Terre et Peuple Magazine – Mensuel de la résistance identitaire européenne – 9 €
Sommaire :
Editorial :
La France ne doit pas disparaître
Certains vont sans doute trouver le titre de mon édito trop alarmiste. C’est qu’ils ne veulent pas regarder la réalité en face. Quand cette réalité va leur éclater en pleine figure, ils seront les premiers à se mettre à l’abri pour nous donner d’excellents conseils… quand nous, nous irons au casse-pipe… ces dernières années m’ont appris à savoir qui est qui, loin des illusions.
Il y a plusieurs façons de mourir. Il y a la mort physique pure et simple. Il y a aussi la mort spirituelle, qui fait que le mot « Français » ne recouvre plus aucune réalité charnelle, identitaire.
Cela va sans dire mais cela va encore mieux en le disant : par Français nous entendons parler des hommes et des femmes d’origine européenne et en qui la race et la culture s’allient pour constituer une identité, portée par un peuple. Certains – toujours les mêmes – me reprochent d’utiliser le mot « race », trop connoté, trop marqué, trop compromettant. En somme, tabou. J’ai toute ma vie appelé un chat un chat et ce n’est pas à la fin de mon existence terrestre que je vais changer. Je laisse à ceux et à celles à qui cela donne des vapeurs le soin de s’adapter à l’air du temps. Mais qu’ils ne se fassent pas trop d’illusions : ayant côtoyé des maudits, dont je suis, ils restent à jamais des maudits. Ceci étant, les mots ont leur importance car ils sont des armes, c’est pourquoi j’utilise volontiers « Gaulois » pour désigner les vrais Français. Les gauchistes l’ont bien compris, qui ont lancé naguère leurs malédictions contre Astérix dans les colonnes de Libération.
Eux qui veulent enlever à la France son identité ont bien compris que la clé pour arriver à leurs fins c’est la démographie. C’est pourquoi il n’y a rien de plus important que la question du peuplement. Tout doit donc être fait pour enrayer le suicide démographique de la France. À ceux qui prétendent qu’il n’y a pas de solution, je réponds que l’Histoire en fournit de nombreux exemples. Le premier devoir d’un futur gouvernement de Bloc National est d’avoir une politique nataliste dynamique, conjointement au Grand Ménage destiné à renvoyer chez eux les envahisseurs. Nous avons en tête des solutions très efficaces.
Nous sommes réalistes et pragmatiques. C’est dans cet esprit qu’il faut saisir toute occasion qui se présente pour faire avancer notre conception des choses. Les prochaines élections européennes en sont un bon exemple. Il n’y aura pas de possibilité de survie pour la France si elle ne retrouve pas sa souveraineté, confisquée par les Européistes de Bruxelles. Il faut donc impérativement que toutes (je dis bien toutes) tendances confondues, ceux qui refusent la fin de la France programmée à Bruxelles constituent un Bloc National, qui peut faire pencher la balance du bon côté. Ceux qui disent qu’il y a ceci ou cela pour refuser ce Bloc National sont soit des imbéciles, soit des traîtres – ou les deux à la fois. Aujourd’hui ne peuvent se justifier d’aucune façon les ego, les susceptibilités, les ambitions, les rancunes, l’appât du gain. LA PATRIE EST EN DANGER. Nous sommes maintenant nombreux à le dire : sans souveraineté politique, économique (énergétique, industrielle, agricole – la grande colère de nos campagnes est totalement légitime), militaire (La France dispose de 70 hélicoptères Tigre… mais la moitié seulement est opérationnelle !), culturelle, la France est condamnée à mort. Ou, ce qui revient au même, à être le Xe État d’une nébuleuse mondialiste. Donc que vive la CONFÉDÉRATION EUROPÉENNE DES PEUPLES où chaque peuple apportera sa contribution, avec son génie propre dans un faisceau de volontés, conscient que l’unité fait la force. Et une grande leçon de L’Histoire c’est que la force est la seule réplique efficace aux agresseurs de toutes sortes. […]
Pierre Vial
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HONNEUR A TOI, PIERRE VIAL .
Malgré les années passées, on retrouve intacts, dans ce texte, à la fois l’intelligence et le courage qui t’ont toujours caractérisé !
Je me souviens que le Général Bigeard me disait – et je l’ai écrit dans « Minute » ! – qu’un peuple comme le nôtre peut se relever de tout et l’a déjà fait dans sa longue histoire ; mais à condition de conserver les valeurs ethnoculturelles qui ont fait de lui un grand peuple ! La seule défaite dont un peuple ne se relève jamais étant la perte de cette identité bioethnique.
Il faisait sienne, en somme, cette autre affirmation ethno-différencialiste d’un homme d’Etat parmi les plus puissants de l’Histoire Européenne, qui dirigea la Grande Bretagne alors au sommet de son rayonnement sur le monde; Benjamin Disraeli : « La race est tout. Il n’y a pas d’autre vérité. Et toute nation qui abandonne son sang à des mélanges est destinée à périr »
Ce que les lâches et les sots, qui ne manquent pas dans notre mouvance, ne parviennent pas à comprendre, c’est que, loin d’employer timidement le mot « RACE », nous devons lui redonner toute sa signification… le replacer dans son véritable contexte humaniste…
RAPPELER QUE DEFENDRE LES RACES, C’EST DEFENDRE TOUTES CES DIFFERENCES QUI CONSTITUENT LA RICHESSE DE L’HUMANITÉ, LESQUELLES SONT MISES EN PERIL PAR LA MONDIALISATION INDIFFERENCIEE.
Tous ces déplacements de population, tous ces encouragements au métissage, toutes ces attaques contre les processus naturels de reproduction, tout ce qui tend à détruire les particularismes de l’humanité, constitue une entreprise génocidaire à l’échelle de la planète.
Soit le plus définitif et ultime crime contre l’humanité, qui ait jamais été ourdi.
Et contre lequel NOTRE RACISME est désormais le seul obstacle !
Je pense que nous n’avons plus d’autres choix que les armes , les bulletins de vote n’ont jamais rien changé et à l’ époque actuelle , les media ont la main mise sur l’information , la censure est de rigueur …
Je puis entendre que l’on puisse être nationaliste ( cela ne veut pas dire comprendre) mais dans cet éventail de populismes et de personnages, je vois surtout des pro-sionistes. Cet alignement les discrédite .
Aimer une un pays, un terroir, pour ces paysages, sa culture, sa population, fait partie de ses ressentis et de son identité. Mais il a bien d’autres éléments bien plus déterminants pour un engagement : l’Humain et les droits humains, la conception idéale de la vie, du pouvoir, fondés sur la libération et la souveraineté humaines. Pour le moment nous ne sommes jamais sortis de l’esclavage et de la colonisation. L’Ennemi, n’est pas nos compagnons d’infortune, mais bien le colonisateur et l’esclavagisme.