Au travers de Vincent Reynouard finissant sa 6e semaine de détention en Ecosse en attente de son audience d’extradition, ayons une pensée pour tous les réprouvés de notre modernité contemporaine qui passe Noël en taule, avec ce traditionnel Poème de Fresnes de Robert Brasillach.
Pour ceux qui veulent aller plus loin, ils peuvent prendre contact avec le C.L.A.N. – Comité de Liaison et d’Aide Nationaliste qui œuvre au soutien juridique, matériel et moral des nationalistes persécutés et emprisonnés.
NOËL EN TAULE
Qu’importe aux enfants du hasard,
Le verrou qu’on tire sur eux :
Noël n’est pas pour les veinards,
Noël est pour les malchanceux.
Voici la nuit : il n’est pas tard,
Mais la cloche tinte pour eux.
Bon Noël des garçons en taule,
Noël des durs et des filous,
Ceux dont la vie ne fut pas drôle,
La fille que bat le marlou,
Le gars qui suivait mal l’école,
Ils te connaissent comme nous.
Noël derrière les barreaux,
Noël sans arbre et sans bonhomme,
Noël sans feu et sans cadeau,
C’est celui des lieux où nous sommes,
Où d’autres ont joué leur peau,
Sur la paille dormi leur somme.
Je t’adopte, Noël d’ici,
Bon Noël des mauvaises passes :
Tu es le Noël des proscrits,
De ceux qui rient dans les disgrâces,
Des pauvres bougres qu’on trahit,
Et des enfants de bonne race.
Nous savons qu’au dehors, ce soir,
Les amis et les cœurs fidèles,
Les enfants ouvrant dans le noir,
Malgré le sommeil, leurs prunelles,
Évoquent l’heure du revoir
Et tendent leurs mains fraternelles.
Et pour revoir, gens du dehors,
Le vrai Noël de nos enfances,
Il suffit de fermer encore
Nos yeux sur l’ombre de l’absence,
Pour dissiper le mauvais sort
Et faire flamber l’espérance.
Robert Brasillach, Noël 1944, Prison de Fresnes
la désindustrialisation de la France en voie de réalisation par Jupiter; la campagne en projet
d’envahissement par les immigrés musulmans; la fin de l’Abondance et la calomnie par Macronescu
qui nous traitent de collabo, de racistes, d’anti-sémite évidemment sur ordre d’un riche hébreu et moyennant corruption financière dont Jupiter remplit son coffre-fort !
Beau poème que j’avais découvert précisément à la prison de nice en décembre 1980, mis à l’honneur par un compagnon d’infortune, également détenu. ( Voir mon témoignage : tapez : vie brisée, daniel milan aredam.
Une pensée pour Vincent Reynouard et pour tous les prisonniers politiques ( bien que ce statut ne soit pas reconnu par la France)