Le samedi 30 septembre 2017 était organisée par le gouvernement régional espagnol de Navarre, dans le mémorial installé sur l’ancien camp de rétention, une journée d’hommage « en mémoire des navarrais qui, fuyant la violence et l’injustice du franquisme, furent internés dans le camp de concentration de GURS (1939-1945) ».
L’affiche annonçant l’évènement, du plus pur style gauchiste nostalgique, aussi laide qu’abstraite et froide, était évidemment rédigée en basque et en espagnol.
Rappelons que le soi-disant camp de concentration a servi principalement à l’internement, sous une garde bien peu vigilante, des hordes de massacreurs de curés et de violeurs de religieuses qui fuyaient, non pas la violence des nationalistes vainqueurs, mais la légitime vengeance des familles de ceux qu’ils avaient assassinés…
En ces jours où l’unité même de l’Espagne est menacée par les séparatistes de tout poil, en ces jours où 14 de nos camarades, et parmi eux plusieurs falangistes, devaient entrer en prison pour plusieurs années, par application d’une circonstance aggravante liée à de fumeux motifs de « discrimination idéologique » pour avoir organisé un simple « chahut » accompagné d’une descente musclée au centre culturel madrilène dit de la « Blanquerna » lors de la célébration de la Journée nationale catalane en septembre 2013, les nationalistes français ne pouvaient pas laisser se tenir un tel raout sans y apporter quelque condiment de vérité..
Ils ont donc préparé quelques banderoles appelant à l’absolution des patriotes de la Blanquerna et à l’unité der l’Espagne éternelle.
Nous ne lâcherons jamais et, partout où l’ennemi d’hier et d’aujourd’hui viendra répandre ses vils mensonges, nous viendrons, nous aussi, pour rétablir la vérité.
Par ce que, comme le disent les saintes écritures, seule la vérité rend libre.
Parce que la vérité est révolutionnaire et que nous voulons, infatigables militants de la cause de nos Patries d’Europe, être cette minorité inaccessible au découragement qui fait le printemps des victoires après l’hiver des attentes.
Comme le disent si bien les strophes du magnifique chant de la Phalange, écrit en l’honneur des rois catholiques Isabelle de Castille et Fernand d’Aragon :
En pie, camaradas, y siempre adelante,
cantemos el himno de la juventud,
el himno que canta la España gigante
que sacude el yugo de la esclavitud.
De Isabel y Fernando
el espíritu impera
moriremos besando
la sagrada bandera.
Nuestra España gloriosa
nuevamente ha de ser
la nación poderosa
que jamás dejó de vencer !
VIVA LA UNIDAD DE ESPANA !
No Pasaran ? Nous sommes passés et nous repasserons !
En avant la Victoire !