Le groupe raciste antiblanc Equal Justice [sic] Initiative a affirmé qu’entre 1877 et 1950, les « lynchages » n’avaient concerné que 3 959 criminels africains aux États-Unis. Cela ne représente qu’une exécution par semaine pendant 73 ans, soit 54 par ans. Ce chiffre est à peu près équivalent au nombre d’exécutions légales de criminels au début des années 1960 aux États-Unis
« En Allemagne, ils sont contraints de gérer les conséquences de l’Holocauste. Nous faisons exactement le contraire en Amérique. Nous ne nous sommes pas engagés sur le chemin de la réconciliation et de la vérité, nous n’avons pas réellement tenté de faire face aux conséquences de cet héritage »
a prétendu le raciste antiblanc Bryan Stevenson. Aucun des nombreux médiats ayant propagé ses mensonges n’ont rappelés que les individus lynchés étaient des criminels qui auraient échappé à la véritable justice sans l’action des jurys populaires, ni que de nombreux criminels blancs ont également été lynchés, démontrant que les accusations de « terrorisme racial » n’étaient qu’une attaque de plus menée contre les Blancs.
Aujourd’hui comme hier, les Noirs sont extrêmement surreprésentés parmi les criminels, d’autant plus qu’après les attaques contre l’Amérique blanche à partir des années 1950, ils ont bénéficié de lois laxistes ayant encouragé les comportements criminels.
Le cas est encore plus violent concernant les crimes racistes : ainsi en 2005, aux ÉUA, 33,6 % des viols commis par des Noirs l’étaient contre des Blanches, contre 0 commis par des Blancs contre des noires. Alors que le pays abritait près de 6 Blancs pour un Noir, un viol sur trois a été commis cette année-là par un Africain (44 % contre des Blanches, 37 % contre des Noires et 19,6 % contre d’autres races) (source gouvernementale américaine : http://www.bjs.gov/content/pub/pdf/cvus0502.pdf, page 30).