Il n’y aura pas de « collège Samuel Paty » à Ollioules. La question devait être débattue ce samedi 30 janvier en conseil municipal mais la délibération ne figure plus à l’ordre du jour. Enseignants, parents et élèves du collège Les Eucalyptus se sont en effet prononcés contre cette idée.
« Je voulais rendre hommage à ce professeur tué dans des conditions horribles. C’est pour moi un symbole fort de la République. À Ollioules, nous avons la place Jean-Jaurès, lui aussi assassiné, nous avons la rue Gabriel-Péri, assassiné par les nazis. Donc pour moi, c’était naturel et évident de saluer la mémoire de Samuel Paty », explique l’élu. Après avoir obtenu l’accord de la famille de l’enseignant et du Conseil départemental du Var, le maire voulait donc rebaptiser le collège Les Eucalyptus du nom du professeur.
Mais, consultés par un sondage interne organisé via le site Pronote, 100% des professeurs, 89% des parents et 69% des élèves se sont opposés au projet du maire. Sandra Olivier, professeur de mathématiques et représentante SNES, prend la parole au nom des enseignants : « Bien évidemment que nous voulons rendre hommage à notre collègue, mais pas comme ça. Organiser une cérémonie tous les ans à la date anniversaire, c’est évident, mais renommer le collège du nom de Samuel Paty, ce n’est pas selon nous une bonne idée. »
L’enseignante poursuit : « Cela fait de nous des cibles alors que nous n’en avons pas besoin. C’est prendre un risque qui peut être évité. Ensuite, c’est un peu dommage de porter un nom qui n’a pas de lien avec notre commune. Et enfin, dernier argument, il y a quelques mois, la rue où se situe le collège a été rebaptisée « rue du Colonel Arnaud Beltrame », cela fait beaucoup d’hommages autour de ce collège, ça rend les choses tristes pour un établissement qui accueille des enfants. »
Ils étaient Charlie, ils étaient Paty… Au final ils sont couards. Les excuses sont piteuses ; leur si précieuse laïcité ne mérite apparemment pas qu’on soit trop téméraire pour elle. L’aplaventrisme devant l’islamisme meurtrier continue. Pas d’amalgames pour ces braves gens ; mais quand même… vous comprenez… sait-on jamais…
Source : francebleu.fr
« Être Charlie c’est bien, mais sans choquer Abdel-Kader quand même » Jean-Prof de gauche : laul.
« Ma laïcité s’arrête là où commence le surin d’Abdoul. »
Ce peuple de gauche n’a décidément rien de franc (=libre), aucune ombre d’honneur, non plus la moindre once de dignité.
Après avoir embrassé le révolution, matrice de tous les totalitarismes du siècle dernier, voilà nos courageux et « résistants » (de la 69eme heure), progressistes et « indignés » s’allonger devant l’islam.
Leurs héros sont leurs bourreaux. Vae victis !
La République a ses bouffons, ce sont les républicains eux-mêmes
Samy est paty