JUSQU’OÙ IRONT-ILS dans l’abjection, l’indécence et le blasphème ? Ils n’ont manifestement aucune limite. Et ils savent parfaitement ce qu’ils font. La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris le vendredi 26 juillet, jour de la grande fête de Sainte Anne, mère de la bienheureuse Vierge Marie, a été un condensé, plusieurs heures durant, de ce qui peut s’imaginer de pire devant des centaines de millions de téléspectateurs (dont 23,4 millions en France), dont un grand nombre d’enfants, et 326 000 spectateurs : glorification explicite de l’homosexualité, avec deux hommes s’embrassant, de la pornographie, de la nudité, de l’impudicité, et de toutes les déviances sexuelles, à commencer par le triolisme, épouvantables blasphèmes avec une représentation profanatrice de la Cène avec des drag queen et autres figures dégénérées de la communauté LGBT, haine de l’être historique de la France catholique et royale avec la mise en scène d’une Marie-Antoinette décapitée dont la tête coupée et ensanglantée entonne le révolutionnaire « Ça ira » devant la Conciergerie où elle fut emprisonnée avant d’être guillotinée, apologie de la sorcellerie, de la magie noire, du monde occulte et des forces des ténèbres avec l’apparition d’un sinistre personnage figurant la mort à laquelle trois enfants remettent la flamme olympique, la mise en scène d’un veau d’or, idole appréciée des adorateurs de Satan, l’apparition d’un chevalier blanc, évoquant les cavaliers de l’Apocalypse œuvrant à la destruction du monde et de l’humanité, la glorification de la “sororité” pour substituer une société matriarcale à la traditionnelle civilisation patriarcale.
Bref, tout dans cette cérémonie satanique, orchestrée par l’inverti revendiqué Thomas Jolly (rien à voir avec le jovial président du Parti de la France dont le patronyme s’écrit d’ailleurs avec un seul l !) et qui a coûté la coquette somme de 122 millions d’euros (sur les 6,2 milliards d’euros dépensés en tout pour ces JO de Paris, si toutefois l’addition n’est au final pas encore plus salée) était un cri de haine à l’égard de la France traditionnelle, de la morale naturelle, de la religion chrétienne, de la monarchie légitime. De bout en bout, ce spectacle nauséabond, longuement conçu, pensé et prémédité, est une offense gravissime aux bonnes mœurs, au bon goût, au bon sens, à la simple pudeur. C’est une révolte satanique contre le bien, le beau, le vrai. C’est un spectacle à la fois laid, sinistre, malsain, angoissant, ténébreux. Il s’agit manifestement, et de manière de plus en plus explicite et grossière, de souiller notre pays, qui fut appelé la fille aînée de l’Eglise, de profaner le sacré, de s’en prendre aussi violemment au Christ et aux Apôtres, à la religion catholique, à la Cène du Jeudi saint où Jésus institua les sacrements du Sacerdoce et de l’Eucharistie.
