Militant doit continuer en entière fidélité à l’œuvre patriotique entreprise par ses fondateurs en décembre 1967. C’est, en effet, grâce au seul soutien de ses abonnés que notre voix nationaliste peut se faire entendre dans notre pays malgré d’innombrables difficultés matérielles provoquées, le plus souvent, par nos adversaires. Ces adversaires, nous les trouvons dans l’ensemble de la classe politicienne, que ce soit à droite comme à gauche, du système en place. Pour les uns, le nationalisme que nous revendiquons signifie la remise en cause de leur conservatisme réactionnaire, le nationalisme étant un socialisme. Pour les autres, cette Identité Nationale et Raciale que nous défendons à tout prix, les empêche d’étendre leur entreprise de subversion internationaliste. Nous sommes intimement persuadés que la voie étroite, dure et périlleuse que nous avons choisie est la seule en mesure de sauver notre peuple et notre nation, en identité de vue et de perspectives politiques avec les autres peuples et les autres nations de notre continent européen. MILITANT est à ce jour l’unique revue française fondée sur la doctrine nationaliste. Sa disparition serait une victoire pour les ennemis de la France et de l’Europe blanche. Militant a besoin de vous, mais vous avez besoin de Militant. Abonnez-vous (modalités en pied de page).
Le mois de mai a été marqué par une succession d’interdictions sans précédent de réunions, d’hommages à Jeanne d’Arc qui est célébrée depuis 1920 par la Fête nationale de Jeanne d’Arc et du patriotisme, le deuxième dimanche de ce mois. Cette répression vise des mouvements relevant de la mouvance patriotique et nationaliste. L’Action française s’est vue interdite de réunion et du traditionnel dépôt de gerbe à la statue de Jeanne d’Arc, rue des Pyramides à Paris, avant qu’un référé ne lève cette interdiction. Les nationalistes héritiers de Pierre Sidos n’ont pas eu la chance de l’Action française et ont été interdits de réunion et de dépôt de gerbe : peut-être que leur dénonciation sans concession du magistère judéo-maçonnique dominant leur République n’y est pas étrangère. Mais cela va plus loin. Le mouvement Place d’Armes, qui n’a rien de révolutionnaire mais dénonce la descente aux enfers de la France, a subi les mêmes interdictions. Quant à l’Institut Iliade, cercle de réflexion appartenant à la mouvance de la Nouvelle droite, il a vu son colloque organisé en hommage à Dominique Venner interdit manu militari au motif que des propos racistes, incitant à la haine raciale « auraient pu » y être tenus ! Enfin, le Banquet pour les 70 ans de Rivarol, déjà reporté à cause de la mauvaise farce covidienne, a été annulé préventivement, sachant que Darmanin, soucieux de préparer son avenir politique, aurait veillé à le faire interdire la veille même, occasionnant des pertes financières énormes pour un journal déjà victime d’une répression sans limites.
Voilà une novation : le pouvoir n’attend même plus que quelque infraction à sa légalité – qu’elle soit légitime ou non – soit commise : elle suppute, elle prétend deviner ce que les gens vont dire avant d’avoir prononcé le moindre propos considéré comme blasphématoire par rapport à la doxa légale. Nous avons donc franchi un pas, non seulement dans la limitation de la liberté d’expression, mais dans le procès d’intention.
Ces faits s’inscrivent dans un contexte qui révèle l’essence satanique d’un système politico-religieux qui mêle gnosticisme d’essence kabbaliste et matérialisme, lequel conduit à criminaliser des propos jugés blasphématoires, caractéristique des pouvoirs obscurantistes. Et, comme dans tout système politique qui n’est pas nourri du christianisme, nous subissons les effets liberticides de la confusion du spirituel et du temporel, ce qui nous a été largement été épargné par la conversion de Clovis au christianisme trinitaire, le catholicisme, échappant à ce totalitarisme chrétien qu’était l’arianisme. En effet, le principe trinitaire est fondateur de liberté. Le refus de la divinité du Christ, caractéristique de l’arianisme, n’en faisant alors qu’un simple homme extraordinaire, comme l’écrivait Renan, fonde l’autonomie du pouvoir politique qui peut se diviniser lui-même et tout se permettre. Car, si Dieu est seul, il est tout. Un dieu trine suppose, enseigne la libre acceptation de la relation et fonde la liberté qui, nourrie de la tradition de la pensée grecque plurielle, a permis l’efflorescence intellectuelle qui a fondé l’Occident chrétien, le seul et le vrai, par comparaison à l’Occident actuel, qui en est la copie frauduleuse menée par le magistère mondialiste bien connu.
