Sommaire
Action coup de poing de Lorraine nationaliste contre les asociaux
Genève non conforme (GNC) lance un appel aux dons
La République interdit aux patriotes d’honorer leurs morts à Perpignan
En France, les salaires des banksters augmentent ; au Vietnam, ce sont leurs années de prison qui progressent
Répression de la Manif pour tous, shabbatgoïsation de la police, Valls : un policier s’exprime
Occupation & faits divers
La course à la présidence
Le retour de Sárközy
Fillon : Sarközy après Copé
Le retour annoncé de Sárközy
Perquisition chez Guillaume Peltier
La dissolution comme solution ?
Silence radio pour Jean-François Copé
14 juin 2014, Catane (Italie) : Forza Nuova contre l’invasion
28 juin 2014, Madrid (Espagne) : Journée de défense de la famille/tournoi de football
21-24 août 2014, Yonne : camp d’été du Renouveau français
ACTUALITÉ NATIONALISTE
Action coup de poing de Lorraine nationaliste contre les asociaux
Samedi 31 mai 2014, c’est le jour où un millier de pervers issus de ce que la dégénérescence comporte de plus rance, s’était mis à ramper dans les rues de Nancy. Attentats à la pudeur, exhibitions, ivresse publique, consommation de stupéfiants, jets de préservatifs sur des enfants et des personnes âgées, propagande contre l’ordre naturel ; le tout escorté par la police du système. À lire la presse locale, ce pseudo défilé « bon enfant » mais réel paroxysme de la décadence institutionnalisée, devrait être accepté et encouragé par tous. […]
La fête fût gâchée par le déploiement d’une banderole au message sans ambiguïté : « ALLEZ BRÛLER EN ENFER ». Quelques minutes plus tard, un petit roquet chétif, agent de sécurité du centre commercial a prétendu faire retirer le message. Il a alors tenté de livrer à la police politique les courageux perturbateurs en les suivant, et en donnant leur position durant leur retrait, alors qu’ils quittaient le centre commercial sans aucune violence, et sans qu’aucun d’entre eux ne soit interpellé malgré le fait que les entrées et les sorties étaient bloquées par les CRS ; qui ont également dressé des grilles tout autour de la place, en espérant leur mettre la main dessus. La police politique s’est précipitée sur le toit et a enlevé la banderole, et deux suspects ont été interpellés à leur place, puis mis par la suite hors de cause. Les organisateurs ont déposé une plainte pour « menace de mort ».
Ou comment une poignée de nationalistes portant en eux cette étincelle de volonté inébranlable qui constitue le bois dans lequel est taillé tout révolutionnaire, est capable d’arrêter une manif d’un millier de personnes, de rendre la situation presque incontrôlable pour les chiens du système, tout en paralysant tout un centre commercial, nouveau temple de la société de consommation.
L’action a été relayée par la presse locale, belle victoire. Nous ne lâcherons rien. Nous ne ferons plus un pas en arrière face à la décadence, nous ne laisserons plus passer l’inacceptable. Ce système moribond est sur le point de s’effondrer, nous ne le raterons pas !
Genève non conforme (GNC) lance un appel aux dons
Le groupe suisse est confronté à un procès lancé par l’organisation communautariste anti-européenne CICAD.
Nos frais de justice et d’avocat s’élèvent à 12 000 francs suisses pour le moment et nous faisons donc appel à votre aide pour faire triompher la liberté d’expression face à la censure ! Pour ceci, vous pouvez effectuer un don qui nous sera précieux dans cette lutte contre ces puissants lobbies. Ne restez pas spectateurs face aux attaques incessantes de ce lobby, devenez acteurs !
précise GNC, qui a ouvert une page de dons.
FRANCE
La République interdit aux patriotes d’honorer leurs morts à Perpignan
Une trentaine de Français, dont au moins un élu de la République, le frontiste Bruno Lemaire, ont été empêchés par les forces de l’ordre de déposer une gerbe à la mémoire des Français morts pour la France en Algérie au cimetière de Perpignan. Un groupe extrémiste, dirigé par un étranger israélite, Roger Hillel, a multiplié les provocations et les insultes – en toute impunité – contre les morts et les combattants de l’Algérie française.
En France, les salaires des banksters augmentent ; au Vietnam, ce sont leurs années de prison
En Europe et singulièrement en France, la crise financière n’a pas coûté un seul jour de prison à aucun des criminels qui ont dilapidé des milliards d’euros. Au contraire : les gouvernements ont volé des milliards aux contribuables pour renflouer ces établissements et permettre depuis aux mêmes patrons, de ces mêmes banques, de s’octroyer de généreuses augmentations. En avril dernier, le journal économique Les Échos révélait des chiffres incroyables : +39 % pour le patron du Crédit agricole, +29,4 % pour celui de la BPCE, +14,8 % pour celui de Natixis.
