Des responsables américains ont admis avoir mené des recherches biologiques en Ukraine sur des citoyens à faible revenu et des patients dans des cliniques psychiatriques, a déclaré le lieutenant-général Igor Kirillov, chef des forces de défense contre les radiations, chimiques et biologiques des forces armées russes.
Il a affirmé lors d’un briefing après une réunion consultative des Etats signataires de la Convention sur l’interdiction des armes biologiques et à toxines de Genève :
« Les explications des Etats-Unis et de l’Ukraine concernant l’élimination des souches et des biomatériaux, des normes éthiques lors de la conduite de recherches sur le personnel militaire, les citoyens à faible revenu, ainsi que sur l’une des catégories les plus vulnérables de la population – les patients en hôpitaux psychiatriques, semblaient extrêmement peu convaincantes ».
Lors de l’examen de cette question, « la délégation américaine a reconnu de tels faits », avouant que le transfert d’échantillons de biomatériaux pathogènes vers les Etats-Unis « était peu fréquent », a ajouté le ministère russe de la Défense.
Des expérimentations et des transferts de matériaux biologiques d’Ukraine vers les États-Unis, mais pour quoi faire ?
Peu de détail filtrent mais par exemple, le site web Clinical Research Ukraine fait directement la publicité de ces essais, vantant le lieu des expérimentations : l’Ukraine. On y trouve notamment des articles rassurants et des études réalisées avec le soutien de la fondation Soros Vozrozhdenie, « Renaissance », très active là-bas.
Quoi qu’il en soit, l’Ukraine et Soros sont donc des fournisseurs de cobayes pour Big Pharma. L’Ukraine est l’un des eldorados pour les expérimentations, en raison d’une moindre protection des personnes qui y participent.
Ainsi, en novembre 2021, Merck et Pfizer ont mené des tests sur des Ukrainiens. Notamment avec des comprimés MK4482-013 Lagevrio, alias Molnupiravir dont la France avait commandé 50.000 doses en octobre au prix exorbitant de 700 $ la pilule (inefficace).
Comme par hasard, les tests ont eu lieu à Kharkov, précisément là où, selon des preuves de la Défense russe, des recherches ont été menées sur des parasites de chauve-souris sous le contrôle du Pentagone.
À suivre…
Source : @Kompromat
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