Le lundi 21 octobre 2013, Alexandre Gabriac et Yvan Benedetti avaient rendez-vous au Conseil d’État à Paris, cette « cour de cassation administrative » de la République.
Leurs requêtes en référé suspension étaient examinées suite à deux décrets du 25 juillet 2013 pris la veille en « Conseil des sinistres » par la troïka socialo-bolchevique Hollande-Ayrault-Valls prononçant la dissolution des Jeunesses nationalistes et de l’Œuvre française.
Après avoir gravi le grand escalier du conseil d’État flanqué du drapeau tricolore et européiste d’occupation (celui de couleur bleue avec couronne de barbelés et d’épines) nous nous retrouvons dans la salle de type Directoire du contentieux.
Dans ce palais jouxtant la Comédie-Française, le vice-président du contentieux que nous appellerons pour la circonstance Monsieur Jourdain accompagné de ses plumitifs ouvrit la séance. La sous-directrice de la « chapelle juridique » et du contentieux, de la direction des Libertés publiques du secrétariat général du ministère de l’Intérieur (fermez le ban), que nous appellerons Cruella, était en place. Avec ses desseins très animés elle allait nous étonner !! Alexandre et Yvan étaient assistés par un avocat en robe de l’institution, mais aussi par le conseil requis par les nationalistes français.
Avec un aplomb de métronome administratif monsieur Jourdain présenta les faits de procédure et de discussion.
D’après Cruella, les requêtes présentées l’ont été tardivement, soit le 25 septembre 2013, alors que les décrets de dissolution ont été validés le 27 juillet 2013 ; argument comme l’on dit sans objet, le délai pour présenter les requêtes étant de deux mois. Chez les nationalistes, on respecte la loi.
Puis furent avancées les supputations, les insinuations, les formules élimées toutes faites, les violations imaginaires etc. Bref du classique sans fondement que les nationalistes connaissent bien. Au-delà de tout ce qui est avancé par Cruella, c’est un procès politique qui est fait aux nationalistes qui entendent garder la France des cathédrales et des beffrois. Et non pas celle que veulent imposer ceux des lumières et du Talmud.
Comme l’a rappelé, suite à l’affaire Méric, Ayrault le premier ministre eunuque de Hollande, « il faut en finir avec l’extrême droite ». L’affaire Méric est une opportune occasion de porter un mauvais coup aux nationalistes. Méric le gauchiste BCBG n’a pas été tué par les Jeunesses nationalistes et l’Œuvre française. L’amalgame est grossier et mensonger. Le développé de Cruella est totalement élimé. Oui les nationalistes français sont pétainistes au même titre que les mondialistes sont trotskystes, et il convient donc comme l’indique le conseil d’État de protéger les libertés (de penser notamment) et les droits fondamentaux des personnes.
Philippe Pétain – Maréchal de France – fut le héros de Verdun puis le chef de l’État français. Il est tout aussi respectable qu’un De Gaulle – Général par intérim – qui en juin 1940 déserta la France pour se « mettre à l’abri » à Londres. Philippe Pétain fit face à l’adversité pour protéger les Français ainsi que tous ceux qui faisaient confiance à la France. Philippe Pétain fut respecté par Churchill pourtant le commanditaire de Mers el-Kébir, mais aussi par Roosevelt l’étonné de Pearl Harbor. En 1940, Philippe Pétain, rappelé par la classe politique servile et dans les circonstances historiques de cette époque, fit don de sa personne à la France pour défendre les Français humiliés par la débâcle, mais aussi trompés par un Front populaire conduit par les sionistes Blum et Mandel.
Quant aux arguments de collaboration faussement avancés par Cruella, il convient qu’elle se tourne vers ses supérieurs les politiciens du système de la Cinquième République afin qu’ils balayent devant leurs assemblées. Aujourd’hui les Hollande, Sárközy, Chirac et Giscard ont « vendu les Français » aux mondialistes de Bruxelles et de Wall Street. La collaboration avec l’ennemi ce sont eux.
Oui il est normal de commémorer la mort du Maréchal Pétain, tout comme cela est fait pour Jeanne d’Arc. Leur point commun fut de sauver la France. Oui à l’honneur au drapeau, que ce soit dans les cérémonies de l’honneur ou comme cela se pratique dans les camps familiaux organisés par les nationalistes français. Et de plus en ordre serré, c’est un symbole de discipline. Oui cela se pratique dans les assemblées patriotiques composées d’hommes et de femmes courageux alors que ces attitudes nobles ont disparu du fait de l’abandon du service national. Quant à notre armée française devenue supplétive de l’OTAN, si elle honore encore le drapeau national et en ordre serré, elle se trouve dangereusement appauvrie par les socialistes alors que se précisent les menaces nationales et internationales. Un autre Munich – cette fois-ci identitaire – se prépare.