Oui, ils savent parfaitement ce qu’ils font. Et ils vont toujours plus loin dans l’inversion, dans l’abjection et la profanation. Ce n’est certes pas nouveau. Rappelons-nous la chanson blasphématoire diffusée un matin sur France Inter, radio du service public, où il était sans cesse répété et scandé « Jésus est péd… ». Après avoir évoqué de manière blasphématoire une histoire d’amour charnel entre le Christ et sainte Marie-Madeleine, voilà que ces démons vont encore plus loin en grimant Notre-Seigneur et Sauveur en drag queen et ses douze Apôtres en invertis dénudés et lascifs. Qu’on ne nous dise pas qu’il n’y a pas là une volonté de provoquer, de salir, de souiller ce qui est le plus sacré. C’est le triomphe une fois de plus de l’esprit Charlie, vanté et revendiqué le 11 janvier 2015, dimanche de l’Epiphanie, par quatre millions de mutins de Panurge qui manifestaient avec l’odieuse pancarte « Je suis Charlie » dans une sorte de contre-Epiphanie, de manifestation diabolique, de revendication du blasphème, y compris dans ce qu’il a de plus odieux, de scatologique, de pornographique. Oui, ce spectacle du 26 juillet 2024 est une agression d’une violence inouïe et délibérée contre Dieu, contre le christianisme, contre les chrétiens, contre la morale traditionnelle, contre la civilisation européenne et chrétienne. Elle ne peut susciter que le dégoût et nous renforcer dans notre rejet radical, total, viscéral de ce régime, de ceux qui le soutiennent ou qui collaborent ou se compromettent avec lui. Plus que jamais, il faut dénoncer ouvertement, explicitement, entièrement, le satanisme à l’œuvre au sommet de notre pays et plus généralement dans ce qu’il est convenu d’appeler l’hyperclasse mondiale. Leur Nouvel Ordre mondial est en effet totalement satanique. Car finalement ce spectacle est en parfaite cohérence avec la tyrannie LGBTiste qui nous est imposée, ainsi qu’aux enfants des écoles, qu’on pousse ouvertement au vice contre-nature et à la transsexualité ou qu’on laisse, dès le plus jeune âge, aux mains de drag queens qui leur lisent des contes orientés, les maquillent, les caressent, les encouragent à se grimer, à s’interroger sur leur intimité la plus profonde, dans une entreprise de perversion et de transgression probablement sans précédent dans notre histoire par son ampleur et sa radicalité.
DE GRÂCE, que l’on ne nous dise pas que le satanisme n’existe pas ou plus, que le combattre est une lutte d’arrière-garde, voire parfaitement inutile. Rappelons-nous la célèbre citation du poète Charles Baudelaire : « La plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu’il n’existe pas » (Le Spleen de Paris, Petits poèmes en prose, 1862). Qui ne voit pourtant que le visage de Satan se montre aujourd’hui de manière de plus en plus claire, évidente voire grossière ? Il faut s’aveugler volontairement pour ne pas s’en rendre compte. Nous vivons plus que jamais l’heure des ténèbres et du chaos. Les temps actuels sont incontestablement antéchristiques, eschatologiques et apocalyptiques. Ceux qui vous disent le contraire sont des menteurs ou des imbéciles, des aveugles conduisant d’autres aveugles dans la fosse. Près de soixante ans après la fin du diabolique Vatican II, cette cérémonie des Jeux Olympiques 2024 apparaît clairement comme la manifestation géante d’une totale apostasie de la France chrétienne, de la haine du Christ et de ses saints, du rejet spectaculaire de la foi, de la morale, du message de l’Evangile, des racines et de l’âme de notre pays dont la naissance et l’ancienne grandeur sont inséparables du baptême de Clovis et de la foi catholique. Cette sinistre cérémonie du 26 juillet est un spectacle fait par des démons et pour des démons.
Ne nous payons pas de mots, la tyrannie wokiste, LGBTiste, arc-en-ciel s’est encore considérablement renforcée avec ce spectacle planétaire et annonce des lendemains effrayants. Elle n’hésite plus à se montrer dans toute sa laideur, sa force et sa violence. Car non seulement les forces des ténèbres qui nous dirigent, nous tyrannisent et nous tympanisent, ne vont rien céder sur le fond, ne vont nullement reculer mais au contraire vont aller toujours plus loin dans l’horreur, la laideur, la terreur. Le millésime 2024 restera comme l’année où fut votée à la quasi-unanimité, de la France insoumise au Rassemblement national, la constitutionnalisation du génocide des enfants à naître. Le droit d’assassiner le fruit de ses entrailles est désormais gravé dans le marbre de la Constitution de la Ve République, preuve supplémentaire que leur République est un régime satanique par essence, né dans le crime et la terreur, et qui ne se maintient et se renforce que par le crime et la terreur. 2024 restera également comme l’année où fut donné à Paris ce spectacle satanique du 26 juillet. Et 2024 pourrait également être l’année où sera votée par le Parlement la loi, elle aussi abominable, légalisant l’euthanasie et le suicide assisté. On s’en prend ainsi aux deux bouts de la vie, aux enfants à naître éliminés dans le ventre de leur mère (dans ce qui est l’inversion satanique de l’Ave Maria où l’archange Gabriel affirme, dans une formule reprise par l’Eglise, que « le fruit des entrailles (de Marie) est béni »), comme aux vieillards euthanasiés, selon les recommandations du (faux) prophète Jacques Attali qui considère que, passé 60 à 65 ans, l’homme coûte plus cher qu’il ne rapporte et que l’euthanasie doit donc être un instrument de masse utilisé par les sociétés modernes.