Ne nous y trompons pas : la répression en cours fait en quelque sorte partie du code génétique de leur République, lorsque les révolutionnaires, ancêtres de la gauche actuelle – laquelle va des trotskystes à la Le Pen, n’en déplaise à ceux qui voient toujours dans le RN., ex Front National, un mouvement nationaliste -, ont institutionnalisé la répression des idées autres que les leurs, plongée dans le sang du génocide vendéen et l’assassinat du roi Louis XVI. De nos jours, elle se renouvelle dans le cadre de l’efflorescence des technologies numériques. Et la France républicanisée a exporté ce système de par le monde, la Russie bolchevique en ayant été l’émule le plus connu.
Présentement, aucun gouvernement, dans cet Occident sataniste, ne s’interdit des mesures liberticides, en matière de pensée, d’action politique, comme si, sachant intimement qu’il va à l’encontre de l’ordre voulu par le Créateur et qui lui est transcendant, il voulait éliminer, faire taire à tout prix ceux qui, à des degrés divers, sont en mesure de faire comprendre aux populations, comme dans le comte d’Andersen, que « le roi est nu ».
Ce phylum répressif devient frénétique puisque l’U.E., sous la houlette de Thierry Breton, ce fonctionnaire de la Commission qui n’a été élu par personne, est en train de mettre en place un système de censure destiné à contrôler tous les réseaux sociaux qui ne se soumettront pas au totalitarisme LGBT, gauchiste, woke soutenu par celle-ci, notamment Twitter dont le propriétaire, le milliardaire Elon Musk ne veut pas se laisser manipuler et contre lequel une partie de bras de fer est lancée. En France, les menées de Breton sont soutenues par le quidam Jean-Noël Barrot, sous-ministre de transition numérique du sieur Macron. L’objectif à atteindre consiste à maintenir captifs de l’information régimiste les 4/5 de la population qui continue à se laisser asphyxier le cerveau par les media tels LU, BFM et même CNews. Trop peu de personnes ont l’énergie nécessaire pour contourner la censure, la désinformation et savent utiliser par exemple des VPN.
Quant à ceux qui mènent des actions publiques, ne serait-ce que de formation intellectuelle, le système les reconnaît – à juste titre – comme ses véritables ennemis, non pas ceux dont il sait qu’ils sont d’une manière ou d’une autre corruptibles intellectuellement et vénalement, mais à cette infime minorité imperméable à toute propagande, impossible à circonvenir : celle qui a fait mentalement sécession et s’organise en conséquence. Car la diffusion de samizdat numériques est une chose, la rencontre physique des personnes en est une autre : elle crée des liens irremplaçables pour Faction.
Cette volonté répressive croissante est à la fois l’expression du totalitarisme inhérent à la nature de ce pouvoir et le signe de sa fragilité, laquelle le conduit à vouloir étouffer toute manifestation politique, sinon spirituelle de notre civilisation européenne et chrétienne.
Cette ploutocratie anti civilisationnelle dont le G 7, cette réunion des gouverneurs des principales provinces de l’empire occidental judéo-protestant à dominante anglo-saxonne, est l’interface politique à l’échelon planétaire, est prise de vertige lorsque, dans un moment de lucidité, elle entrevoit qu’elle n’est plus à même de dominer le monde. Elle ne peut l’accepter ; c’est au-dessus de sa raison déréglée. Le 2 juin 2023, à Helsinki, le talmudique Blinken, homme fort du gouvernement Biden, a encore dit en substance aux Russes : « soyez raisonnables, nous n’avons rien contre vous ; nous voulons tout simplement vous intégrer au monde (le nôtre) ; abandonnez Poutine et cessez de vous rebeller contre nous (vos maîtres naturels), et tout ira bien ». Refusant de voir la réalité en face, elle est prête à toutes les extrémités, toutes les folles actions pour tenter de réaliser, quitte à détruire la planète, son projet démiurgique.
