« Vous direz à tous ceux qui nous soutiennent que Philippe se bat et que l’extraordinaire équipe médicale fait son maximum » ! C’était le message adressé par l’épouse de Philippe Monguillot, le conducteur du Tram’bus, très grièvement blessé à la tête, laissé en état de mort cérébrale par ses agresseurs et décédé depuis à l’hôpital de Bayonne.
A longueur d’ondes et de colonnes, toute la presse a commenté cette agression, mais extrêmement rares sont les médias qui se sont hasardés à donner le nom des auteurs du méfait. Exception faite du quotidien « Le Parisien » qui indiquait que cette bande de malfaiteurs « se réunissait dans l’appartement de l’un d’eux, Mohammed A. »…
En passant, on peut noter la différence de traitement avec l’agresseur de la mosquée de Bayonne, dont les journaux avaient dans l’heure qui suivait l’attaque, non seulement donné le nom et l’adresse, mais même le pedigree complet, et celui de son père, avec force clichés tendant à le rattacher à un mouvement politique !
Alors que généralement, lorsque ce sont des Maghrébins (et autres Africains) qui attentent à la vie d’un Européen ou d’un Asiatique, on se contente de l’antienne : « à l’heure actuelle tout ce que nous pouvons dire c’est qu’un individu né et résidant sur la planète Terre aurait été en possession d’un couteau de cuisine qui pour une raison encore inconnue aurait causé des dégâts corporels majeurs… d’après les premiers éléments de l’enquête il s’agirait d’un homme bien connu des services de police mais la présomption d’innocence nous empêche bien évidemment de dévoiler l’identité de ce malheureux déséquilibré »…
Quant aux autres participants à l’agression de Philippe Monguillot, il s’agirait de Mohamed C., Moussa B. et Sélim Z. (et non des « Français marginaux » comme certains médiats l’ont laissé entendre). En réalité, des envahisseurs, sans doute à papiers français, des racailles au casier long comme le bras !
Pour sa part, comme l’a rapporté la presse, le procureur a reconstitué cette agression « d’une extrême violence ». Dans un premier temps, « trois personnes, dont une avec un chien, montent dans le Tram’bus à l’arrêt Gare de Bayonne. Un quatrième homme monte ensuite à l’arrêt Balichon. Le chauffeur veut alors contrôler son ticket et demande aux trois autres de placer un masque sur leur visage. Les insultes fusent, puis il y a une bousculade. Le chauffeur est poussé hors du bus. Là, deux des individus lui donnent de violents coups de pieds et de poings dans la partie haute du corps et notamment vers sa tête ». Les quatre hommes prennent la fuite en laissant le chauffeur « inconscient sur le trottoir » et vont « se réfugier dans l’appartement de l’un d’eux », a-t-il ajouté, assurant que « rien n’expliquait cette extrême violence ». Rien, évidemment, à part une haine du Blanc, du Français que l’on peut tuer et lyncher comme un chien. Et bien oui, hein, « black lives matter » ? Les autres, les Blancs ? Quantité négligeable pour les tenants de l’antiracisme…
Un premier suspect a été arrêté dès dimanche. Quatre autres l’ont été lundi, dont un mineur rapidement mis hors de cause. « La violence des coups, leur visée et les déclarations (lors des auditions) me permettent de retenir la qualification de tentative d’homicide volontaire pour les deux mis en cause qui ont porté les coups », a encore déclaré Marc Mariée. Les deux suspects, âgés de 22 et 23 ans, soupçonnés d’être les auteurs des coups portés sur le chauffeur du tram’bus ont donc été mis en examen pour tentative d’homicide volontaire et incarcérés. Mais pourquoi la circonstance aggravante du crime commis par « haine raciale » n’a-t-elle pas été retenue ? Toutes les victimes n’ont pas droit à la même compassion de la part de la justice et de la caste politico-médiatique…
Deux autres accusés ont été mis en examen, l’un pour « soustraction de criminel à l’arrestation et aux recherches et non-assistance à personne en danger » et le second, pour « non-assistance à personne en danger ».
Interrogée par « Le Parisien », une sexagénaire qui vit depuis son enfance dans le quartier où habitent les criminels agresseurs, explique : « Non vraiment, ici, ce n’est plus comme avant, ça s’est vraiment dégradé, ça devient la cité du n’importe quoi ! ». Elle parle d’incivilités de plus en plus fréquentes et d’un sentiment d’insécurité croissant. Alors, lorsque, lundi matin, elle croise des policiers dans l’ascenseur de son immeuble, elle est à peine surprise.
Or, cette barbarie est une réalité : ce meurtre s’ajoute à la longue liste quotidiennes des violences que la presse nationale s’évertue à dissimuler pour éviter que le Français ne constate la réalité : il est une cible parce que Français, parce que Blanc sur son propre territoire de la part d’étrangers et Français de papiers qui vivent en parasite de la générosité forcé des autochtones.