2024 restera enfin, il ne faut jamais l’oublier, comme l’année paroxystique du génocide palestinien perpétré dans une impunité totale par l’entité sioniste et avec la complicité active du monde entier, et tout particulièrement d’un Occident sous totale domination communautaire. Depuis le 7 octobre 2023, c’est-à-dire depuis bientôt dix mois, les Palestiniens sont perpétuellement bombardés, déportés, traqués, victimes d’un blocus à la fois terrestre, maritime et aérien, et vivent l’enfer sur terre. Ils sont privés d’eau, de nourriture, de soins. Toutes leurs infrastructures, leurs lieux de vie, leurs habitations, leurs écoles, leurs hôpitaux, leurs cimetières, leurs lieux de culte sont détruits avec une sauvagerie et une inhumanité complètes par un Etat assassin et génocidaire. Et le pire, c’est que ce sont eux, et non leurs bourreaux, qui sont placés sur le banc des accusés dans une insupportable et cynique inversion accusatoire dont un certain Lobby est certes friand. Jamais peut-être n’est-on allé aussi loin dans l’injustice, dans l’ignominie, dans le cynisme, dans le mensonge et dans l’inversion. Et, disons-le encore une fois, car cette vérité fondamentale doit être dite, le culte satanique de l’“Holocauste” est le garant permanent de l’immunité et de l’impunité de l’entité sioniste qui peut multiplier les crimes et les atrocités les plus horribles et les plus barbares sans que jamais elle n’ait à rendre des comptes et encore moins à rendre gorge. On voit d’ailleurs dans cette affaire toute l’imposture du culte shoahtique puisqu’on apprend aux enfants des écoles que l’entretien de la Mémoire de la Shoah, le fait de devenir à leur tour des « passeurs de mémoire », doivent leur servir à se dresser contre toute nouvelle forme de génocide, toute tentative d’extermination ou d’anéantissement d’un peuple, d’une ethnie, toute atteinte à la dignité de l’homme, à ses droits fondamentaux, au droit international et humanitaire.
Or qu’observe-t-on ? Au nom de la lutte contre l’antisémitisme, on se tait face à la froide et préméditée perpétration du génocide de tout un peuple, le peuple palestinien. On le cautionne, voire on le légitime. Au nom du respect du « peuple qui a tant souffert », on reste muet face aux déportations et aux exterminations de masse, face à l’orchestration d’une famine géante, face à la mise à mort à grande échelle de tout un peuple martyrisé à qui on a volé sa terre, ses droits, sa dignité et que l’on continue quotidiennement à persécuter, à bombarder, à massacrer. Car, on ne le dira jamais assez, c’est au nom de la lutte contre l’antisémitisme, au nom de la vengeance après le pseudo-pogrom du 7 octobre, que l’entité sioniste bombarde, détruit, tue, ampute, affame, déporte, esclavagise tout un peuple. Au nom d’un génocide qu’on n’a pas le droit de contester, sur lequel il est interdit de se pencher, — selon la fameuse formule de l’ancien président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, « En Occident, on n’a pas le droit d’examiner la boîte noire de l’Holocauste pour voir ce qu’il y a à l’intérieur » —, elle commet un génocide qu’on n’a pas le droit de nommer et de dénoncer. Car, qu’on ne compte pas sur l’Education nationale, sur les media audiovisuels, sur la presse écrite, sur des intellectuels ou des politiques, sauf rares exceptions, pour dénoncer ce qui se passe en Palestine occupée. On ne fera pas pleurer les enfants des écoles sur les déportations, pourtant bien réelles et actuelles, des Palestiniens. Hollywood ne réalisera pas de films, Netflix ne diffusera pas de séries ou de documentaires sur les massacres de masse commis par l’entité sioniste. La Mémoire, on le voit, est sélective, partielle et partiale. Le boucher Netanyahu vient d’ailleurs de recevoir un accueil triomphal aux Etats-Unis tant de la part des Démocrates que des Républicains. Pourquoi donc arrêterait-il ce carnage casher ?