Macron, le gouverneur de la province mondialiste France, agit en sorte que l’opposition véritable soit muselée, sinon détruite. Bientôt, les techniques numériques vont s’ajouter à l’arsenal répressif : après l’essai — malheureusement réussi — du « pass sanitaire », voici la carte d’identité à puce couplée avec la carte de la « Sécu », présentée, on s’en doute « pour le plus grand bien de tous, en attendant la monnaie numérique traçable et le contrôle social à la chinoise dont nous pouvons craindre qu’il sera encore plus vicieusement perfectionné.
Alors, serrons les rangs. Ne cédons rien sur le discours. N’espérons pas avancer masqués, n’édulcorons pas le fond de notre discours : cela ne sert à rien ; nos ennemis interpréteront toujours ce comportement comme une faiblesse et s’en sentirons fortifiés. Quant à ceux qui réagissent de cette manière, à force de ne pas dire ce qu’ils pensent originellement, ils finissent par penser ce qu’ils disent
Il n’est pas question ici de disputer des différences idéologiques, théoriques existant entre tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, défendent une ligne traditionnaliste en matière civilisationnelles et culturelle. Nous devons tous être solidaires car, dans la répression en matière de liberté d’être, de penser qui s’amplifie, toute attaque faite contre l’un concerne directement les autres.
Présentement, c’est la liberté de réunion, d’expression que nous devons défendre, certes légalement, tout en nous organisant pour exister contre vents et marées, sachant que le totalitarisme actuellement en marche est l’étape qui précède l’effondrement de l’Occident anti-européen et chrétien et, pour tout dire, anti naturel.
Éditorial de MILITANT, revue nationaliste pour la défense de l’identité française et européenne, fondée par Pierre Bousquet, Pierre Pauty et Jean Castrillo en 1967. Son rédacteur en chef est aujourd’hui André Gandillon, cadre nationaliste et écrivain.
Sommaire :
- La fable de la réindustrialisation macroniste (MILITANT)
- Les GOPE, feuilles de route européistes (Maurice GUFFROY)
- Twitter files et projet d’asservissement (André GANDILLON)
- La nature destructrice du concept de l’inclusif (Albert FOEHR)
- Trorsky hitlérien (Emile MALLIEN)
- Interdiction de vendre et démence (Paul LESURANT)
- Le Poil à gratter
Tarifs d’abonnement :
- Abonnement d’essai 6 mois (renouvelable une fois) : 30 €
- Abonnement normal : 59 €
- Abonnement renforcé : 85 €
- sans distinction d’origine ou pour l’étranger : 90 €
- Abonnement de soutien à partir de 160 €
Règlement :
- Par chèque bancaire (à l’ordre de « André GANDILLON » parce que notre compte CCP a été fermé pour motifs « administratifs » ainsi que notre boite postale !) à adresser à : André Gandillon, La Martinerie 5 route de Jussas, 17210 CHEPNIERS
- Par carte bancaire, ou Paypal via le site : http://www.revue-militant.fr/
LA MISSION DE SAINTE JEANNE D’ARC CONTINUE A TRAVERS LES SIÈCLES.
Chaque vivant a donc une mission, par conséquent qu’elle fut celle de Sainte Jehanne d’Arc ? Celle de faire sacrer le dauphin, le futur Charles VII à Reims ! Pour qu’il devienne par ce sacre locum tenens coelum qui est Rex Francia (Vous serez Lieu-tenant du Roi des Cieux qui est Roi de France.) et si par malheur il oublie à ne pas reconnaître le suzerain, il devient félon.
Mais auparavant, il nous faut évoquer que depuis le Pacte de Reims de décembre 496 le monarque est donc le Lieu-tenant du Christ, et Jehanne par la Triple Donation le rappellera au dauphin. Trois jours après l’incroyable victoire des français sur les anglais à Patay le 18 juin 1429, où 2000 anglais furent occis pour 5 français, étrange bilan en effet, car c’est une époque où l’on combattait à un contre un. Trois jours après, eut lieu le 21 juin 1429 la Triple Donation à Benoît-sur-Loire. Ces faits sont donnés par le Père Théotime de Saint Just (1872- ?) La Royauté sociale de Notre-Seigneur Jésus Christ d’après le Cardinal Pie, un autre témoin atteste ce fait, Gaston du Fresne de Beaucourt . L’abbé Coubé donnera le récit de cette entrevue, le voici :
Jehanne dit à Charles :
« Sire, me promettez-vous de me donner ce que je vous demanderai ? »
Le Roi hésite, puis consent.
