Un livre témoignage d’une victime de Gabriel Matzneff sort ce mois-ci. Dans Le Consentement, Mme Vanessa Springora, aujourd’hui directrice des éditions Julliard, raconte la relation traumatisante qu’elle eut à 13 ans avec l’écrivain pédophile, dont elle mit des années à se remettre.
Le Monde consacre un article à la sortie du livre, tentant peut-être par là de se racheter pour les tribunes pro-pédophilie qu’il a publié jadis. Matzneff y eut une chronique. Il en a une maintenant au Point (pour combien de temps ?).
Comme L’Express le rappelle, les Nationalistes ont été précurseurs sur le sujet. En octobre dernier, Paris Nationaliste chahutait une soirée d’hommage à Matzneff. Et Rivarol avait été un des seuls médias à dénoncer en 2013 l’attribution du Prix Renaudot à l’infâme écrivain, trop longtemps protégé par ses amis du microcosme littéraire, voire par certaines personnalités complaisantes de la mouvance nationale.
Les Nationalistes ont longtemps crié seuls dans le désert. Et maintenant la foule des pleutres se joint à eux. Un encouragement à poursuivre notre action sur les autres sujets qui nous tiennent à cœur, étouffés encore par les médias, afin de rallier à nous tant de Français indécis, qui pourraient être des millions à nous rejoindre demain !