Au Vietnam, les autorités ont appliqué un traitement très différent.
« L’accusé n’a pas été honnête et il faut lui donner une peine importante en rapport avec son crime »
a rappelé le président du tribunal, énumérant les faits d’escroquerie, évasion fiscale et activités économiques illégales commis par Nguyen Duc Kien. Ce dernier, l’un des plus puissants affairistes vietnamiens, était l’un des dirigeants de l’Asia Commercial Bank (ACB). Via des dépôts illégaux et des investissements hasardeux en bourse, il a, avec plusieurs autres hauts cadres, causé une perte de 67 millions de dollars à la banque. Il a écopé de 30 ans de prison.
Répression de la Manif pour tous, shabbatgoïsation de la police, Valls : un policier s’exprime
Occupation & faits divers
-Une altercation a opposé deux hommes de 26 et 28 ans dans le quartier de Bagatelle à Toulouse mercredi dernier, semble-t-il après que l’un des deux individus eut insulté la mère de l’autre. Le plus jeune a porté un coup de pied à l’autre, qui est décédé dimanche après quatre jours de coma.
-Alors que l’extrême gauche commençait à mettre en cause « l’insalubrité » d’un immeuble en grande partie squatté par des délinquants clandestins, un jeune de 12 ans a reconnu avoir allumé le feu volontaire.
-Dans l’affaire de l’homme retrouvé grièvement blessé à coups de couteau dans une cité d’Aulnay-sous-Bois, un individu s’est également dénoncé. Il s’agit du propre frère de la victime.
-Une Algérienne a blessé quatre femmes à la station de métro Bobigny-Pablo Picasso dimanche, en leur portant plusieurs coups avec une lame de rasoir. Interpellée après les faits, l’étrangère, enceinte, a été déclarée « déséquilibrée » dans la foulée et hospitalisée.
L’UMP EN CRISE
Le bureau politique de l’UMP se réunit ce mardi à 18 h 00, deux semaines après l’annonce de la démission de Jean-François Copé – un départ qui sera effectif le 15 juin –, à quatre mois du congrès du parti. Une rencontre qui s’annonce animée alors que les différents courants (filloniste, copéistes rescapés, sárközystes, juppéistes, indépendants, francs-tireurs…) tentent d’imposer leurs vues, politiques à long terme et surtout stratégiques à courte échéance : repousser le congrès, annuler les primaires, imposer un chef de parti différent du candidat à la présidentielle, réduire les pouvoirs du triumvirat, etc.
De leur côté, ni Jérôme Lavrillieu ni Guillaume Peltier n’ont démissionné de leurs sièges, de député européen et de maire, alors que de nouvelles perquisitions ont eu lieu dans le cadre des affaires Bygmalion.
La course à la présidence
La démission de Jean-François Copé aurait pu conduire à l’apaisement avec la nomination de François Fillon, candidat malheureux il y a quelques mois, à la présidence de l’UMP. La campagne avait alors été l’occasion de déchirements internes très violents, jusqu’à l’élection contestée de Jean-François Copé, suivie par le dépôt de multiples recours et un climat délétère qui avait perduré jusqu’à l’affaire Bygmalion.
Au contraire, la démission de Jean-François Copé a relancé la querelle des egos et des tendances.
Le député de la Drôme Hervé Mariton a annoncé qu’il serait candidat.
«Autant je respecte la nécessité d’une période transitoire à l’UMP, autant il convient aussi de faire des propositions pour l’avenir, d’assurer la cohésion de nos militants et de rassurer nos électeurs. […] notre parti a davantage besoin de fond, donc je choisis de ne pas me défiler. C’est sans doute une démarche atypique, venant de la personne en charge du projet du parti, mais cela a un sens : le projet doit être central pour l’avenir. C’est ce projet, enrichi par la patte personnelle du vainqueur des primaires, qui s’imposera naturellement comme la ligne de l’UMP pour les prochaines élections nationales »
a-t-il affirmé. Bruno Le Maire n’a pas exclu de se porter lui aussi candidat à la présidence du parti :
« Tout est ouvert, ce n’est pas la peine de se précipiter dans la vie, laissons les choses se faire au bon rythme ».
Xavier Bertrand soutient la candidature de François Baroin. François Fillon sera également candidat, comme probablement Nicolas Sárközy.