« Sire, donnez- moi votre royaume ».
Le Roi, stupéfait, hésite de nouveau ; mais, tenu par sa promesse et subjugué par l’ascendant surnaturel de la jeune fille :
« Jehanne, lui répondit-il, je vous donne mon royaume ».
Cela ne suffit pas : la Pucelle exige qu’un acte notarié en soi solennellement dressé et signé par les quatre secrétaires du Roi ; après quoi, voyant celui-ci tout interdit et embarrassé de ce qu’il avait fait :
« Voici le plus pauvre chevalier de France, il n’a plus rien. »
Puis aussitôt après, très grave et s’adressant aux secrétaires :
« Ecrivez, dit-elle : Jehanne donne le royaume à Jésus-Christ ».
Et bientôt après :
« Jésus rend le royaume à Charles ».
Le 17 juillet 1429, ce sera l’apothéose (Comme le dimanche des Rameaux pour le Christ) par le sacre de Reims, Jeanne se tient à côté du roi avec son étendard sur lequel figure le Christ en majesté et les mots Jésus Maria. « Il avait été à la peine, c’était bien raison qu’il fût à l’honneur », déclarera-t-elle plus tard. Derrière elle, son écuyer le fidèle Jean d’Aulon, son aumônier frère Pasquerel et sa famille, invitée pour l’occasion.
Après le sacre, fondant en larmes, elle tombe aux pieds du souverain : « O gentil roi, maintenant est fait le plaisir de Dieu, qui voulait que je fisse lever le siège d’Orléans et que je vous amenasse en votre cité de Reims recevoir votre saint sacre, montrant que vous êtes vrai roi, et qu’à vous doit appartenir le royaume de France ».
Le 30 mai 1431, Jeanne d’Arc est brûlée vive à Rouen, sur la place du Vieux-Marché, après un procès inique. Elle est victime de ce que les Anglais voulaient à tout prix la convaincre d’hérésie (et accessoirement de sorcellerie) pour abaisser ainsi le roi Charles VII qu’elle avait diligemment servi.
Relatant ce martyr, le père Ayroles (1828-1921) fait un rapprochement poignant entre le Maître (Jésus) et le disciple (Jehanne), il écrit :
« Au calvaire un dernier outrage nous manifesta et nous ouvrit le Cœur de l’Homme Dieu. Le cœur de la Pucelle fut ce qui fixa en dernier lieu l’attention des bourreaux et des spectateurs du calvaire de Rouen. La flamme semblait avoir fait son œuvre. Les premiers tisons écartés ne laissaient voir que de la cendre et des os calcinés ; mais, ô merveille, sous cet amas fouillé, les viscères et le cœur paraissait intacts. On rallume le foyer incandescent, et on cherche à en activer les ardeurs en y jetant de l’huile et du soufre. Inutiles efforts, le cœur résiste ».
Par ordre des Anglais, aucune relique ne restât de l’héroïne, ce cœur fut jeté à la Seine tout chaud et battant encore…
« Le soldat qui avait ouvert le cœur du Sauveur au Calvaire, soudainement illuminé, confessa la divinité de Celui auquel il avait fait un dernier outrage ; à la place du Vieux-Marché, le bourreau, voyons le cœur de la Pucelle résister à tous ces efforts pour le réduire en cendres, courait au monastère des pères dominicains, demandant s’il y avait pardon pour lui au Ciel, pour avoir été l’exécuteur du forfait qui venait de se commettre … »
Dernier signe de Dieu, confirmatif de toute sa mission :
« Quand elle expira, au milieu des flammes, une blanche colombe s’échappa de ses lèvres et prit son vol vers la France…Le Saint-Esprit manifesta ainsi avec éclat qu’il habitait cette âme, l’inspirait et la guidait . »
Pour Mgr H. Delassus (1836-1921), il y a par ce martyr une Mission posthume qui est celle de l’achèvement de la délivrance de la France, puis l’établissement du Règne du Sacré-Cœur, ne pouvaient s’accomplir que par son martyr.
