M.àj. 04.06.2025 : l’article sur le site d’Égalité & Réconciliation qui avait motivé le commentaire ci-dessous a été rapidement retiré. Dont acte.
Dans un article publié le 2 juin 2025 sur Égalité & Réconciliation, intitulé « Émeutes des supporters du PSG : des Gilets jaunes sans gilets » (NDLR : L’article en question a été supprimé du site d’E&R) la rédaction d’E&R propose une lecture volontairement provocatrice des violences urbaines survenues après la victoire du Paris Saint-Germain : selon elle, ces émeutes traduiraient une énergie révolutionnaire brute, comparable à celle des Gilets jaunes, mais sans conscience politique.
Nous pensons que cette vision est non seulement erronée mais aussi dangereuse.
Car les pillards du PSG ne sont pas des Gilets jaunes sans gilets.
Ils ne sont pas récupérables.
Ils ne sont pas une force révolutionnaire.
Ils sont ce contre quoi la Nouvelle Révolution Nationale devra se dresser.
En dépit du réel, la confusion entretenue.
Dans son article, Égalité & Réconciliation tente une manœuvre dialectique : présenter les émeutiers comme une force antisystème, une révolte instinctive, comparable à celle des Gilets jaunes mais sans conscience politique.
C’est une grille de lecture d’inspiration « marxienne », qui tend à interpréter toute explosion sociale comme un potentiel ferment révolutionnaire, sans en interroger la nature culturelle et identitaire.
Les émeutiers du PSG ne sont pas des prolétaires opprimés.
Ce sont les enfants gâtés du système, les produits toxiques du multiculturalisme, des consommateurs d’aides sociales et de haine raciale, sans loyauté ni racine, qui vivent par, et aux dépends du système dont ils profitent.
Ils ne veulent pas renverser l’ordre établi : ils veulent en jouir sans limite, dans l’impunité et la violence.
Le PSG n’est pas un club français, ce n’est pas une victoire française
L’article repose sur une erreur de base : faire de la victoire du PSG un moment politique récupérable.
Mais le PSG n’a plus rien de français :
- Il appartient au Qatar.
- Il est entraîné par un Espagnol.
- Il aligne des joueurs étrangers déconnectés du peuple.
- Il est soutenu par un public déraciné, hostile à la France.
- Il incarne la marchandisation absolue du sport et la dépossession culturelle.
Ce club est un outil d’influence islamique et marchande, une vitrine pour milliardaires et racailles.
Ce qui s’est produit dans les rues n’était pas une célébration nationale, mais une émeute tribale dans une métropole colonisée.
Les émeutiers ne sont pas le peuple, ils le haïssent
Comparer ces bandes aux Gilets jaunes est une faute politique.
Les Gilets jaunes venaient du peuple français périphérique.
Ils étaient enracinés, travailleurs, parfois perdus mais animés d’un sentiment de justice.
Les casseurs du PSG n’ont ni mémoire, ni idéal, ni projet.
Ils ne réclament rien : ils détruisent, ils volent, ils humilient.
Ils ne frappent pas le système, ils frappent la France.
La violence n’est pas révolutionnaire en soi, elle ne vaut que par ce qu’elle défend
La violence n’a pas de vertu intrinsèque.
Elle n’est pas noble par nature.
Ce qui lui donne une légitimité, c’est ce qu’elle protège, ce qu’elle incarne.
La racaille ne frappe pas pour la justice ou pour la vérité : elle frappe pour le chaos, pour le butin, pour l’orgueil clanique.
Sa violence n’a rien de révolutionnaire, elle est prédatrice, parasitaire, destructrice.
Ce que font ces bandes n’a rien à voir avec une révolte nationale.
C’est l’inverse : c’est une guerre contre la nation.
Ce n’est pas une lutte de classes, c’est une lutte de la barbarie contre la civilisation.
L’illusion d’une convergence horizontale des luttes entre les prolétaires de souche et les prolétaires d’origine immigrée repose sur une vision purement économico-sociale des rapports de force, qui fait abstraction des réalités identitaires, culturelles et civilisationnelles.
Les émeutiers ne partagent rien avec les Français enracinés : ni langue, ni culture, ni loyauté.
ls ne forment pas une classe sociale : ce sont des blocs ethniques, des bandes communautaires, mues par l’instinct tribal bien plus que par une quelconque conscience politique.
Ils ne veulent pas la justice : ils veulent l’impunité et la revanche.
Le clivage fondamental n’oppose plus les riches aux pauvres,
il oppose ceux qui veulent vivre en France comme en France, à ceux qui veulent vivre en France comme s’ils étaient ailleurs.
Le rôle des nationalistes : non pas les orienter où les utiliser, mais les neutraliser
On ne transforme pas des pillards en camarades politiques.
On ne construit pas une nation avec ceux qui ne veulent pas en faire partie.
Notre rôle n’est pas de tendre la main, mais de défendre les nôtres.
De défendre nos familles, nos quartiers, notre civilisation.
De rendre la France aux Français.
Au delà de la réconciliation, la remigration.
