Le 1er mai 2015, reprenant la tradition initiée par le Maréchal le 24 avril 1941 ainsi que l’idée de Valois, des nationalistes toulousains ont décidé d’unir dans un même hommage Sainte Jeanne d’Arc et les travailleurs français.
Les groupuscules gardes-chiourmes du régime ripoublicain, regroupés sous l’appellation générique d’antifascistes, ont évidemment appelé à la mobilisation violente contre cette initiative.
Ces milices ayant toute la mansuétude du premier sinistre Valls et de son représentant préfectoral local, il était hélas illusoire de compter sur un maintien honnête de l’ordre public, alors même que l’hommage organisé par nos camarades de l’association UCODEL avait été déclaré et autorisé.
Les forces de l’ordre ont donc empêché les nationalistes d’accéder à la statue de la Sainte de la Patrie, laissant sans même les contrôler les braillards antifascistes hurler leurs insanités.
Il s’agit là d’une collusion manifeste entre les forces de l’ordre et les milices d’un même régime pourri.
Notre ami Alexandre Gabriac, ancien chef des Jeunesses nationalistes dissoutes, a été injustement condamné à deux mois de prison fermes le 19 mars dernier, pour avoir organisé une manifestation qui n’avait jamais eu lieu.
Vendredi 1er mai 2015, à Toulouse, sans bénéficier de la moindre autorisation, les gauchistes ont pu occuper le pavé sous l’oeil bienveillant des policiers du système, tandis que les nationalistes ont été interdits d’accès au lieu de leur hommage, pourtant déclaré !
Ce deux poids-deux mesures est intolérable et nous lui donnerons les suites nécessaires.
Nous, nationalistes, à l’avant-garde du combat de demain, en fiers corsaires du bateau France, nous retrouverons le dimanche 10 mai 2015, à Paris, dans les meilleures conditions de sécurité pour le défilé traditionnel d’hommage nationaliste à Jeanne d’Arc qui sera précédé la veille par le 1er Forum de l’Europe sur le thème : « Les nationalistes unis contre la répression ».
Honneur à Jeanne d’Arc ! Qui vive ? FRANCE !
Pierre Driancourt pour Haute-Garonne nationaliste.