« Il veut régner sur la France et par la France sur le monde . » Mgr Delassus
Mgr H. Delassus devait connaître l’histoire du labarum et la remise de l’Oriflamme du Sacré-Cœur à Charrette par Mr Dupont (1797-1876). Après la défaite de 1870 un gentilhomme atteint d’hydropisie du cœur, M. de Montagu et du jeune abbé de Musy paralytique et presque aveugle, qui deviendra plus tard un des privilégiés de Lourdes et d’autres éminents laïcs comme le « député du Syllabus » Emile Keller (1828-1909) cherchaient le moyen de remédier aux malheurs de la France. Des laïcs de Poitiers avaient fait vœu d’élever au centre de Paris un sanctuaire au Sacré-Cœur, un vieillard fut divinement inspiré, il dit : « La bienheureuse Marguerite-Marie a écrit ces consolantes paroles : Le Sacré-Cœur sauvera la France. Essayons de mettre dans les mains de nos soldats le véritable étendard chrétien, portant brodé dans ses plis l’image de sacré- Cœur. Envoyons ce drapeau à Paris, et qu’il flotte en témoignage de la foi de la France sur les murs de la capitale assiégée. »
Le très zélé abbé de Musy écrit à la supérieure de la Visitation de Paray-le-Monial. Quelques jours après cet oriflamme est brodé. Cette pièce devait être remise au général Trochu, commandant de Paris, mais toutes les communications avec la capitale ont été coupées. Mais la Providence veillait, en effet le gouvernement s’installa à Tours pour organiser un bataillon de volontaires pour l’Ouest, et l’abbé de Musy avait dans cette ville son vieil ami Mr Dupont, il lui adressa le drapeau du Sacré-Cœur avec ces mots : « Si vous le pouvez, faites-le parvenir au général Trochu ; sinon confiez-le à l’un des chefs de nos héroïques croisés, Charrette ou Cathelineau. »
Mais la Providence veillait, Charrette venait à Tours et Monsieur Dupont va trouver le colonel à l’hôtel de Londres, rendez-vous est pris pour le lendemain devant la sainte Face, là en présence d’un petit groupe d’amis, se fait l’ouverture de la caisse contenant la bannière. Ce drapeau, dont on peut voir le fac-similé authentique dans l’Oratoire actuel de la sainte Face représentait le sacré-Cœur avec cette légende : « Cœur de Jésus sauvez la France. » On pria pour le Salut de la France, et il fut décidé que l’oriflamme serait déposée par le R.P. Rey jusqu’au lendemain dans le tombeau même de Saint Martin, et qu’au revers on ajouterait ces mots : « Saint Martin protège la France. » Cette broderie, dessinée par les dames qui étaient présentes fut exécutée par les carmélites.
Charrette reçut alors des mains du saint homme de Tours et au milieu de l’assistance émue le labarum qui devait s’illustrer sur les champs de Patay et de Loigny. Cette scène touchante a été représentée dans une verrière du sanctuaire de Notre-Dame de Graçay (diocèse de Bourges).
1870 marque la fin du second Empire à Sedan, la Commune de Paris, ce gesta pour ce labarum et un autre de la part de la Sainte Vierge à Pontmain qui fera cesser l’avance prussienne, deux gesta qui auraient dû réveiller les Français endormis…
Que nos saintes françaises prient pour nous, prions donc : Sainte Anne, patronne des Bretons – sainte Marie-Madeleine et sainte Marthe – sainte Geneviève, patronne de Paris – sainte Clotilde, reine de France – sainte Radegonde, reine de France – sainte Odile, patronne de l’Alsace – sainte Solange, patronne du Berry – sainte Jeanne d’Arc, patronne de la France – sainte Chantal, fondatrice de la Visitation – sainte Marguerite-Marie – sainte Madeleine-Sophie Barat, fondatrice de la communauté du Sacré-Cœur – sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus.
Je respecte la foi de ceux qui aiment Jesus et les saints mais je me demande si le christianisme n’est pas une religion perdante un peu comme celui qui l’a créée et qui est mort assassiné en public . C’est un merveilleux avantage pour les « autres croyants « que d’être confrontés à ceux qui aiment leurs ennemis en leur tendant l’autre joue la tâche leur en est fortement simplifiée ! Et puis pour le remplacement de population , des religieux catholiques hommes et femmes qui ne font pas d’enfants depuis des générations et creusent ainsi le trou démographique en plus de la
Perte humaine par les guerres est un véritable rêve pour les envahisseurs introduits sur notre continent par nos ennemis du haut de la pyramide …
On reconnait l’arbre a ses fruits, christianisme=Universités, hôpitaux, hospices, victoires de Poitiers, kosovo, Lépantes, on continue?