Compte-rendu de la galette des rois nationaliste à perpignan qui s’est tenu le 30 janvier 2022. Une belle réunion dans l’Amitié Nationaliste au cours de laquelle Yvan Benedetti, candidat à l’élection présidentielle 2022, est intervenu pour rappeler nos principes et notre espérance.
Jusque dans les années 60 l’Epiphanie était un jour férié. Cependant, Vatican II décida de décaler cette date au premier dimanche du mois de janvier. Ce qui de fait, annula le jour férié. Peut-on y voir les prémices d’une connivence avec l’esprit financier du protestantisme Anglosaxon ? L’image est forte. Car, en minimisant l’importance de l’Epiphanie, le concile induit insidieusement à oublier que le pouvoir temporel, représenté ici par les rois-mages, doit être structuré par le pouvoir spirituel, représenté par l’enfant Jésus.
Rassemblés autour de la traditionnelle galette des rois, les militants nationalistes, venus en nombre, écoutèrent avec attention les trois intervenants de ce bel après-midi catalan.
Brillante intervention, pour commencer, d’un jeune ami, professionnel de la santé. Ayant démontré les incohérences et l’inefficacité de la politique sanitaire du gouvernement, notre intervenant qui vit de par son métier au cœur du système sanitaire, a dénoncé avec force et preuves la volonté de l’Etat à détruire méticuleusement le système de soins français. Les différents pantins élyséens, aux ordres du gouvernement mondial, permirent ainsi au secteur privé de mettre la main sur les soins les plus rentables, le montant des soins des français chaque année s’élevant à plus de 200 milliards ; une manne incroyable pour les lobbys faisant de la santé un commerce.
Dans un verbe régulier et vif, l’intervenant démontra les similitudes importantes entre les débuts du communisme en URSS et la crise que nous vivons. S’appuyant sur les écris de Soljenitsyne, l’orateur expliqua que la puissance de nos ennemis est d’imposer des restrictions de liberté pour le supposé bien commun. Et de désigner les récalcitrants comme des impies se trouvant en marge de la société, en marge du progrès. Tout comme le régime Stalinien désignait en son temps les ennemis du peuple. Nous ne vivons pas une crise sanitaire, mais une tyrannie bolchevique organisée et pensée pour le profit des puissants et l’asservissement des peuples.
Dans la foulée de cet exposé, un chef d’entreprise catalan prenait la parole pour expliquer l’importance d’être réuni au sein du mouvement Les Nationalistes. Il nous rappela que le nationalisme permet une amitié sincère, dénuée de tout intéressement, la franchise et la loyauté soudant cette amitié. Le contre-exemple est la secte maçonnique où les intérêts des loges, de l’idéologie et du profit imposent une amitié factice cimentée par l’orgueil et le besoin de reconnaissance.
Enraciné dans le sol, l’entrepreneur insista sur la nécessité de recouvrer un gouvernement nationaliste, un gouvernement porteur de nos traditions, notre doctrine étant la seule à englober l’héritage français dans son ensemble. L’intervenant, avec passion, rappela que la France n’est pas née en 1789. Mais, qu’elle n’est pas non plus morte à cette date. La France s’est levée pour l’Empire, s’est imposée à Verdun, s’est redressée sous le Maréchal… La France, même gouvernée par la gueuse, vit en nous !
Le nationalisme, c’est une colonne doctrinale, des principes, le respect des lois naturelles. Le temporel, autonome dans sa gestion et dans son développement, est fondamentalement lié au spirituel, au catholicisme, à Dieu. L’intervenant insista sur l’alliance du glaive et de la croix. Le nationalisme permet de comprendre avec une grande lucidité les événements passés, en les reliant au présent. La colonne doctrinale est un roc. Les nationalismes du siècle dernier ont soulevé les peuples occidentaux de l’Oural jusqu’au Etats-Unis ! N’ayons pas honte des nationalistes d’hier. Soyons nationaliste !
Le chef du mouvement « Les Nationalistes », Yvan Benedetti, prit ensuite la parole pour une synthèse sur le combat qui est le nôtre. L’actualité fut décryptée, les responsables bien désignés. Le rappel de ce qu’est le nationalisme fut expliqué de manière exhaustive et forte intéressante. Notre position vis-à-vis du catholicisme, de la race, des institutions fut également développée.
Yvan Benedetti, appela à ne pas nous diviser pour des querelles de clochers. Le camp national, même si nous sommes conscients de nos différences, doit rester unie. Il en est de même pour les disputes électorales. Nous vomissons ce régime démocratique tel qu’il est orchestré par la ripoublique. Cependant, nous ne devons pas juger trop rapidement nos camarades, choisissant de voter pour l’un ou l’autre des candidats. Le combat pour la France ne doit pas être altéré par des histoires républicaines.
Il a rappelé que sa candidature n’a pas pour objectif de prendre l’Elysée, évidemment. Conscient que cela est impossible dans un jeu biaisé. Mais, qu’elle existe pour montrer au plus grand nombre que la voix du nationalisme ne saurait être représentée par les candidats adoubés par le système. Les 20 propositions symbolisent l’esprit nationaliste. Le jeu démocratique ne doit pas diminuer l’investissement militant dans le nationalisme. La doctrine doit être défendu. La minorité éveillée de nos concitoyens doit se réunir autour d’un mouvement dont les principes sont basés sur les lois naturelles.
Il faut « être et durer ». Nous étions là avant la gueuse. Nous serons là après elle. N’oublions pas qu’il suffit à une timide et discrète braise, un petit souffle, pour que celle-ci enflamme les cœurs de France ! L’héritier de Pierre SIDOS aime à dire « les principes avant les princes ». Traçant le sillon dans lequel germera les chefs nationalistes de demain, l’opiniâtre militant donne espoir à une salle attentive. La principale leçon de cette intervention est bien de ne jamais se décourager. Car, l’espérance est nationaliste. Dieu nous donnera la victoire. Nous en sommes convaincus !
A noter l’organisation exemplaire de ce rendez-vous régenté par les Caryatides.
Excellent compte rendu, digne d’un PV de gendarmerie, et qui fait regretter de ne pas avoir pu venir.
Est-ce que le boutiquier de Bab el Oued, le radical socialiste antifa, Louis Alliot, maire de cette ville, a été invité à partager cette sainte galette ?
Il préfère sans doute se gaver de propagande républicaine.