Chaque jour, chaque semaine, chaque mois qui passe confirme une dramatique réalité : l’oligarchie qui occupe les fonctions dirigeantes en France, pour ne considérer que notre pays, n’aime pas les Français, n’aime pas la France, celle des clochers, celle des terroirs, celle qui plonge ses racines sans discontinuer depuis l’antiquité celte, la période romaine et la prise de pouvoir par les Francs. Ce qu’écrivait dans Globe le BHL de service en 1985, à savoir « Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux », n’est pas l’expression de l’opinion d’un homme seul, mais de toute une minorité de personnes qui détestent la France, nous détestent.
Un Macron déclarant qu’il n’y avait pas de culture française est de ceux-là. Non satisfaits de couper les jeunes générations de leurs racines historiques, en les rendant ignorant de l’histoire de leurs pères par des programmes d’histoire qui attachent plus d’importance à la Seconde guerre mondiale qu’à vingt siècles d’une riche et glorieuse histoire, en s’efforçant de leur enseigner le mépris du passé de grandeur de la France, voilà qu’il veulent les exproprier, les déshériter.
Remis le 23 juin 2021 à Macron, qui l’avait commandé, le rapport Tirole / Blanchard du nom d’un prix Nobel d’économie, et d’un ancien chef économiste du FMI, ne préconise rien de moins que de revoir le système des successions, en taxant l’héritier et non pas le donateur. Soit un vrai changement de logiciel. Car même s’il existe des dons défiscalisés, aujourd’hui, vous payez quand vous transmettez un patrimoine à vos enfants ou petits-enfants. Les économistes préconisent une taxation tout au long de la vie de celui qui hérite : par exemple, si à 25 ans, vos parents vous donnent de l’argent, vous payez un impôt. Quelques années plus tard, si vous héritez d’un appartement d’une grand-mère, vous payez, etc. Cet impôt serait calculé sur l’ensemble des biens hérités au cours de votre vie et surtout, il ne s’enclencherait qu’à partir d’un certain niveau, c’est-à-dire pour des sommes importantes. Mais, avec l’inflation des actifs immobiliers – les Rétais en savent quelque chose – les « sommes importantes » sont vite atteintes … et dépassées. Va ainsi se poursuivre la dépossession des Français de leur patrimoine qui voit, dans des cas de plus en plus fréquents, de étrangers acheter des demeures dont les Français ne peuvent plus hériter car ils n’ont pas les moyens de payer le racket confiscatoire leur République.
Mais, comme si cela ne suffisait pas, voici Emmanuelle Wargon, née Stoléru, qui s’attaque à la maison individuelle. Le 17 octobre ce ministre avait déclaré que les maisons individuelles, « ce rêve construit pour les Français dans les années 70 », « ce modèle d’urbanisation qui dépend de la voiture pour les relier », sont un « non-sens écologique, économique et social ». « Le modèle du pavillon avec jardin n’est pas soutenable et nous mène à une impasse ». Attaquée de toutes parts, elle s’est rattrapée aux branches en affirmant militer notamment pour la rénovation des maisons de centre-ville en campagne.
Il est certain que les zones pavillonnaires à la périphérie des grandes agglomérations – souvent des HLM horizontaux – ne sont pas un modèle viable, ne serait-ce que parce qu’elles mitent les terres arables. Mais, pour repeupler les campagnes, encore faut-il que celles-ci disposent d’infrastructures publiques, à commencer par un réseau de transport efficace, ce qui est de moins en moins le cas : tout est fait depuis des lustres pour concentrer les populations dans les grandes villes – le livre « Paris et le désert français « de J.F. Gravier date de 1947 – et de déraciner les Français dans le triangle des Bermudes de l’urbanisation à outrance.
Les propos de la dame Wargon (qui vit dans une villa de 150 m2) sonnent faux. Et ce « plan » anti maison individuelle relève d’un mot d’ordre mondialiste puisque la section espagnole de l’oligarchie mondialiste a aussi déclaré la guerre à la maison individuelle. D’ailleurs, pour cette oligarchie hors sol, l’enracinement, c’est dangereux : lorsque vous avez un sol à défendre, un patrimoine chargé d’histoire et de sentiments à transmettre, vous vous battez bec et ongles pour les préserver. Vous ne lâchez rien. Si vous vivez dans une « cage à lapin », les sentiments ne sont plus du tout les mêmes pour beaucoup.
