Calais : le gouvernement écarte les règles européennes pour favoriser l’invasion
Selon le « règlement de Dublin », le traitement des demandes d’asile au sein de l’Union européenne doit être effectué dans le premier pays par lequel le candidat à l’asile est entré dans l’espace européen. C’est-à-dire que selon le droit européen les envahisseurs qui avaient atterri dans la jungle de Calais auraient du être reconduits dans le premier pays par lequel ils étaient entrés dans l’espace européen (pour ceux désirant déposer une demande d’asile).
Mais finalement le gouvernement français vient de renoncer à l’application de cette règle : les migrants issus du campement de Calais (la « jungle ») pourront demander l’asile en France, même s’ils ont laissé leurs empreintes dans un autre pays européen, selon un courriel envoyé aux préfets.
Le message, daté du 22 février, émane de la direction générale des étrangers en France. Il « invite » les préfets à « prendre la responsabilité de leur demande d’asile », y compris pour ceux qui sont, en temps normal, réacheminés vers leur pays d’entrée dans l’espace Schengen. Au ministère de l’Intérieur, on souligne qu’il s’agit d’une « dérogation exceptionnelle » correspondant à un « engagement politique ».
C’est une promesse sur laquelle le premier ministre Bernard Cazeneuve était attendu. À l’époque ministre de l’Intérieur, il avait pris cet engagement en septembre devant les associations de soutien aux envahisseurs, un mois avant le démantèlement du campement de Calais. Cet engagement avait contribué à convaincre les envahisseurs et les traîtres de ne pas entraver le démantèlement de la jungle et à se laisser transporter dans les centres d’accueil, saupoudrant ainsi le pays de clandestins.
Cependant depuis cette évacuation, commencée le 24 octobre, plusieurs associations avaient déploré le refus de certaines préfectures d’enregistrer les demandes d’asile émanant de migrants auparavant enregistrés dans un autre pays européen.
Pour mettre en œuvre cette décision, le ministère de l’Intérieur invite les préfets à « faire usage de l’article 17 » du « règlement de Dublin ». Celui-ci prévoit que « chaque État membre peut décider d’examiner une demande » même si cet examen « ne lui incombe pas en vertu des critères ».
On voit ainsi que le droit européen a été pensé sur mesure pour permettre aux gouvernements de favoriser l’invasion quelles que soient les circonstances…
En cédant aux oukases des associations de « no borders » et en invoquant l’application des dérogations de l’article 17, Bernard Cazeneuve se fait le digne vassal des officines mondialistes ayant théorisé la disparition des nations et des identités en Europe par la submersion migratoire.
le Juif François Hollande et le franc-maçon Bernard Cazeneuve veulent que Madame Marine, la patronne du « rassemblement rose marine » obtienne le meilleur résultat possible à la prochaine élection présidentielle, pour assurer la victoire, au second tour, du Juif Emmanuel Macron.
en Loire-Atlantique, à Saint-Brévin, une paisible station balnéaire, Hollande et Cazeneuve ont fait venir quatre vingt dix Afghans, dans ce but.