmes / Hispaniques / immigrés / politiciens etc. ne sont pas comme ça».
Le plus simple pour parer au TSV, c’est de rappeler que les exceptions ne viennent pas réfuter pas la règle, elles la confirment. Si j’affirme que les cygnes ont tendance à être blancs, l’existence d’un cygne noir, ou même de plusieurs cygnes noirs, ne réfute pas la règle générale: tant que la plupart des cygnes restent blancs, mon affirmation reste vraie.
Dans le même ordre d’idées, les généralisations de faits ne prétendent jamais s’appliquer à tous les membres d’une classe donnée. J’ai cité un jour une statistique qui révélait qu’en moyenne, chaque Noir aux États-Unis consommait environ 750 000 dollars de plus en fonds et services publics qu’il n’y contribuait [1]. Les mêmes données révélaient que les Blancs contribuaient en moyenne 220 000 dollars de plus au cours de leur vie qu’ils n’en bénéficiaient. Autrement dit, il faut plusieurs Blancs pour entretenir un Noir. Je n’avais pas plus tôt dit ça, que je recevais une volée de messages disant qu’il y avait plein de Noirs, les rappeurs, les joueurs de la NBA, qui contribuaient énormément aux recettes fiscales, que des tas de Blancs en profitaient lorsqu’ils envoyaient leurs enfants dans des écoles publiques en payant moins que ça ne coûte réellement. C’est vrai. Il s’agit de valeurs aberrantes, et une statistique sur les bénéficiaires et les contributeurs au budget tout au long de la vie les inclut déjà dans la moyenne. Le fait de le souligner ne réfute en rien la statistique ou la règle générale énoncée. Les Noirs à hauts revenus sont bien pris en compte et, même ainsi, la moyenne par Noir est nettement négative.
L’argument TSV confond les assertions sur les conditions générales, d’ordre macro, avec celles concernant les cas particuliers, d’ordre micro, ce qui relève d’une bien mauvaise compréhension du fonctionnement des moyennes de la part de ceux qui utilisent cet argument. Par exemple, si j’affirme que « plus il y a de Noirs dans une ville ou un quartier, plus la criminalité et les dysfonctionnements sociaux augmentent », cela ne signifie pas que tous les Noirs soient des criminels ou des asociaux. Le fait d’affirmer que la plupart des Noirs ne sont pas des criminels ou que certains Noirs avec lesquels ils sont amis sont dignes de confiance ne remet pas en cause le fait que si le taux de criminalité d’une population est plus élevé que celui de l’autre, l’introduction du groupe à taux de criminalité plus élevé dans le groupe à taux de criminalité plus faible entraînera nécessairement une augmentation de la criminalité et des nuisances.
J’ai parfois vu le TSV utilisé d’une manière – il faut le reconnaître – un peu plus intelligente. Les Blancs commettent environ 5 meurtres pour 100 000 habitants et 126 vols pour 100 000 habitants, alors que les Noirs commettent 43 meurtres pour 100 000 habitants et 1 343 vols pour 100 000 habitants [2]. L’astuce alors ne consiste pas à réfuter cet écart considérable, mais à souligner que cela signifie également que 98 000 Noirs environ par an ne volent ni ne tuent personne. « Tous les Noirs ne sont pas des criminels », devient « la plupart ne le sont pas » ce qui, évidemment, n’est pas faux. Mais cela ne change rien au fait que la présence d’un plus grand nombre de Noirs dans une zone donnée augmentera la probabilité d’être tué, violé et volé par rapport à une zone entièrement blanche. Ce sont ces tendances qu’il faut avoir en tête si nous voulons améliorer la société, la qualité de vie et la sécurité des personnes qui nous sont les plus chères, à savoir: notre groupe d’appartenance. Et comme nous n’avons aucun moyen de savoir à l’avance quels membres de la population se révéleront criminels, il est logique d’élaborer des politiques publiques en tenant compte des différences globales dans le comportement général des groupes. Que la majorité des Noirs, ou que tel ou tel Noir soit ou non un criminel, ne change rien à l’idée qu’un plus grand nombre de Noirs dans une région augmente invariablement la criminalité et les nuisances, et donc les chances d’en être les victimes.
Il convient de noter comme le TSV ne joue jamais en faveur des Blancs dans l’application des concepts gauchistes tels que le « privilège blanc » et le prétendu « racisme systémique » qui favoriserait toujours les Blancs. Le TSV s’avère également une voie à sens unique lorsqu’il s’agit de généraliser à tous les hommes une « masculinité toxique ». Dans ce domaine, il y a rarement, voire jamais, d’exceptions avancées. C’est même tout le contraire. Si l’on évoque l’existence de Blancs désavantagés qui n’obtiennent pas de bourses d’études ou d’emplois en raison de la discrimination positive ou des politiques de diversité, d’équité et d’inclusion, les gauchistes soutiendront que dans l’ensemble les Blancs bénéficient toujours du spectre de la suprématie blanche, du privilège blanc « non mérité » et que globalement, le système reste en notre faveur.
