Nouvelle édition. Sous la direction de Christophe Georgy. 24 €
Cette première livraison des Cahiers d’Histoire du Nationalisme est donc consacrée à Léon Degrelle. A l’occasion du vingtième anniversaire de sa disparition nous avons jugé utile de revenir sur ce que furent la vie, les idées et le combat de cet homme incontournable de l’Histoire de la Belgique des années 30 et 40 et, aussi, il faut bien le reconnaître, du nationalisme en Europe. Léon Degrelle ne laissait pas insensibles ceux qui l’ont côtoyé ou même tout simplement rencontré. Chef de peuple, il a entrainé derrière lui une partie non négligeable de la jeunesse de son pays dans une aventure, certes héroïque, mais qui fut loin d’être couronnée de succès. Orateur fascinant, il soulevait l’enthousiasme de ceux qui venaient l’écouter, que ce soit en Belgique avant la Seconde Guerre mondiale ou, bien plus tard, à Madrid où il dut se réfugier après 1945. Lorsqu’on lit les différents textes qui sont proposés dans ce cahier, on comprend mieux pourquoi Degrelle a tant marqué son époque et que, 20 ans après sa mort, il continue à susciter autant de passions. Il ne s’agit pas pour nous de cautionner tous les engagements qui furent les siens. Certains sont légitimes, d’autres sont sans doute plus discutables. Néanmoins pour bien comprendre chacun d’entre eux, il convient de toujours les replacer dans le contexte qui était celui de la période où ils eurent lieux. Notre objectif n’est pas non plus de réécrire l’Histoire, nous voulons juste essayer de comprendre pourquoi tout cela s’est passé ainsi.
Ce n°1 des Cahiers d’Histoire du Nationalisme a été réalisé grâce aux contributions de spécialistes reconnus de la fantastique épopée de Léon Degrelle, de Rex et de la Légion Wallonie ou de témoins encore vivant de celle-ci. Donner la parole à ceux qui connaissent le mieux les thèmes choisis, tel est l’esprit dans lequel nous avons conçu cet ouvrage. De plus, nous publions un discours, peu connu à ce jour, que prononça Léon Degrelle en 1942. Nous avons décidé de ne pas le censurer car il résume à lui seul les motivations qui guidèrent alors beaucoup de jeunes Européens. Ces textes remettront peut être un certain nombre de vérités à leur juste place. Ils casseront, nous l’espérons, la vision manichéenne des choses que les tenants du « politiquement », ou plutôt de l’ « historiquement », correct veulent nous imposer.
Ont contribué à ce numéro : Yvan Benedetti, Francis Bergeron, Jean-Yves Dufour, Henri de Fersan, Alexandre Gabriac, Camille Galic, Pierre Gillieth, Francis Kaiserburger, Joël Laloux, Edwige Thibaut, Alberto Torresano, Pierre Vial…
Disponible sur la Boutique nationaliste