Récemment, le général Bertrand Soubelet, écarté « sous la pression politiqu » de son poste à la Direction générale de la gendarmerie nationale après son audition par la commission des Lois de l’Assemblée nationale, indiquait combien il avait été « ému par la mort de Mélanie Lemée, jeune championne de judo de 26 ans, amoureuse de la vie et gendarme au service de la sécurité des Français », en précisant : « je ne suis pas un adepte de la langue de bois. Ce drame a été provoqué par un jeune Français d’origine maghrébine qui roulait sous l’emprise de stupéfiants à une vitesse supérieure à 130 km/h sur la commune de Port Sainte Marie après avoir refusé deux contrôles dans les minutes qui précédaient. Connu pour différentes infractions il n’avait plus de permis car il avait été annulé. Voilà la réalité brute… Ma colère s’explique par le fait que sa mort est déjà rangée dans la rubrique des faits divers et (…) que certains se réjouiront de ce drame ».
Ajoutons que Yassine E. (comme toujours, très peu de médias osent citer le prénom du criminel) avait déjà été condamné à trois reprises pour des infractions à la législation sur les stupéfiants et sur la circulation routière, qu’il conduisait sans permis, sous l’empire de stupéfiants, et qu’il venait de faire l’acquisition de 150 grammes de cocaïne (procureur)…
Nul doute qu’aucune « Traoré » ni aucun rappeur ne « graffera » une fresque en son honneur, avec les encouragements du maire blédard de Stains, Azzédine Taïbi, ni ailleurs… Pas plus, sans doute, en l’honneur du chauffeur de bus bayonnais…
En revanche, on a loué l’esprit civique de cet autre « jeune », Zakaria Zigh, « plus jeune colistier élu sur la liste du nouveau maire PS de Saint-Ouen, Karim Bouamrane », qui pourtant, après avoir été arrêté par la police lors d’une course-poursuite sur un scooter volé (écopant d’un simple rappel à la loi !) a de nouveau été interpellé par la police deux jours plus tard, cette fois avec du cannabis (sous le pont Alexandre-III !)… Devant les policiers, le samedi soir, il avait indiqué être conseiller municipal et leur avait glissé qu’il « devait se faire oublier quelque temps avant de réintégrer (son) siège de conseiller ».
Les Landes n’échappent pas, hélas, à cette « contagion » : mardi 7 juillet, en début de soirée, au boulodrome de Mimizan, un jeune homme de 25 ans a été blessé de trois coups de couteau, près d’un banc voisinant le boulodrome de Mimizan. Le jeune homme a été très grièvement touché, à tel point qu’un hélicoptère Ecu 40 a été envoyé à l’hôpital de Mont-de-Marsan afin de chercher du sang et de le transfuser. Le jeune homme a ensuite été transféré à l’hôpital de Bordeaux par hélicoptère, dans un état grave.
Et encore en Bretagne, un homme été jugé le 9 juillet par le tribunal correctionnel de Saint-Nazaire pour « avoir cambriolé un vieillard avant de le tabasser et de lui déféquer dessus en maculant sa tête avec les excréments aux cris de “Allah Akbar” ». Et à l’arrivée des agents au domicile de la victime, le prévenu les insulte, et les menace de mort. A plusieurs reprises, il crie « Allah Akbar, je vais revenir avec une voiture, tout défoncer, faire un carnage ».
Devant le tribunal, quand le procureur dénonce son « comportement odieux », il préfère se boucher les oreilles. L’homme a déjà été condamné à 19 reprises, dont une fois pour… assassinat.
À Bordeaux, le quartier Saint-Michel a connu de violentes bagarres entre « jeunes en errance » pendant et après le confinement rapporte par ailleurs « Sud Ouest ». C’est d’abord sur le cours Victor-Hugo, lorsqu’un homme blessé par un coup de couteau avait été secouru, près de son établissement. La victime était la deuxième d’une série de sept blessés (7 !) par arme blanche, durant la nuit du 24 au 25 juin, dans l’hyper-centre de Bordeaux.
Selon « Sud Ouest », depuis le déconfinement, les agressions au couteau se multiplient dans le cœur historique de la capitale de la Nouvelle-Aquitaine. Le restaurateur d’un snack témoin de ces affrontements acceptait de se confier « à condition que son nom et celui de son commerce n’apparaissent pas » : « Je ne veux pas d’ennuis. Les gars qui ont fait ça sont des barjots. Ce sont de jeunes clandestins défoncés aux médocs et à l’alcool. Ils dealent, trafiquent et squattent le coin depuis le confinement. Ils se font la guerre entre eux et nous pourrissent la vie. Presque tous les soirs, il y a une bagarre. Baladez-vous dans le quartier : on ne parle que de ça ».
