Il y a tout juste un an, ce 17 mars, commençait en France un premier confinement strict de deux mois avec fermeture des écoles et obligation de rester chez soi. A ce moment-là, combien de Français — et de Terriens car le confinement a concerné plus de la moitié de l’humanité au printemps dernier — pouvaient imaginer que nous en serions là douze mois plus tard et que l’on continue à vivre sous le régime des couvre-feux et des confinements. Dès le lundi 15 mars la majeure partie de l’Italie a été reconfinée et les autorités de la péninsule n’envisagent pas un retour à la normale avant la fin du printemps (qui n’a pas encore commencé !) Quant à nous, si nous avons échappé début février à un reconfinement qui était alors annoncé comme extrêmement probable et qui devait durer deux mois, il est à craindre que nous n’ayons reculé que pour mieux sauter. Du moins à en juger par les déclarations particulièrement alarmistes de l’Exécutif. Le 15 mars, lors d’un déplacement à Montauban où se tient un sommet franco-espagnol, Emmanuel Macron a déclaré que de nouvelles restrictions (sous-entendu de libertés) pourraient être instaurées dans les prochains jours, particulièrement dans les territoires où l’épidémie progresse et où surtout la situation hospitalière semble se dégrader, comme en Ile-de-France où un reconfinement pourrait être envisagé. La mairie de Paris où sévit la sinistre Anne Hidalgo avait déjà évoqué tout récemment un reconfinement de toute la capitale pendant quelques semaines. Cette annonce n’a pas été suivie d’effet jusque-là mais cela ne signifie pas que les Parisiens ou Franciliens échapperont durablement à un nouveau confinement, dramatique à tous points de vue.
Le Premier ministre avait été encore plus pessimiste la veille. Invité de Samuel Etienne sur la plateforme Twitch le 14 mars, Jean Castex s’est confié à propos d’un reconfinement, dur cette fois, qui ressemblerait donc davantage au premier, celui du printemps 2020, qu’au second, moins coercitif, celui de l’automne dernier. « Je ne l’ai jamais caché, je l’ai toujours dit. Si le confinement est nécessaire, nous y procéderons », a indiqué le chef du gouvernement, comme s’il voulait préparer les esprits à cette hypothèse de plus en plus forte, au moins en région parisienne. « Je prends les mesures qui s’imposent compte tenu des situations locales et territoriales. Il y a en Île-de-France des départements qui ont dépassé le seuil d’alerte maximale comme en Seine-Saint-Denis », ajoutant qu’il ne pourra toutefois pas « prendre un département isolément » et qu’il sera obligé, s’il y a reconfinement, « de prendre l’Île-de-France » dans sa globalité, du fait des brassages importants.
Bien plus grave, le Premier ministre a validé le principe d’un passeport vaccinal, comme dans l’entité sioniste. Jean Castex a dit en effet qu’il était favorable à ce dispositif, « mais seulement à condition qu’il soit efficace ». Rappelons que, si ce projet est voté et appliqué, et il y a fort à craindre qu’il ne le soit, celui qui n’aura pas de passeport ou de certificat vaccinal sera un mort social et ne pourra pas accéder aux restaurants, aux musées, aux théâtres, ne pourra pas prendre l’avion, etc. C’est donc une société de plus en plus liberticide et normative qui se met en œuvre sous couvert de sécurité sanitaire. Dans le même esprit, la Commission européenne prépare un passeport vert avant l’été. C’est ce qu’a annoncé le 14 mars le commissaire au Marché intérieur Thierry Breton selon lequel ce certificat contiendra des informations « qui vont indiquer qu’une personne a été vaccinée contre le Covid-19, ou qu’elle a guéri, ou qu’elle a reçu un résultat négatif au test », ainsi qu’il l’a précisé lors du “Grand Rendez-vous” Europe 1-CNEWS-Les Echos. Et d’ajouter : « Il sera soit sous forme électroni!que, soit papier ». Doté d’un code QR, gratuit, il sera dans la langue de chaque pays et traduit en anglais, et il « sera valable dans tous les pays de l’Union européenne », a-t-il détaillé. Il est clair que ceux qui n’auront pas ce certificat dûment rempli et à jour ne pourront pas prendre l’avion. Ce qui rend dans les faits la vaccination obligatoire pour toute personne désireuse de voyager cet été.