En ce qui concerne les affirmations plus difficiles à quantifier statistiquement, telles que « les Juifs poussent à l’ouverture des frontières », on me répondra souvent qu’il y a des exceptions, comme par exemple cet ancien conseiller de Trump, Stephen Miller. Miller est un Juif qui se targue d’être un anti-immigration pur et dur, je l’aime bien et j’apprécie son travail. Cela dit, une poignée de Juifs anti-immigration ne remet pas en cause l’existence de la Société hébraïque d’aide à l’immigration, ni le fait que ce sont les sénateurs Juifs Emanual Celler et Jacob Javits qui se sont efforcé des années durant à faire adopter la loi de 1965 sur l’immigration et la nationalité qui a conduit à redessiner si radicalement la composition raciale du pays, cela ne change rien au fait que 1 500 rabbins aient signé une lettre exhortant le gouvernement américain à accueillir davantage de « réfugiés », ou que le journaliste Juif Jonathan Weisman ait écrit dans les premières lignes de son livre Semitism : Being Jewish in the America in the Age of Trump, que « le Juif s’épanouit lorsque les frontières tombent, lorsque les différences s’estompent, lorsque les murs sont détruits et non érigés. » Ma thèse de départ reste vraie tant que la majorité des Juifs aux États-Unis soutiennent l’ouverture des frontières et l’accroissement des flux migratoires.
En réalité, les tenants du TSV ne font que confirmer implicitement la validité de la règle générale. Mais leur démarche reste toxique en ce sens qu’elle vise à éluder systématiquement les faits observés et à subvertir ou à miner des stéréotypes valides élaborés sur le fondement de ces observations.
Le TSV n’est qu’une tentative de brouiller les cartes entre ce qui est la règle et ce qui est l’exception, il s’agit à chaque fois de donner plus de poids à ce qui va dans le sens de leur vision du monde hors sol.
Notes :
[1] Paul Kersey. “Quantifying the Burden of Black America: Vox Day Documents Racial Socialism and White Dispossession in the USA.” July 1, 2017. The Unz Review. [2] Jared Taylor. “Race and Crime in America.” June 1994. American Renaissance.III – Mark Gullick
L’argument TSV ne repose pas sur une fausse prémisse, mais sur une prémisse trompeuse destinée à détourner l’attention de la prémisse principale, à faire passer la prémisse trompeuse pour la prémisse principale. Dans l’argumentation TSV, on lâche la proie pour l’ombre, le raisonnement garde une forme logique, mais en réalité, il devient purement rhétorique. Une analogie avec un paradoxe logique célèbre permet de mieux mettre en évidence le sophisme à l’œuvre dans le TSV.
Trois étudiants emménagent en colocation et souhaitent acheter un téléviseur. Ils voient en vitrine un téléviseur d’occasion à 30 £ et, disposant chacun de 10 £, ils décident de se regrouper pour l’acheter. Le vendeur veut bien leur vendre l’appareil, mais sous réserve de l’approbation de son patron. Il prend les 30 £ et se rend dans l’arrière-boutique auprès de son patron qui lui dit qu’il peut vendre l’appareil. Cependant, il y a une erreur dans l’affichage du prix et le téléviseur fait en fait 25 £. L’assistant voit là une occasion de se faire un peu d’argent facilement et retourne dans le magasin en disant aux clients que la télévision est bien à vendre, mais que le prix n’est finalement que de 27 £. Comme les clients lui ont avancé chacun un billet de 10 £, il leur rend à chacun 1 £, les laissant tout heureux de n’avoir payé que 27 £ au total. L’assistant se retrouve donc avec 2 livres pour lui. 27 (ce que les trois jeunes ont déboursé) plus 2 (ce que l’assistant a empoché) égalent 29. Qu’est-il advenu de la livre manquante sur les 30 livres initiales?
La réponse, bien sûr, est qu’il ne s’est rien passé, puisqu’il ne manque aucune livre. L’histoire a été construite pour persuader l’auditeur de la fausse prémisse selon laquelle le prix de la télévision est celui que les hommes ont payé, soit 27 livres sterling. Or, ce n’était pas ça le prix, le vrai prix c’était 25 livres. 25 livres plus les 3 livres rendues aux jeunes plus les 2 livres que l’assistant garde, cela fait 30 livres. Le prix n’a jamais été de 30 ou de 27 livres : il s’agit d’une distraction qui donne l’illusion d’une livre manquante. Le prix de 25 livres est la véritable prémisse.
