La rentrée 2015 a été particulièrement marquée par les errements gouvernementaux confrontés à l’absurde massification des études universitaires. Plusieurs dizaines de milliers de bacheliers ont été refusés par les universités où ils souhaitaient étudier. Des dizaines de milliers d’autres ont été acceptés, mais ont découvert des conditions difficilement imaginables, devant écouter les cours dans des escaliers, derrière des portes, ou se voyant simplement refusé à l’entrée d’un amphithéâtre après avoir perdu la « course au cours ».
De nombreux Français font de grands sacrifices pour pouvoir aller à l’université, se voient contraints de travailler pour financer leurs études.
Mais depuis plusieurs semaines, diverses universités, incapables d’agir en faveur des Français, qui payent doublement l’université par les impôts volés par leur République à leurs parents et à eux-mêmes et par des frais de scolarité parfois exorbitants, se mobilisent pour les envahisseurs.
La dernière université en date à trouver des salles de cours, des professeurs, du temps et de l’argent est celle de Strasbourg.