En mai dernier, un médiat extrémiste juif, JSS News, s’interrogeait sur le positionnement d’Édouard Philippe : « Est-il un ami d’Israël ? Un combattant face à l’antisémitisme ? La franchise nous force à vous répondre: personne ne le sait vraiment. Nous ne trouvons aucune trace de lui dans des débats concernant Israël et les palestiniens… Rien sur BDS… Et pas grand chose non plus sur l’antisémitisme. »
En effet, si avant sa nomination à Matignon Édouard Philippe ne s’était pas spécialement fait connaître comme un ami de l’État sioniste et de son « petit-peuple-élu-qui-a-beaucoup-souffert », en revanche il s’est bien rattrapé depuis !
Le 3 octobre dernier, à la synagogue Buffault à Paris, invité par la communauté organisée pour leur fête de la nouvelle année 5778, une kippa sur la tête, il a dévoilé un nouveau plan de lutte contre l’antisémitisme.
L’antisémitisme comme prétexte à la répression de la liberté d’opinion et à la cyber-surveillance
Le plan du gouvernement doit bien sûr se traduire par de nouvelle restriction et répression de la liberté de parole sur les réseaux virtuels, par l’accroissement de la cyber-surveillance de la population en général et sans doute des militants politiques non-inféodés à la coterie en particulier, et par une protection sécuritaire de « très haut niveau » des édifices et lieux de culte juifs. Quand bien même ce sont des prêtres que l’on égorge dans les églises en France comme à Saint-Etienne-du-Rouvray et des jeunes femmes européennes sur les parvis des gares comme à Marseille…
Le terrorisme intellectuel d’État pour sanctuariser l’État criminel juif
Ce plan était nécessaire, selon Édouard Philippe, à cause d’un « réveil de l’antisémitisme qui est le symptôme d’une crise de la démocratie », même si on a constaté une baisse des actes dits antisémites en 2016 : – 58 %, une paille sans doute !
Mais c’est que le Premier Ministre a adopté alors le mot d’ordre du judaïsme politique en affirmant que l’antisémitisme s’est réinventé en « antisionisme »…
Tour de passe-passe visant à sanctuariser l’État sioniste : d’abord en le préservant de toute critique, y compris de sa brutale et spoliatrice politique en Palestine, et également en criminalisant toute manifestation de solidarité avec la légitime lutte armée des Palestiniens ! Un véritable terrorisme intellectuel d’État – une terreur – pour protéger Israël.
Méfiance pour ceux qui n’aiment pas et n’approuvent pas la politique de colonisation et d’apartheid de l’État juif : c’est donc une forme d’antisémitisme qui peut et sera réprimé.
Plus près de nous, le 10 décembre 2017, alors que le criminel de guerre Benjamin Netanyahou, Premier Ministre de l’État criminel d’Israël, était reçu à l’Elysée par Emmanuel Macron, Edouard Philippe était convié à s’exprimer lors de la 8e convention annuelle du Conseil représentatif des institutions juives de France. Rappelons que le CRIF est, avec la LICRA son bras armé judiciaire et policier, le centre névralgique de l’occupation-colonisation de l’État français par le judaïsme politique.
Il a bien sûr d’abord renouvelé le besoin urgent d’agir contre les actes antisémites confirmant au passage l’idée qu’il se fait de la France : « Lorsque l’on attaque un Juif, en France, on s’attaque à la France entière. Le dire ne suffit pas, le répéter est indispensable, mais il n’y a rien de pire que de se cacher derrière cette phrase sans la transformer en acte ».
Et le CRIF s’est réjoui de l’annonce que « le système pénal sanctionnera de manière plus concrète les auteurs de faits antisémites ». « Je souhaite que tous les acteurs de la chaîne pénale continuent de se mobiliser contre les auteurs de faits antisémites pour mieux les réprimer » a affirmé Édouard Philippe, laissant ainsi présager un rôle toujours plus accru de la « DILCRAH » (Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT), la nouvelle tchéka du judaïsme politique en France.
Le CRIF a également fait part de sa satisfaction quant aux propos d’Édouard Philippe au sujet de « la haine répandue sur internet et l’accès en trois clics à des contenus haineux, racistes et antisémites ». Le chef de gouvernement a en effet confirmé que des milliers de signalements ont été reçus sur la plateforme « PHAROS » (Plateforme d’Harmonisation, d’Analyse, de Recoupement et d’Orientation des Signalements) qui permet d’alimenter la DILCRAH et les tribunaux en signalements de comportements – et surtout d’opinions – prétendument illicites sur internet.
L’histoire violentée pour justifier la vassalisation de la France au judaïsme politique
Mais au-delà du renforcement de l’arsenal répressif et inquisitorial, Edouard Philippe était venu confirmer, devant les quelques 700 participants et invités du CRIF, la soumission de sa République et de son gouvernement au judaïsme politique, abaissant par la même la France au rend de vassale d’un État étranger, de son « petit-peuple-élu » (pas par nous), et bien sûr de ses intérêts et volontés.