Alain Juppé est arrivé en tête d’un sondage réalisé sur le sujet : 20 % des Français interrogés (31 % des sympathisants UMP) estiment qu’il serait le meilleur président de l’UMP, devant François Fillon (11 % et 12 %), Nicolas Sárközy (9 % et 19 %), Bruno Le Maire (6 %), Laurent Wauquiez (5 %), Nathalie Kosciusko-Morizet (4 %), Xavier Bertrand (3 %) et Valérie Pécresse (2 %) ; Jean-François Copé récolte 1 %… et 38 % ne souhaitent aucun de ceux-là.
Selon une autre enquête, réalisée par Harris, Alain Juppé demeure le candidat privilégié pour diriger l’UMP (29 % contre 13 %), mais Nicolas Sárközy serait préféré comme candidat à l’élection présidentielle (32 % contre 25 %), loin devant François Fillon dans les deux cas (12 % et 11 %).
Le retour annoncé de Sárközy
Nicolas Sárközy a multiplié les apparitions ces dernières semaines : en Israël, aux côtés de sa femme qui y donnait un concert, puis en Russie pour rencontrer Vladimir Poutine lundi dernier, en Normandie – mal rasé – lors des commémorations de l’invasion de 1944, ou en Suisse ces derniers jours – un passage qui a été très mal perçu des organisateurs1.
« On n’échappe pas à son destin »
a-t-il déclaré dans les Alpes.
Alors que plusieurs sources affirment qu’il avait prévu son retour pour 2015, la crise à l’UMP le contraint à changer ses plans. C’est cet été qu’il pourrait faire son retour officiel en politique, en vue de prendre la tête de l’UMP puis de se proclamer candidat pour 2017.
Une inconnue déterminante demeure : les affaires. Le nom de l’ancien président revient dans plusieurs enquêtes judiciaires. S’il se sait coupable, comme Jacques Chirac avant lui, il pourrait faire le pari d’être élu avant qu’elles n’arrivent devant la justice. Mais s’il est coupable et qu’une affaire l’éclaboussait alors qu’il est le candidat de l’UMP, ni lui ni son parti ne s’en relèveraient.
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1 Invité pour un important congrès économique, l’ancien président de leur République a imposé dans un premier temps diverses conditions, refusant ainsi les questions, les photos, exigeant de ne pas être filmé, etc.
Durant son intervention, « ce qui devait être un débat a rapidement tourné au one man show » a rapporté un quotidien suisse, un spectacle auquel a mis fin Adolf Ogi, ancien président de la Confédération helvétique, après que Sárközy eut attaqué les institutions suisses. « Monsieur Sarkozy a fait son numéro. Il a plu, par sa rhétorique, ses mimiques. Il s’est imposé, donnant le spectacle qu’il voulait donner. […] Il est allé trop loin. Il faut dire stop. Je l’ai interrompu » a déclaré Adolf Ogi.
Le retour de Sárközy au cœur des débats
La victoire de Sárközy tient déjà au fait que tout l’UMP se positionne désormais en fonction de lui. Plusieurs personnalités de l’UMP ont réagi à l’annonce programmée de son retour. Ses plus fidèles soutiens, comme Brice Hortefeux, très favorablement :
« Le retour de Nicolas Sarkozy, qui était une possibilité, devient une nécessité. Je souhaite donc qu’il soit candidat à la présidence de l’UMP à l’automne. Nous avons besoin d’un chef, d’un projet et d’un cap »
a-t-il affirmé. Son ancien rival Dominique De Villepin a presque salué ce retour :
« Je pense qu’il [Nicolas Sárközy] fait partie des très rares qui ont aujourd’hui les capacités à rassembler à droite. Et je pense que ceux qui ont ces qualités, pour ma part je vois Alain Juppé et Nicolas Sarközy, ils ont la capacité de s’entendre […]. Je pense qu’il est essentiel que l’opposition puisse avoir un chef dans cette période »
a-t-il dit, précisant sa peur de « Marine Le Pen ou de la rue » car « toutes les aventures sont possibles ».
Ses partisans font bloc pour promouvoir sa candidature, comme Nadine Morano :
« Nous avons besoin d’un vrai leader, d’un chef, de quelqu’un qui incarne une vraie politique. Et donc je dis à Nicolas Sárközy : c’est maintenant ou jamais »
Au contraire plusieurs voix se sont exprimées pour rejeter toute idée d’un retour.
« Tous ceux qui, de près ou de loin, ont été engagés dans cette campagne présidentielle qui soulève tant de questions doivent se tenir à l’écart du mouvement dans l’intérêt de l’UMP et dans le respect de nos électeurs et de nos adhérents »
a déclaré Xavier Bertrand, multipliant les interventions sur ce thème et visant expressément Nicolas Sárközy, appelant à la construction d’une «nouvelle UMP ».