En transposant cette construction fallacieuse au problème TSV, nous constatons que la prémisse de diversion est « tous les X ne sont pas comme ça », de forme logique « tous les x ne sont pas p ». Et c’est cette prémisse que le tenant du TSV nous fait passer, par un artifice de présentation rhétorique, pour la prémisse majeure du raisonnement. La vraie prémisse majeure, c’est « un certain x est p ». Prenons l’exemple de l’attentat de Manchester Arena, perpétré par un musulman en 2017 et qui a fait 22 morts et 1 017 blessés. Dans ce cas, « tout x n’est pas p », ou « tous les musulmans ne sont pas des terroristes », n’est pas la prémisse majeure, elle n’est pas fausse, mais ce n’est pas elle qui peut expliquer l’explosion. La prémisse majeure qui rend compte de l’explosion, c’est « certains x sont p » – «certains musulmans sont terroristes». Comme dans l’analogie du téléviseur, en prenant pour point de départ une mauvaise majeure, on arrive à des conclusions fantaisistes.
Petite considération subsidiaire sur l’utilisation sélective de l’argument TSV. On a l’habitude d’entendre que « tous les musulmans ne sont pas des terroristes », et cette affirmation est vraie dans le cadre de sa fonction. Cependant, si le sujet est le viol et le nombre disproportionné d’agressions commises par des non-Blancs, l’accent est soudain mis sur le fait que « tous les violeurs sont des hommes ». Les « hommes » deviennent donc le problème, plutôt que la prévalence de certaines ethnies dans les cas de viol. C’est changer les règles du jeu en cours de partie: « tout x n’est pas p » est remplacé sélectivement par « tout x est p » pour des raisons d’opportunité politique, c’est de la triche, sans règles incontestables, il n’y a pas de logique.
Traduction : Francis Goumain
FG – Les considérations statistiques sur la règle et l’exception ne sont pas pertinentes et ne placent pas le problème au bon niveau.
La vraie ligne de partage se situe entre ceux qui ont une vision essentialiste des êtres et du monde et ceux qui en ont une vision existentialiste. Pour les essentialistes, le comportement de quelqu’un dépend de ce qu’il est physiquement, un homme ou une femme, un Blanc ou un Noir. Pour les existentialiste, le comportement – les informaticiens diraient, le logiciel – est totalement indépendant du substrat, on peut mettre n’importe quel logiciel dans n’importe quel ordinateur (à la question des capacités près).
Prenons l’exemple de la couleur des voitures de course. Il est a priori ridicule de dire que les voitures bleues vont plus vite que les blanches. Toutefois, si les conducteurs ont cette croyance, que par conséquent ils soient plus en confiance quand ils prennent le volant d’une voiture bleue que quand ils montent dans une voiture blanche, statistiquement, on pourra constater que les voitures bleues gagnent plus souvent même si, objectivement, les voitures ont les mêmes performances, c’est la thèse défendue par les existentialistes.
Pour les essentialistes, en revanche, il y a toujours un lien entre l’être et l’apparence, par exemple, on pourrait imaginer que la peinture des voitures vire au bleu en fonction de la vitesse, disons, en raison de la friction accrue de l’air sur la tôle. Dans ce cas, il n’est pas idiot d’avoir le stéréotype selon lequel les voitures bleues vont plus vite, même si la couleur n’est pas vraiment la cause de la rapidité de la voiture.
Et in fine, il y a autre chose, la beauté, ça ne s’explique pas, elle est une fin en soi, la fin absolue, indépendamment de toute autre considération, sur la sécurité par exemple, ou, plus largement, sur la vérité, le bien et la justice. Et de ce point de vue, les voitures de course bleues, qu’on le veuille ou non, sont plus jolies et donc, plus rapides.
Là où il y a beauté, il y a sens, là où il y a sens, il y a beauté. La France est en train de perdre l’une et l’autre.
Source : The Solipsism of NAXALT (counter-currents.com)
The NAXALT Argument as Distraction Premise (counter-currents.com)
Annexe :
Pour Philippine, la Mairie de Montigny-le-Bretonneux ne fera pas d’hommage
Le Parisien – Meurtre de Philippine : la mairie de Montigny-le-Bretonneux assaillie de messages
https://www.leparisien.fr/yvelines-78/meurtre-de-philippine-la-mairie-de-montigny-le-bretonneux-assaillie-de-messages-03-10-2024-H6WQ5NMGGRCFVBVYB5PTGUZHEE.php
On est bien obligé de faire des généralisations .Genre » Les polonais boivent comme des trous » On ne va pas dire « Le POlonais qui habite rue scpalk au n° 24 ,du 5em étage de l’immeuble A 564 /Z 780 ,boit comme un trou ,alors on dit ‘ Les Pollacks boivent comme des trous » ça va plus vite et en général il n’y a pas de fumée sans feu .(On ne dit quand méme pas les Pollacks sont tous des ivrognes ,c’est génétique , ça serait pas TSV ,méme si c’est vrai .)
Enfant j’ai vu une énorme couleuvre noire dans la forèt de mon g -père ,j’ai dévalé le coteau en courant sur presque 1 km !
Point vidéo/carte Ukraine du 11 octobre
https://www.youtube.com/watch?v=iRa0fHdoqcE
Les Conflits en cartes