Le 25 septembre 2021, une délégation française s’est rendue à Sofia, à l’invitation de nos camarades de l’Union Nationale Bulgare, pour le 20e anniversaire de la création de ce mouvement.
Dans la Bulgarie enfin libérée du communisme, les anciens combattants des guerres balkaniques et des deux guerres mondiales pouvaient en effet, depuis les années 1990, enfin être à nouveau honorés.
C’est ainsi que, tous les mois de février, s’est organisée une marche en l’honneur du général Hristo Lukov, héros de la première guerre mondiale, mort assassiné le 13 février 1943 par la terroriste communiste Violeta Jakob.
A l’initiative de nos camarades, cette procession est devenue, malgré la répression du gouvernement et de nombreuses associations, prétendument anti-racistes mais en réalité soumises aux diktats d’une seule communauté, un événement majeur du nationalisme européen, réunissant dans les rues de Sofia plusieurs milliers de personnes enthousiastes.
Nos camarades ont été a l’initiative de nombreuses autres initiatives, comme des colloques, des conférence, des processions, en l’honneur par exemple du pilote Dimitar Spisarevski, dont le sacrifice héroïque sauva de nombreux sofiotes des bombes anglo-saxonnes, ou de la « journée de la jeunesse bulgare » marquée par des actions de civisme nationaliste.
A l’occasion de ce vingtième anniversaire, un apéritif dinatoire très réussi fut organisé dans les nouveaux locaux de nos camarades, implantés dans un quartier défavorisé de la capitale, mais a deux pas du centre.
Nous pûmes entendre le discours de notre camarade Zvezdomir Andronov, chef du BNS, et écouter l’hymne du mouvement, joué pour la première fois publiquement.
Cette soirée fut précédée par une visite du monastère de Rila, cœur de l’orthodoxie bulgare et âme des nombreux soulèvements qui eurent finalement raison de la cruelle occupation ottomane, puis de la résidence des Tsars de Bulgarie et de son magnifique parc.
Nous pûmes aussi rencontrer nos camarades nationalistes européens, venus d’Allemagne (die Rechte), de Roumanie (Fondation Ogoranu) de Suède (Nord Front) ou de Tchéquie (Nationalité) afin d’organiser notre réseau de travail et de combat, pour entreprendre des actions communes nécessaires au triomphe de la révolution nationaliste et à la résurrections de nos vielles patries.
C’est pleins d’espoir et enchantés de l’accueil reçu que que nous repartîmes vers la France, pour y travailler au triomphe de notre idéal nationaliste, si bien illustré par le succès des entreprises de nos camarades de l’Union Nationale Bulgare !
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