Le problème, c’est qu’elle n’est pas sans danger à en juger par la multiplication des maux et des décès provoqués tout particulièrement avec AstraZeneva. Cette vaccination a en effet entraîné de graves problèmes sanguins, notamment des thromboses, des caillots, ou des difficultés à coaguler chez un certain nombre de vaccinés, allant parfois jusqu’au décès. La situation est si préoccupante que neuf pays européens ont déjà suspendu la vaccination avec AstraZeneva à l’heure où nous rédigeons ces lignes, même si les agences de presse, à la solde des laboratoires pharmaceutiques et de l’Etat profond, expliquent qu’en réalité il n’y a aucune preuve que ces thromboses et ces décès soient liés à la vaccination. Il n’y a aucun lien avéré nous dit-on, mais curieusement c’est après l’injection de ce produit que ces problèmes sanguins, parfois mortels, sont apparus. Et chez des personnes de pays, de milieux et de générations différents. Comme le disait Louis Jouvet dans Drôle de drame : « Vous avez dit bizarre, comme c’est bizarre ! »
L’ancien Premier ministre, Édouard Philippe, plus libre de ses propos et de ses analyses depuis qu’il n’est plus aux responsabilités — d’aucuns lui prêtent des ambitions présidentielles au cas où Macron serait empêché de se représenter dans un an à cause de sondages trop mauvais, comme Hollande en 2017 — annonce, quant à lui, des lendemains douloureux :
« Nous allons affronter une tempête — une tempête économique, une tempête sanitaire, une tempête à tous égards — et peut-être une tempête sociale, peut-être une tempête politique. Et je pense que les temps qui viennent sont des temps difficiles ». Il aurait pu utilement ajouter une tempête identitaire et migratoire, tant le chaos racial a pris possession du pays. Et sans même parler des conséquences psychologiques, sociales et familiales induites par les confinements à répétition, les dépressions et les suicides, les divorces et séparations, les violences conjugales, le décrochage scolaire, les faillites multiples d’entreprises industrielles et commerciales.
Le taux de natalité, qui n’était déjà pas exceptionnel, a ainsi fortement reculé cette dernière année, preuve du mal-être et de l’inquiétude de nos compatriotes. Le nombre de naissances enregistrées en France en janvier a chuté de 13 % par rapport à janvier 2020, une baisse inédite depuis 1975. Les 53 900 bébés nés en janvier 2021 ont pour la plupart été conçus au début du premier confinement, instauré à la mi-mars 2020. Or, « le contexte de crise sanitaire et de forte incertitude a pu décourager les couples de procréer » ou « les inciter à reporter de plusieurs mois leurs projets de parentalité », observe l’Institut d’études statistiques (INSEE). La natalité est en baisse constante depuis six ans, mais la chute observée en janvier est « sans commune mesure avec les baisses qui ont pu être observées dans le passé », souligne l’Insee. « Il faut remonter à 1975, la fin du baby-boom, pour observer un phénomène de telle ampleur », ajoute l’Institut. Quand on pense que, pendant la guerre, sous le Maréchal Pétain, il y a eu un baby-boom, malgré les terribles difficultés du temps, on mesure à quel point la situation actuelle est vraiment cauchemardesque.
Jérôme BOURBON, RIVAROL
Oui, il y a un an, personne ne savait ce que c’était qu’un masque ou des distances sociales,
mais une autre inquiétude pointe à l’horizon:
de quoi va-t-on parler après le covid, après cette fausse fin du monde?
La désintoxication, qu’on ait pris ou non ce covid au sérieux, risque d’être longue et pénible.
Il faut dire que pendant la dernière guerre mondiale , la contraception n’existait pas, non plus. Baisse de la natalité en France ? Pardon mais c’est plutôt une bonne nouvelle si il s’agit de divers .
Il y a un an je me tuais à dire que nous allions vers une dictature ! pourquoi ? une intuition? prémonition ? juste mais alors juste que mon cerveau à réfléchi à vitesse grand V !!!!
tout cela me paraissait irréaliste ! muselière, confinement, couvre-feu etc… pour un virus un nouveau coup des dirigeants ! H1N1, Tchernobyl, Hong Kong etc etc etc…. que de mensonges accumulés…