Nous serons plusieurs milliers à battre le pavé cet après-midi, peut-être plusieurs dizaines de milliers. Trop peu, sans doute. Avec des mots d’ordre trop vagues. Des voisinages incertains. Beaucoup trouveront une raison pour refuser d’agir, ici, et maintenant. Les nationalistes seront là, et cela seul importe. Les nationalistes qui ont averti des périls hier comme aujourd’hui, les nationalistes qui se tiennent à côté du peuple, même si celui-ci les a ignorés ou rejetés.
Les périls n’ont pas changé : le libéralisme, le matérialisme, l’invasion et la destruction de nos identités, l’instauration d’un ordre intrinsèquement pervers. Ces maux ont commencé à détruire la France il y a plus de deux siècles ; ils achèvent de détruire le monde blanc aujourd’hui.
Un jour de colère, c’est bien peu, mais ce qu’il y a, ici, et maintenant. Si le combat passe par ce jour de colère, alors que la France entende notre colère. Qu’elle entende la colère qui nous envahit lorsque nous songeons aux nôtres abandonnés dans les cités occupées, livrées aux mafias, à notre histoire souillée chaque jour par les ennemis mortels de notre peuple, à nos paysans, à nos ouvriers délaissés par des politiciens qui paradent dans les médiats pour s’assurer de leur réélection ou commenter les déboires de l’ex-Première concubine, à nos anciens considérés comme des poids, aux animaux martyrs et à la pollution chaque jour plus grande sur nos terres, alibis de criminels qui se parent du nom d’écologiste pour imposer le pire des mondialismes.
Il y a peu, en Grèce, l’Aube dorée organisait une distribution de nourriture qui fut « interdite » par le pouvoir. Comme Manuel Valls préfère voir des racailles triompher plutôt des nationalistes triompher, les mondialistes en Grèce préfèrent voir les Grecs malades et mal nourris plutôt qu’aidés par les nationalistes. Le visage de la colère, la Grèce nous l’offre aujourd’hui ; la Grèce trahie par ses élites, abandonnée au FMI, à la Banque centrale européenne ; la Grèce livrée à des tueurs fanatiques qui poursuivent en 2014 les combats d’une idéologie qui était déjà morte en 1917. Qu’importe les interdictions : l’Aube dorée poursuivra son œuvre demain, comme elle l’a fait hier.
Que ce jour de colère annonce à ceux qui nous oppriment, aux complices de l’invasion, aux instigateurs de la destruction notre identité, de notre économie, de nos solidarités que les nationalistes français sont prêts à être prêts et qu’ils devront rendre des comptes, pour cet avenir grec qu’ils nous préparent, pour ce marin jeté à la rue, pour cet homme privé de travail et sans argent pour soigner sa mère malade… et pour cette petite fille qui sourit, malgré la colère.