En 711, soit à peine 80 ans après la mort de Mahomet, les musulmans atteignent l’Espagne, qu’ils traversent en 8 ans, et occupent en 719 le Languedoc actuel. Cette province, entre les Pyrénées et le Rhône, s’appelle alors Gothie, en souvenir des Wisigoths, ou Septimanie, d’après ses sept villes principales (sa capitale Narbonne, Agde, Béziers, Nîmes, Maguelone, Lodève et Elne). Arrêtés à Toulouse, en 721, par le duc Eudes d’Aquitaine, ils tournent alors leurs regards vers l’est et prennent Nîmes, Arles et Autun en 725.
En 732, ils s’approchent de Tours la ville de Saint Martin. A la demande de l’Eglise, le Duc des Francs, Charles Martel (« celui qui frappe comme un marteau »), vient au secours d’Eudes, Duc d’Aquitaine. Après avoir rassemblé une armée à la hâte, Charles Martel rejoint les troupes mauresques, à Moussais, à proximité d’une voie romaine reliant Châtellerault à Poitiers.

Le samedi 25 octobre 732, premier jour du ramadan, les envahisseurs musulmans se décident à engager la bataille, au nord de Poitiers. Leur chef, Abd al-Rahman, est tué pendant la bataille. Sa cavalerie, légère et désordonnée, se heurte au « mur infranchissable » que forment les guerriers francs, à pied, mais disciplinés et bardés de fer. De son côté, Charles Martel attribue sa victoire à l’intercession de la Vierge Marie et parle des anges combattant aux côtés des Francs.
La victoire de Charles Martel signe la fin des incursions musulmanes au nord des Pyrénées. Et c’est son fils, le Roi Pépin le Bref, qui va libérer Narbonne et chasser définitivement les musulmans de Septimanie en 759, trois ou quatre décennies après leur arrivée.
Mais déjà une chronique espagnole, à peine postérieure, la décrit comme une victoire des Européens sur l’infidèle. C’est la première évocation connue de l’Europe comme civilisation et culture.
































Jeune Nation TV













Sur le site de la bataille, pas de drapeau français juste un fanion bleu triangulaire avec l’inscription 732.
Au vu de la situation actuelle, cette victoire me laisse un goût amer au vu de l’état de la France près de 1400 ans plus tard …il va nous falloir faire revivre cette glorieuse époque, coûte que coûte
Bravo !!! C’est tout à fait ça !!! Il va nous falloir faire revivre cette glorieuse époque !!! Le plus tôt possible car 732 est passée… Nous sommes en 2025 et La France a besoin d’être épurée !!! nous avons le bataillon Martel !!! Qui lui marche dans la même Direction !!! et avec les mêmes idées…
Pas seulement des sarrasins et des maures, mais aussi des francs-maçons et toutes leurs périphéries et il y en a beaucoup
Encore une victoire que la république ne célébrera pas, car tout le monde sait que la France n’est née que en 1789 Charles Martel les est arrêté à Poitiers. Un autre Charles leur ouvre grand les portes.
Merci, Mr Bourdon, d’avoir l’intelligence et le lucidité de rappeler que c’est « un autre Charles » qui nous a trahis au bénéfice des Maures en 1962 !
– On oublie trop qu’il fut une époque ou la méditerranée traversait la France comme la Seine traverse Paris !
– On oublie trop que seule une gestion réaliste des naissances par les colonisateurs pouvait éviter l’explosion démographique prévisible du tiers monde !
– On oublie trop que c’est à l’époque même où l’exploitation des richesses en minerais et hydrocarbures y permettait enfin un retour sur nos investissements que le chef d’Etat le plus lâche et le plus stupide du XXème siècle a bradé l’ensemble de l’Afrique française !
– On oublie trop qu’en 1968, c’est le même qui, quelques années après avoir capitulé en Algérie, à offert des conditions préférentielles d’immigration à ceux qui – avec sa complicité ! – nous avaient obligés de choisir entre « la valise ou le cercueil » !
– On oublie trop que se réclamer du gaullisme est la marque la plus évidente de stupidité, de méconnaissance de l’Histoire et donc d’incompétence, pour un homme politique contemporain ! ! !
Pour le contrat signé avec les muzzs est dû à cause de la guerre d’Israël avec tous les pays muzzs.
Comme I’Europe soutenait Israël à l’époque, les pays producteurs de pétrole ont coupé les robinets.
Pour les rouvrir, les pays européens concernés ont signé pour le protocole qu’on connaît. Soit, une ouverture totale pour n’importe quels muzzs
La France d’aujourd’hui et l’Europe en général sont dans la même situation de guerre civile (souverainistes-globalistes) que le royaume wisigoth au VIII ème siècle. Ne pas oublier qu’alors les mahométants furent invités a intervenir dans un conflit dynastique sur le territoire ibérique. Il fallut près de huit siècles pour les en expulser. Aujourd’hui les libéraux gauchistes favorisent l’islamisation a des fins électorales a courte vue, et par haine rabique de notre culture héleno-chretienne enracinée. En Espagne on va vers l’effacement de cette histoire, pour ne pas heurter la sensibilité de certaines communautés.
Pas que !…. depuis 1962 les musulmans algériens déferlent sur la France. À Pau, les écoliers assurent que Abd el Rahman n’est pas mort à Poitiers. Depuis 732 la France est musulmane. Elle a été occupée par des Français et il faudra les en chasser .
Il est certain que la République, par haine du Catholicisme, fut depuis l’origine islamo-gauchiste. Pendant toute la guerre d’Algérie le parti Communiste fut le parti des fellaghas.
Augustin le Numide,
ANFANOMA
La grande leçon de l’Histoire, telle qu’elle devrait être méditée par nos prétendues « élites » de la droite nationale, c’est qu’entre 721 et 732, ces adversaires qu’avaient été Charles Martel et le Duc d’Aquitaine ont eu l’intelligence d’oublier leurs différends pour se liguer contre l’adversaire commun.
Le même adversaire commun dont les « razzias » dévastent et endeuillent aujourd’hui nos villes et nos campagnes comme il y a 1 300 ans !
Décidémment, on aura tjs affaire à eux. déjà que les mongols se trouvaient devant les portes de Vienne et que seul un décès dans la famille de Genghis Khan leur firent rebrousser chemin; plus tard, ce seront les Turcs qui se trouvèrent devant les portes Vienne mais eux s’étaient carrément emparés de la ville. Je crains que cette fois-ci, ils n’auront nul besoin d’envahir quoique ce soit: on leur a carrément ouvert les « portes de la ville ».
Un fait historique totalement ignoré, les femmes hongroises du château d’ Eger ont repoussé les Turcs en 1552, leur infligeant une des premières défaites en Europe.