Par surcroît, la loi Lagleize de 2018 prévoit la possibilité de dissocier propriété du foncier et des murs d’un bien immobilier, autrement dit de priver les Français de la propriété du sol ! Mais n’est-ce pas déjà une sorte d’expropriation lorsque l’impôt foncier a augmenté de 27,9 % entre 2010 et 2020 ? et pour quels services publics ? C’est attaquer la personne humaine et ses attributs.
Si l’oligarchie régimiste s’intéresse aux provinciaux, c’est avant tout dans un objectif électoral car ils sont encore ceux qui vont le plus urner. Ne nous leurrons pas. Et il est à craindre que si, d’aventure, un redéploiement des populations était envisagé dans les provinces, il serait organisé en priorité pour y installer des populations allogènes.
Conjointement, depuis bientôt deux ans, cette oligarchie a entrepris de museler les Français, à la faveur de la peur distillée à propos de la « terrible » épidémie covidienne qui, finalement ne tue pas grand monde – sauf trop de « vaccinés ». Plutôt que de renforcer la puissance de la France, de s’inquiéter du risque de perte de la Nouvelle Calédonie (mais cela n’entre-t-il pas dans ses objectifs ?), elle s’occupe de traquer deplus en plus sévèrement le moindre propos oiseux jugé raciste ou antisémite, promouvant la culture du genre, et surtout cultivant la repentance à outrance, Macron en étant le chantre zélé du moment. Cela fait penser à ces moines byzantins qui discutaient du sexe des anges alors que les Ottomans étaient à leur porte.
Or de nos jours, pendant que les menaces s’accumulent à nos frontières mais aussi plus que jamais à l’intérieur de celles-ci, le pouvoir n’a rien de mieux que de réglementer l’usage du passe sanitaire, de traquer les Français et de faire en sorte que les forces de police et de gendarmerie soient de fait transformées en une milice privée à leur service, jusqu’à ce que ces miliciens prennent conscience de la situation. Ainsi, 90 engins blindés « ARIVE » viennent d’être commandés pour réprimer les révoltes à venir des Français.
Usant de la thèse erronée du réchauffement climatique d’origine anthropique, les dirigeants occidentaux fragilisent nos économies nationales, accélérant des délocalisations, persécutant les classes moyennes et inférieures avec des contraintes dont le non-respect sera bientôt plus réprimé que l’envahisseur illégal extra-européen ! Or les hypocrites du climat, qui ont pris l’habitude de dire au vulgum pecus comment vivre leur vie, crachent avec leurs jets plus de gaz dit à effet de serre en une semaine que des villes entières, comme le montre le cirque de la COP 26 de Glasgow.
Que faire pour entraver cette politique criminelle ? Bien sûr, il ne faut pas exclure les actions de rue. Mais elles ne sont actuellement pas adaptées à toutes les situations. Pour le moment, ce sont les Antillais qui nous donnent une méthode d’action. Massivement, ils ont refusé de se faire piquer aux pseudo-vaccins. Les pressions de l’Etat n’y ont rien fait. Qu’a-t-il pu faire ? Rien. Ou plutôt si : il s’est résigné à ne pas obliger le personnel soignant d’être vacciné pour travailler.
Autrement dit, plus que l’action de rue, qui donne au pouvoir un moyen d’agir, de réprimer, il faut savoir le cas échéant lui opposer une force inertielle, faire en sorte que, ne réagissant pas, bref refusant de coopérer avec lui, l’ignorant, le pouvoir n’ait aucune prise sur la population. Il ne peut agir que s’il a prise sur quelque aspérité. S’il n’en trouve pas, il est désarmé. Cette forme d’action demande un grand courage car dominer ses légitimes pulsions visant à détruire ceux qui nous font tant de mal demande un grand effort sur soi. Pratiquer la vacuité en matière d’action bloque la répression étatique.
Cela nécessite une grande conscience révolutionnaire, un travail de formation des masses à partir d’une élite révolutionnaire, un puissant esprit de révolte qui finit par avoir raison des ennemis de la France dans nombre de situation, en attendant qu’inévitablement, les contradictions qui minent le monde présent ne créent mécaniquement des situations chaotiques qui fourniront l’occasion d’entamer le rétablissement de notre civilisation.
SOMMAIRE :
- Rendons ce régime d’anti-France inopérant (MILITANT)
- La triste comédie de l’énergie (Maurice GUFFROY)
- Oligarchie et leurre démocratique (André GANDILLON)
- Les délires verts de l’U.E. (Emile MALLIEN)
- La Pologne contre la forfaiture de l’U.E. (Nicolas OUGAROV)
- François et la messe en latin (Rémy GALDANT)
- Le Poil à gratter