Pour ce qui est de la récurrente ritournelle du “négationnisme”, que l’on permette enfin aux historiens de travailler en toute liberté et transparence afin que toutes les vérités soient présentées aux Français. « Nuremberg ou la terre promise » promue par les idéologues en Kippa, en burnous et en bonnets phrygiens doit faire place à « Paris, Berlin, Rome en Occident chrétien de toujours » avec croix celtiques, francisques et épées de chevalier.
Cruella et sa panoplie de contre-vérités, malgré les bons offices de monsieur Jourdain en ce lundi 21 octobre 2013, ne fait pas vaciller Yvan et Alexandre. Aujourd’hui on a le droit d’être Français, de le revendiquer par le sang versé et de vouloir rester maître chez soi. Mais aussi d’en être fier alors que nous allons rendre hommage à deux millions de Français qui voilà un siècle sont morts au champ d’honneur et cela pour que la France reste la France. Les commémorations de « la Grande Guerre » vont mettre à l’honneur le grand soldat que fut Philippe Pétain, celui qui remporta à Verdun la dernière bataille gagnée à ce jour par l’armée française. Oui tous ceux qui aiment la France, la nation et qui se reconnaissent dans le nationalisme n’entendent pas « être dissous ». Ils s’opposent aux idéologues de l’Internationale socialiste qui entendent asservir les Français de toujours au bénéfice de leurs maîtres : les mondialistes apatrides.
Puis, cerise sur le « gâteau des infamies » Cruella s’appuyant sur une jurisprudence de circonstance voulut comparer l’interdiction d’exister faite aux Jeunesses nationalistes et à l’Œuvre française avec l’affaire de la Tribu Ka, ces vomisseurs de la France. Rapprochement ô combien odieux quand on sait la complaisance de Valls avec la diversité, compagnon de route de ceux qui entendent détruire la grandeur de la civilisation de ce qui a fait la France. Celle de Charlemagne, Saint Louis, Bonaparte, Pétain.
Alors monsieur Valls – Français de fraîche date – vous ne l’étiez pas lorsque fut créé l’Œuvre française en 1968. On comprend alors votre hystérie dégoulinante de descendant de républicain espagnol lorsque vous avez annoncé à l’université d’été du PS cet été votre « fierté » d’avoir dissous l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes pour soi-disant « en finir avec l’extrême droite ». Oui les nationalistes français honorent chaque année tous ceux qui ont été aux côtés de Franco et de José Antonio Primo de Rivera. Et en chemise phalangiste, car l’uniforme n’est pas réservé aux militaires, mais également en France comme ailleurs, aux organisations scoutes qui ont des camps d’amitié. Valls, complice de Taubira, vous êtes intervenu avec votre police politique contre les Français de toujours qui ne veulent pas du mariage pour les invertis. Les nationalistes étaient à leurs côtés afin de faire bon ordre face aux excitées FEMEN instrumentalisées par les sodomistes. Là aussi, les nationalistes défendent l’intérêt général, de l’ordre naturel face à la perversion – diviseur des peuples – et de ce qui a fait leurs histoires.
Oui, les musulmans ne reconnaissent que les musulmans, les Juifs que les Juifs, c’est la raison pour laquelle, et avec juste raison en 1492, la reine Espagnole Isabelle de Castille et le roi Ferdinand d’Aragon éloignèrent de l’Espagne les Juifs et mirent fin à l’occupation musulmane de l’Espagne. Comme ces deux souverains espagnols qui libérèrent leur terre et leur peuple, les Français, peuple aux racines chrétiennes millénaires, ne veulent pas être envahis par les adeptes du Coran et de la Torah. C’est aussi la volonté des nationalistes français de mettre un terme à l’actuelle colonisation rampante des allogènes qui se propage sur les terres des provinces françaises. Les Français de toujours veulent rester maîtres chez eux.
Alors monsieur Valls, vos amis et vos alliés du système, ce ne sont ni les décrets, ni les ordonnances, ou toutes autres recommandations lumineuses qui feront taire les nationalistes. La Reconquista est politiquement en marche dans toutes les nations d’Europe. Elle ne s’arrêtera pas. Les nationalistes français se mobilisent et l’identité européenne et occidentale sera sauvegardée.
« Nous voulons rester français » c’est le chant nationaliste de l’Œuvre française et des Jeunesses nationalistes.
Ils en sont déja a utilisé les méthodes des russes des années 80 ,enfermé les dissidents dans les asiles,c’est ce que m’avait gentiment proposé un policier un jour que je m’étais embrouillé avec des marocains dans la rue ,bien que tout démontrais que j’étais dans mon droit les keufs voulait absolument m’ammené voir un psy ! si les rouges ont un deuxième quinquénnat ils vont nous pondre des goulags en Lozère…les gars tenez bon car comme le disait Calvo Sotelo la veille de son assassinat « la seule chose que vous pourez m’enlever c’est la vie ».