« Il faut à tout prix préserver les primaires, elles constituent la seule garantie d’une unicité de candidature au premier tour de la prochaine présidentielle. […] L’autoproclamation [de Nicolas Sárközy] ne peut fonctionner en la matière. On a déjà vécu cela avec la présidence de l’UMP. Tous ceux qui porteraient atteinte aux primaires feraient courir un risque suicidaire à l’opposition et nous priveraient d’une victoire certaine »
a déclaré le filloniste Éric Ciotti, rappelant moqueur : «Nicolas Sárközy a indiqué qu’il ne ferait plus de politique politicienne »
« Si Nicolas Sarkozy décide de se présenter [en dehors des primaires], il peut très bien y avoir François Fillon ou d’autres. On n’a pas à se courber devant Nicolas Sarkozy [qui] nous a fait échouer la dernière fois »
s’est énervé Bernard Debré, également soutien de François Fillon.
Fillon : Sárközy après Copé
«Enfin j’ai eu Copé. J’ai réussi à montrer quel était le vrai visage de ce salopard et de son entourage. Ce qui s’est passé prouve que j’avais raison de dire que le clan Copé est une mafia. La preuve : c’est le lieutenant Lavrilleux qui se sacrifie à la place du chef »
a déclaré François Fillon selon Le Canard enchaîné.
« Avec Sarko, ça va être un affrontement sanglant et je ferai tout pour l’empêcher de prendre le parti. Car, s’il le prend, il réunira dans la seconde un congrès statutaire pour supprimer les primaires et imposer sa candidature en 2017 »
a continué l’ancien premier ministre.
La dissolution comme solution ?
L’institut Opinion Way a réalisé une enquête à propos du destin de l’UMP : 65 % des personnes interrogées ont affirmé leur volonté que l’UMP soit dissoute et qu’un nouveau parti d’opposition prenne sa place, une opinion partagée jusque dans les rangs des libéraux-conservateurs : 50 % des sondés ayant votés pour Nicolas Sárközy partagent cette opinion.
Si 40 % des sondés pensent qu’aucune formation ne s’oppose efficacement au gouvernement, 34 % estiment que le FN est le meilleur opposant, devant l’UMP (14 %) et le Front de gauche (7 %).
Un peu moins radicale, Nathalie Kosciusko-Morizet a demandé que le nom du parti soit modifié.
« L’UMP d’aujourd’hui a déçu. Le congrès de l’automne doit être celui de la refondation. […] Je suis favorable à des actes symboliques forts comme le changement de nom de l’UMP. Je souhaite aussi que l’on vende notre siège, rue de Vaugirard. Il est froid, glacial, à présent il rappelle de mauvais souvenirs, et nous avons de toute façon besoin d’argent. […] Il faut tourner la page et ne pas laisser l’UMP aux mains de ceux qui l’ont abîmée ».
Perquisition chez Guillaume Peltier
Pendant ce temps-là, l’affaire Bygmalion se poursuit. Patrick De Carolis, mis en examen, a démissionné de France.
Plusieurs perquisitions ont été menées la semaine dernière dans le cadre d’un contrat passé par la mairie de Menton, près de Monaco, avec Bygmalion et la société créée et dirigée par Guillaume Peltier. Outre l’obtention de juteux contrats avec les élus UMP, cela avait permis à Guillaume Peltier, qui n’a jamais travaillé de sa vie et vécu uniquement de la politique, de se présenter comme « chef d’entreprise ». Le domicile du chef de la « Droite forte » et le siège de Bygmalion ont été visités par plusieurs enquêteurs, dans le cadre d’une enquête pour délit de favoritisme et prise illégale d’intérêts.
Silence radio pour Jean-François Copé
Depuis l’annonce de sa démission, Jean-François Copé a disparu du paysage politique. Son twitter est resté muet, mis à part un petit message soutien le 2 juin après l’élection d’un nouveau député UMP.
Il n’a rompu le silence que pour un entretien au journal La Marne, hier, où il a multiplié les déclarations d’amour à ses administrés de Meaux devenus, maintenant qu’il a perdu tout espoir d’un destin national, ses hypocrites objets uniques d’attention. Cet entretien est l’occasion d’apprendre que, depuis 2008, la ville de Meaux a passé des contrats avec Bygmalion à hauteur au moins de 66 430 euros.
AGENDA
14 juin 2014, Catane (Italie) : Forza Nuova contre l’invasion
28 juin 2014, Madrid (Espagne) : Journée de défense de la famille/tournoi de football
21-24 août 2014, Yonne : camp d’été du Renouveau français
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