Faisant assaut de courbettes et de génuflexions jusqu’à l’écœurement, il a martelé l’engagement de son gouvernement dans la lutte pour la survie de l’État juif qui occupe la Palestine et pour « la sécurité d’Israël ». Edouard Philippe a même pris la liberté de contredire son mentor Emmanuel Macron, pourtant Président de leur république et s’exprimant qui plus est dans son « domaine réservé » (les Affaires Étrangères sous la Ve) qui avait jugé « regrettable » dans une déclaration la reconnaissance par Donald Trump de Jérusalem comme capitale de l’Etat hébreu. Il a ainsi affirmé que « ceux qui nient le lien historique de Jérusalem avec le peuple juif ne connaissent pas l’Histoire »…
Drôle de leçon d’histoire venant de celui qui a affirmé encore, surréalistement, que « sans les Juifs de France, la France ne serait pas la France ».
Passons sur l’expression utilisée, « Juifs de France », plutôt que celle de « Français de confession juive », exprimant bien sa croyance en la « singularité » – supériorité ? – de la petite communauté et qui cadre mal avec le discours républicain égalitaire et anti-communautaire…
Mais dans quel livre de « science » pseudo-historique (ou hystérique ?) le Premier ministre a-t-il puisé cela ? En tout cas, l’aveu est fait ! Pour Édouard Philippe, à la trappe les Clovis, Charlemagne, Jeanne d’Arc, Saint Louis, Louis XIV ou Bonaparte…, bienvenue les Blum, Fabius et Attali ?
Oubliées toutes les incantations démocratiques, laïques et républicaines dont l’oligarchie qui occupe l’État nous abreuve par l’intermédiaire de ses médiats-menteurs à longueur de journée !
Leur république c’est la ripouxblique judéo-mondialiste universelle. Et leur démocratie c’est le gouvernement du judaïsme politique, pour le peuple élu, par les politiciens complices.
Révolution nationale ! Maîtres chez nous !
Le Japon, un des pays les plus surs au monde, reste tres majoritairement favorable au maintien de la peine de mort.
http://information.tv5monde.com/en-continu/le-japon-execute-deux-condamnes-mort-pour-meurtres-210068
Au cinema, « Burn Out » : Tony, jeune pilote prometteur, est force d’executer des Go Fast pour la mafia manouche. Un film de Yann Gozlan, scenario de Jeremie Guez, avec Manon Azem, deja vue dans « Gangsterdam » de Kev « Adams » Smadja, autre film sur le trafic de drogue.
http://www.motomag.com/Burn-Out-le-thriller-narco-mecanique-en-salle-le-3-janvier.html
Pour la sortie du nouveau film de Kev « Adams » Smadja (musique : Laurent Perez, casting : Herve Jakubowicz), produit par Nathalie Cohen Smadja, (auparavant co-productrice, avec Laurent Hadida, Samuel Hadida et Victor Hadida – responsable avec Marc-Olivier Sebbag de la FNCF -, de « Loue-moi » de Coline Assous et Virginie Schwartz, avec Deborah François, Alison Wheeler, Marc Ruchmann), et par Elisa Soussan et Julie Gayet, Noam Smadja a fait la fete avec Michel Hazanavicius et Serge Hazanavicius, Vincent Elbaz, Alix Benezech, Cedric Klapisch, et d’autres.
http://www.purepeople.com/article/kev-adams-et-son-frere-noam-complices-d-une-soiree-riche-en-sensations-fortes_a263176/1
Judith Waintraub etant retenue, c’est Albert Zennou, Redacteur en chef au service politique du Figaro, qui represente le titre.
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/les-informes-de-france-info/les-informes-projet-de-loi-sur-l-immigration-emmanuel-macron-est-sans-doute-confronte-a-une-realite-de-terrain-qui-lui-fait-penser-qu-il-faut-faire-autrement_2499993.html
Pour son prestigieux concert de Noel, l’Opera-Theatre de Clermont-Ferrand met a l’honneur Jonathan Cohen (chef d’orchestre, violoncelliste, clavieriste, etc) mais aussi Emoke Barath (fidele d’Emmanuelle Haim), Anna Reinhold (eleve de Kenneth Weiss), et bien d’autres.
http://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand/loisirs/scene-musique/2017/12/14/vivaldi-pour-le-concert-de-noel-de-l-orchestre-d-auvergne-et-du-centre-lyrique_12667445.html
Apres vingt ans de juteux benefices, Sarah Andelman, fondatrice de la fameuse boutique « colette » de la rue Saint-Honore, va faire des cookies.
https://www.grazia.fr/mode/colette-sarah-andelman-explique-l-importance-des-collaborations-874371
http://www.lemonde.fr/m-gastronomie/article/2017/12/01/les-cookies-au-chocolat-de-sarah-et-philip-andelman_5223249_4497540.html
DU COUP CA BARDE POUR LA LIBERTE D’EXPRESSION VIS-A-VIS DE L’IMPERIALISME INTERNATIONAL SANS PRECEDENT DE L’ETAT ISRAEL DANS LE MONDE FRANCOPHONE..AVEC LE SOUTIEN ACTIF DE L’ETAT MACRON..Y COMPRIS ICI EN MAURITANIE..AUX ETATS DE PROTEGER LA LIBERTE DE LEURS PEUPLE..MERCI..BONNE JOURNEE..ET CONTINUEZ L’EXCELLENT TRAVAIL!!!!BONSOIR DE MAURITANIE!!!!HONNEUR ET FIDELITE!!!!!!