Les services de renseignements craignent d’importants troubles à l’occasion de la 21e Conférence des parties (CP, Conference of the Parties 21, COP21) à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Comme tous les grands rassemblements mondialistes ces dernières années, la conférence internationale, à laquelle sont annoncés de nombreux chefs d’État, va rameuter de nombreux protestataires, notamment d’extrême gauche.
Cela a incité le gouvernement à prévoir de fermer les frontières françaises, une mesure qui passerait par le contrôle des passeports de toutes les personnes entrant en France, une action curieusement jugée impossible quand il s’agit de défendre la France de l’invasion… De telles mesures ont été prises régulièrement ces dernières années par différents pays européens lors d’événements similaires.
Outre l’extrême gauche, la réinstauration des contrôles aux frontières pourrait limiter le risque d’attentat islamiste, les services de sécurité pouvant se concentrer sur la surveillance des milliers de terroristes présents en France sans craindre en plus la venue de ceux occupants les pays limitrophes. L’événement a de quoi intéresser les terroristes, privilégiant les actions spectaculaires : de très nombreux dirigeants seront présents à la conférence, y compris Barack Obama, les présidents brésilien, chinois, sud-africain, les premiers ministres britannique, canadien, indien, italien, etc. pour ceux ayant déjà confirmé leur venue.