Une QPC soulevée par Vincent Reynouard
L’historien Vincent Reynouard avait été condamné le 17 juin dernier à un an de prison ferme pour avoir rappelé les crimes des envahisseurs en 1944, tout en dénonçant les mensonges imposés par les ennemis de l’Europe après 1945 pour salir le national-socialisme et réduire en esclavage les Européens.
Ce n’était pas, loin de là, la première condamnation prononcée contre Vincent Reynouard, mais ce dernier avait réussi, à l’occasion de ce procès, à soulever une question prioritaire de constitutionnalité (QPC). Elle avait été acceptée par le tribunal et transmise au Conseil constitutionnel. La QPC interrogeait les juges constitutionnels sur la discrimination injustifiée créée par cette loi entre les victimes et sur l’insupportable atteinte aux libertés d’expression et d’opinion induite, libertés pourtant inscrites dans de multiples textes internationaux ratifiés par leur République (cf. « La Cour de cassation transmet au Conseil constitutionnel une QPC sur l’illégale loi liberticide Fabius-Gayssot »).
Les Juifs, surcitoyens du régime d’occupation
Malgré tout cela, le Conseil constitutionnel a rappelé ce vendredi dans un arrêt que les étrangers Juifs étaient en France une avant-garde surprotégée et inattaquable.
L’organisme, présidé par le Juif Jean-Louis Debré, arrière-petit-fils de rabbin, a, sans grande surprise, validé la liberticide et inconstitutionnelle loi Fabius-Gayssot réprimant la contestation des prétendus crimes contre l’Humanité commis pendant la Seconde Guerre mondiale. L’organisme a été très majoritairement dirigé par des étrangers juifs depuis 30 ans : Daniel Mayer (1983-1986), Robert Badinter (1986-1995), Jean-Louis Debré (2007-2016), avec de petits intermèdes, comme pour le corrompu Roland Dumas. Ce dernier, PS et franc-maçon, s’était vanté d’avoir réussi, alors qu’il présidait le Conseil constitutionnel, à violer la loi pour permettre à Jacques Chirac, la marionnette du lobby juif, d’être élu président de leur République (cf. « Le corrompu Roland Dumas revendique avoir sauvé leur République en violant la loi »).
L’occupation justifiée par l’occupation
Les juges ont donc confirmé que l’occupation de notre pays justifiait toutes les atteintes à la liberté d’expression. Ils ont approuvé et constitutionnalisé la discrimination légale entre victimes, faisant des Juifs des survictimes à cause de la prétendue « shoah », au nom de laquelle tous les rackets, toutes les persécutions, tous les mensonges, toutes les manipulations, tous les endoctrinements sont donc “légaux”.
Il y a quelques années, Robert Badinter, ancien président du Conseil constitutionnel rappelait pourtant l’inconstitutionnalité de cette loi :
« Le Parlement n’a pas à dire l’histoire. Le parlement fait l’histoire, il n’a pas à la dire, ni à la fixer. […] La loi est une norme. La loi a pour fonction de réglementer une société de prévoir son avenir. Elle n’a pas à prendre parti dans une querelle historique ou tout simplement à affirmer un fait historique même indiscutable. J’ajoute, il faut bien le prendre en compte : la Constitution ne le permet pas. Je le dis clairement, elle ne le permet pas. […] Rien ne permet au regard de la constitution au législateur de s’ériger en tribunal de l’histoire ».