Après l’assassinat de Samuel Paty vendredi soir à Conflans-Sainte-Honorine, Cédric Maurin, 31 ans, enseignant d’histoire-géographie en lycée et rescapé de l’attentat du Bataclan, estime qu’il faut désormais dépasser l’émotion « légitime » pour dénoncer l’absence de remontées des problèmes au sein de l’Éducation nationale qualifiée de « grande muette », responsabiliser les parents et redonner une respectabilité aux enseignants.
Voici ce qu’il déclare lors d’une interview donné au republicain-lorrain :
« Heureusement, j’ai été très bien traité et accompagné pour mon psycho-traumatisme lié au Bataclan, je suis solide sur mes bases. Du coup, ce qui est arrivé à Samuel Paty me touche d’abord en tant qu’enseignant. Ce qui s’est passé vendredi soir est tellement différent de ce que j’ai vécu, et même le Bataclan est lui aussi différent par à d’autres attentats : le fait d’être pris en otage (en juillet 2019, il avait vivement critiqué le président Emmanuel Macron qui avait employé le terme « prise d’otages » concernant la grève des enseignants, NDLR) dans une salle est d’une complexité plus grande… Être atteint d’une balle et être décapité avec un tel acharnement et une telle barbarie, rien n’est comparable dans tous ces événements. Et, au Bataclan, il y avait Daech derrière, là, ce ne sont pas les mêmes personnes. Et c’est d’autant plus grave que ce sont des gens dans notre société et qui ont la vision d’un islam politique, qui est, qui agit dans un terreau où l’on a déconstruit la figure du professeur : les conditions de travail ont été tellement dégradées… »
Ce n’est évidemment pas uniquement la figure du professeur qu’on a déconstruit, mais bien l’identité française en elle même, mais poursuivons. Il nous renseigne également sur ce qu’est devenue l’école et la vie d’un enseignant sous la cinquième putain :
« On paie toutes les réformes tout en étant au front. L’institution s’est décrédibilisée sous Jean-Michel Blanquer, avec un bac qui devient une blague, des fédérations de parents et des parents qui insultent, agressent, menacent les enseignants… »
« On se sent seuls face à ce type de situation et on nous dit d’enterrer l’affaire, que ce n’est pas grave, ou l’on demande même de nous excuser. J’ai été moi-même victime de cette pression des parents lorsque j’ai pu faire grève l’an dernier, c’est un exemple parmi des millions de cas. C’est quotidien. »
Autre point capital de l’entretien, qui dépasse l’affaire Paty et même le problème islamique, cette déclaration qui sonne dans nos oreilles nationalistes comme un aveu :
« Les professeurs d’histoire-géographie, c’est une catégorie bien à part. On enseigne la colonisation, la Shoah, tout le socle qui fait qu’on fait société. On a des cadres républicains, donc on va au front sur tous les sujets difficiles. »
Que rajouter de plus ?
Religion shoatique, repentance coloniale… Est-il étonnant que des jeunes, n’ayant rien à faire dans notre pays pour commencer, le respecte d’autant moins puisqu’on apprend dans ses écoles à le haïr ?
Comme la république a fait son lit, elle se couchera… En attendant, ce sont les « profs » qui trinquent. Maurras disait que la république gouvernait mal mais se défendait bien ; il n’en est pas de même pour ses subordonnés.
Comment conquérir les âmes et les esprits avec cette sombre et indigeste doxa republikhaine ? Que signifie « République »? Chacun y va de sa propre définition. Clairement, cette chose publique est chez nous, pour nous, anti Royaume de France !
La pluspart des enseignants, comme les journalistes, sont la ploutocratie ouvrière de cette république anti FRANCE, et anti catholicisme.
Si nous en sommes là, nous le devons à la République. D’ailleurs la République non seulement est islamo compatible, mais elle est compatible avec toutes les idéologies et hérésies anti catholiques, donc anti France, que ce soit le judeo-protestantisme, l’islam-gauchisme, le libero-marxisme, et dès le début la TERREUR !