La victoire du PSG, célébrée par les racailles, est une démonstration éclatante :
Ce n’est pas notre victoire, ce n’est pas notre peuple.
Ce n’est pas une révolte politique.
C’est une explosion tribale, une démonstration de force post-nationale, un bras d’honneur lancé à la France par ceux qui n’ont rien en commun avec elle, ni par l’âme, ni par le sang.
Face à cela, il n’y a pas de solution molle, pas de cohabitation possible, pas d’aménagement durable.Il n’y a qu’une seule issue juste, cohérente et salutaire : la remigration.
Pour ceux qui ont une autre patrie dans le cœur et sur les papiers ,
pour ceux qui refusent l’assimilation,
pour ceux qui rejettent notre langue, notre mémoire, nos lois,
le départ est la seule voie.
« le PSG n’a plus rien de français :
Il appartient au Qatar.
Il est entraîné par un Espagnol.
Il aligne des joueurs étrangers déconnectés du peuple.
Il est soutenu par un public déraciné, hostile à la France.
Il incarne la marchandisation absolue du sport et la dépossession culturelle. »
Derrière son nom parfaitement français, Paris (des Parisii, peuple gaulois qui a donné son nom à Paris) Saint-Germain (homme d’église de l’époque mérovingienne et ville royale d’île-de-France), le PSG est la représentation parfaite du capitalisme transnational et du mondialisme.
Non ce n’est pas un bras d’honneur donné à la France. Vous imposé toute une dialectique à cette racaille qui n’a pas lieu d’être. Même le fait de dire qu’il s’agirait de jeunes gâtés qui veulent profiter indéfiniment des avantages sociaux qu’ont leur donnent me paraît un peu fort de café. Ce n’est pas moi qui voudrait aller vivre dans leurs HLM qui sont des véritables taudis, ou plutôt, devenus des taudis à l’image de la qualité des gens qui sont venus s’y installer. Et en parlant de guerre contre la Nation, quelle Nation? Ce pays est entièrement vassalisé par les ricains à l’issue de la 2è guerre mondiale, ne possède aucune souveraineté et doit suivre les diktats de Bruxelles.
Il y a bien longtemps que j’ai compris qu’Egalite et Réconciliation n’est, au mieux, qu’un cynique et sinistre business. Sa ligne éditoriale est parfaitement compatible avec le projet mondialiste.
Son article sur les « gilets jaunes sans gilets » en est la démonstration ultime.
« Il aligne des joueurs étrangers déconnectés du peuple ».
joueurs millionnaires au demeurant – l’anti-France dans toutes ses pompes et ses œuvres !
La vision nationaliste, c’est que le peuple est une entité raciale, organique.
Dans la vision marxiste, c’est les pauvres: un ouvrier Français est censé être plus solidaire d’un prolétaire russe ou d’un immigré que de la « bourgeoisie » française.
Mais attention, même sur JN, il arrive parfois de voir passer des articles ou des commentaires dans ce deuxième sens. Terre et Peuple, par exemple, a l’air de considérer que la bourgeoisie est forcément apatride, ce qui heureusement, n’est pas vrai.
Disons que c’est une prise de pouvoir par le foot.
C’est donc bien une violence révolutionnaire, de l’immigration contre la France, contre les Français.
Les masques sont définitivement tombés avec cet article sur ER:
Alain SORAL, dernier rempart d’une république anti-nationale.
On ne peut toutefois pas taxer Soral d’hypocrisie, il a toujours dit qu’il était contre une vision organiciste du peuple.
é&r, ça veut dire égalité entre tous les pauvres, immigrés ou non, et réconciliation raciale.
Par contre, avec ses 10 motos de collection dans le garage, son égalitarisme marxiste fait un peu sourire.
E&R a fait tomber le voile (bien léger) et s’est découvert pour ce qu’elle est, une organisation antifa comme les autres, opportuniste et activiste, prête à courir derrière n’importe quel flambée, de racailles ou tribale ( c’était le double cas), E&R a des origines confuses, entre nationalisme et lutte de classes, entre chrétienté et paganisme, entre keynésianisme et marxisme, ne sachant choisir, ou plutôt ne le pouvant. Cette confusion théorique et doctrinale se paie, toujours, la preuve avec son article gauchisant, voulant faire passer des voyous pour des combattants comparables aux Gilets Jaunes (!!!), les délinquants tribaux au QI de 60-70 font bien partie de la révolution, MAIS de la révolution capitaliste -communiste, celle du pouvoir mondialiste, la fameuse « révolution permanente « dont parlait Marx et dont s’abreuvait le jeune Bronstein dit Trotsky. Bravo à Jeune Nation de tenir le cap et de ne pas s’affaler de manière gauchiste derrière tout ce qui bouge, surtout quand c’est le pire. Les coups de poings à la Soral c’est (peut-être) viril (??), mais ça ne fait pas une ligne programmatique, ça fait plaisir dans l’atmosphère démente actuelle, mais cela cache vide et confusion doctrinaux… au point d’en arriver à fricoter avec « les nouveaux prolétaires « ( pour reprendre le langage révolutionnaire antifa des rabatteurs et supplétifs de Rothschild et Cie). R.I.P.