LA CHAPE DE PLOMB se renforce constamment. Macron a dissous depuis 2017 une quarantaine de mouvements et d’associations sans aucune raison valable et proportionnée, du Bastion social au GUD. L’ARCOM, le gendarme de l’audiovisuel, vient pour sa part de retirer à C8 de Cyril Hanouna l’autorisation d’émettre sur la TNT, une chaîne pourtant bien peu politiquement incorrecte, c’est dire jusqu’où va la censure ! Quant à la mairie de Montauban, elle a été attaquée ces derniers jours parce qu’elle a eu le malheur dans le journal municipal annonçant les commémorations pour le 80e anniversaire de la Libération de publier une photo du Maréchal Pétain prise dans cette ville en novembre 1940. Pour une simple photographie d’archives du chef de l’Etat français, décédé il y a 73 ans, le 23 juillet 1951, l’opposition municipale va jusqu’à dénoncer « un révisionnisme insidieux » et exige des excuses de la mairie. Les services de la municipalité ont beau expliquer que la photo du Maréchal était destinée à illustrer une visite guidée de la ville sous l’Occupation, rien n’y fait. Pas même les déclarations convenues de l’édile, Brigitte Barèges, qui proclame : « Je suis fière de me revendiquer de la filiation du Général De Gaulle qui a su appeler la France à résister à Pétain le 18 juin 1940. »
Pourquoi un tel acharnement, d’ailleurs sans cesse croissant, contre un homme et un régime disparus depuis de longues décennies ? C’est d’une part que la devise du régime de Vichy, « Travail, Famille, Patrie », repose sur des principes radicalement contraires à ceux de la démocratie moderne qui promeuvent une société sans Dieu, sans travail, sans famille et sans patrie. Et c’est d’autre part que nous vivons sous l’ère de la judéocentrie et que l’on reproche au Maréchal son traitement de ce qu’on appelait autrefois « la question juive». Et ce, alors même que l’historienne israélite, feu Annie Kriegel, écrivait en 1990 dans Le Figaro qu’on pouvait se demander si Vichy n’avait pas fait davantage pour sauver les Juifs que pour sauver la France. De libres considérations totalement impensables aujourd’hui et qui pourraient même être passibles des tribunaux, tant la censure idéologique, politique, morale, religieuse, devient de plus en plus effrayante.
Face à cela, notre devoir est de résister vaillamment et de défendre le bien, le beau, le vrai. Sans aucune concession. C’est ce à quoi, avec la grâce de Dieu et votre stimulante fidélité, RIVAROL continuera à s’employer à la rentrée. Et aussi longtemps qu’il le pourra. […]
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Source : Éditorial de Rivarol
Vidéo parodique russe des JO
https://www.youtube.com/watch?v=13hZ9G7rDeg
Ne pas faire d’erreur d’analyse:
ce ne sont pas les chrétiens qui sont attaqués,
mais à travers eux, cibles faciles qui ne réagissent jamais, ce sont en réalité les Français de souche, et encore à travers ces derniers, tous les Blancs.
On a vu le vieux Charles Coste passer le flambeau à deux athlètes Noirs: c’est ça le message.