La Lettre des Amitiés Franco-Espagnoles – Trimestriel du Cercle Franco-Hispanique
Le Cercle Franco-Hispanique, fondé le 20 novembre 1984, par Olivier Grimaldi, s’est fixé comme mission d’entretenir des liens étroits et fraternels entre les nationaux et nationalistes français et les différentes composantes du mouvement national espagnol. Le CFH contribue activement à faire connaître en France la pensée et l’action du fondateur de la Phalange, José Antonio Primo de Rivera, héros et martyre de la cause nationaliste ibérique et la victoire franquiste dans la croisade espagnole contre le bolchevisme.
Éditorial :
Chers Amis,
En 1981, Georges Gondinet exprimait sa « volonté de changer radicalement de société, la volonté de mettre à bas un système inhumain ». (…) « Nous devons, plus que les mouvements nationaux d’avant-guerre donner une dimension spirituelle, transcendante à notre combat, en dépassant certaines limites propres au nationalisme. Nous devons unir la Tradition et la révolution. Contre la Subversion. En attendant l’aurore, si prodigieusement pressentie par la Phalange espagnole ».
Si nos commémorations sont précédées ou suivies d’une messe, c’est parce que nous sommes dans la fidélité de la pensée de Jose Antonio Primo de Rivera et celle du Général Franco à qui nous consacrons notre dossier à l’occasion des cinquante ans de sa mort. « Nous voulons implanter une justice sociale profonde, pour que sur cette base les peuples retournent à la suprématie du spirituel ». C’est ce à quoi le Caudillo, chef de l’État espagnol, s’est attaché pendant une quarantaine d’année.
La décadence de la France actuelle n’est pas que matérielle. « La République, bien-pensante et permissive, incapable de protéger les siens, laisse se répandre les horreurs, asservie à un discours progressiste qui dissimule des maux qu’elle a elle-même engendrés. Le système judiciaire, asphyxié par des années de réformes laxistes, est devenu impuissant face à la criminalité grandissante » (Frédéric de Longpré) ce qui ne l’empêche pas de trouver le temps et l’argent des contribuables pour condamner Yvan Benedetti à trois mois de prison pour avoir voulu déposer des fleurs sur la tombe de Pierre Sidos, tout en laissant les tombes de Jean-Marie Le Pen, Charles Maurras, Maurice Barrès et Robert Brasillach être profanées.
« Un peuple sans morale est un peuple sans avenir ». Le nationalisme n’est plus une option. Il est urgent de redonner au peuple sa fierté et son honneur, de ne plus perdre de temps à voter pour les partis du système.
Hélène Grimaldi
Sommaire :
- Éditorial d’Hélène Grimaldi
- En Espagne
- En France
- Dossier : Francisco Franco Bahamonde (partie 1)
- Brèves
- Requiescat in pace
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