Les riverains, les commerçants ou encore les travailleurs sociaux dans le quartier cours Victor-Hugo/Saint-Michel/porte de Bourgogne confirment la triste réalité : « Place Bir Hakeim, une dizaine de jeunes avec des haches, pioches et des sortes de sabres, a déboulé de Victor-Hugo et traversé la place en courant. Ils sont partis vers le tram. C’était surréaliste ». Ou encore « des jeunes qui jouent de plus en plus du couteau ou autres armes blanches, y compris artisanales, comme cette tige en fer aiguisée retrouvée cachée dans un arbre par le patron d’un café du cours Victor-Hugo qui vient de décider d’avoir recours à un videur, tous les jours d’ouverture ». De « Sud Ouest », on apprend encore que « Hussein, lui, a un « spot » à côté de son bar : un coin de trottoir, à l’angle du quai des Salinières, sur lequel « une dizaine de jeunes prennent place, toutes les fins d’après-midi ». « Ce n’est pas toujours les mêmes. Ils dealent surtout des médicaments, revendent des trucs qu’ils ont volés, des téléphones, des colliers, de tout. Ils sont à l’affût d’une éventuelle proie et se cachent à peine. » Ils étaient déjà présents avant le confinement, surtout autour de la porte de Bourgogne et du quai de Salinières. Quand tout a fermé à cause du coronavirus, « ils sont remontés sur le cours Victor-Hugo, dans la rue des Faures et sur la place Meynard, là où il y avait un peu plus de passage et donc potentiellement un peu plus de clients », explique Driss Ben Haddou, le président de l’association des commerçants de Saint-Michel ».
Selon plusieurs riverains, il s’agit majoritairement de jeunes Algériens et dans une moindre mesure de jeunes Marocains. « Il y a des mineurs, mais surtout des majeurs de 20–25 ans. Quelques filles leur tournent autour. Il se dit que des nouveaux sont arrivés de Toulouse et Marseille, ces dernières semaines », témoigne un commerçant. « D’après ce qui circule, beaucoup sont originaires de deux villes, Mostaganem et Jijel, et se concurrencent. Ils n’ont rien, donc rien à perdre. J’ai essayé d’en raisonner. Peine perdue : ils sont ingérables. Je n’avais jamais vu ça », lâche-t-il, dépité et affirmant avoir des échos de commerçants de la Victoire et de la gare tout aussi exaspérés. Habitante de Saint-Michel depuis vingt-quatre ans, Fatima abonde. On a vu des scènes ahurissantes pendant le confinement et les semaines qui ont suivi. C’est monté jusqu’à une trentaine de jeunes dans la rue des Faures, qui trafiquent, gueulent, se battent et sortent les lames. Rien à voir avec les dealers habituels du quartier, discrets voire courtois. Je n’ai jamais vu ces gosses s’en prendre à un habitant, mais vous retrouver au milieu d’une telle ambiance, ça fait peur. Estimant ne pouvoir assurer la sécurité de ses clients, le patron d’un café de Saint-Michel a d’ailleurs fermé son bar, pendant un week-end, fin juin ».
Jusqu’à quand les Français accepteront, en France, de se faire humilier, piller, violer, tuer ?
Redevenons maîtres chez nous !
Foutons-les dehors ! Tous ! Vite !
les rats sont partout meme dans lescoins les plus reculés,impressionant
avec un ministre de l’interieur comme Heydrich,le problème aurait ete réglé depuis longtemps
Nous n’avons plus qu’à faire justice nous-mêmes sans attendre quoi que ce soit . Appliquons notre bonne vieille loi du » Talion ».
Commentaire très juste sur les « français marginaux » !
Quand j’ai entendu la nouvelle, je me suis dit, « tiens, des chances pour la France ont fait ça, c’est sûr », surtout qu’aucun nom ou description n’avait été donné.
Bulletin d’informations suivant, j’écoute la description des coupables et je me suis dit « c’est étrange, on dirait qu’ils parlent de ‘punks à chiens’ plutôt mais ce n’est pas trop leur genre, il y a anguille sous roche ». En effet, il y avait anguille sous roche, et même franchement la grosse anguille d’un mensonge éhonté.
Tout est fait pour que les Français ne réalisent pas le problème, que ce soit en cachant des informations ou en les intoxicant avec la victimisation des pauvres noirs avec BLM.
Même sans mort ni attentat, ils n’ont rien à faire là,
quant aux victimes françaises, une chose m’empêche de compatir à leur sort, à 99.99% elles n’ont jamais levé le petit doigt contre l’immigration et le métissage, voici par exemple la réaction des parents de Mélanie (personnellement, je n’ai pas cliqué sur le lien, pas besoin, on sait à l’avance ce qu’ils vont dire:
https://www.europe1.fr/societe/avec-la-haine-on-navance-pas-affirment-les-parents-de-melanie-lemee-3980687#utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&xtor=CS1-16&utm_source=Twitter&Echobox=1594574831
Parfaitement. Je ne pardonnerais jamais aux électeurs. Leur lâcheté est inexcusable. Ils n’ont rien dans le bide, même dans un isoloir