Témoignage reçu au courrier de Jeune Nation :
La fête de notre village qui devait débuter ce vendredi et durer une semaine a été annulé par le maire de la commune.
La raison en est qu’il est impossible de mettre en place les contrôles imposés par les autorités dans l’application du passe sanitaire.
Il a été demandé à la municipalité de faire un bouclage hermétique du village et de contrôler les passes sanitaires aux checks points. La police a menacé de venir contrôler les contrôleurs !
Le Maire a jeté l’éponge et tout ce qui était organisé par la municipalité (apéro, bal, repas, tauromachie) est annulé. Dans la foulée les concours de boules organisés par le bar (pourtant indépendant de la municipalité) sont également annulés.
Les forains sont là et ils ont bien été menacés sur le fait que s’ils mettent en fonctions leurs activités, cela se fera sous leur seule responsabilité.
Dans un pays où n’importe quel sans-papiers et sans vaccin peut venir sans contrôle comme il le veut parce qu’on ne peut pas garder le contrôle de nos frontières, il est en revanche possible de demander le bouclage d’un village de peur qu’un père non vacciné n’y emmène son enfant pour un tour de manège !
Le 29 juillet un village du Vaucluse organise une soirée dansante – soupe au pistou. Vin à volonté, musique, grillade, soupe pistou etc…
On nous dit qu’il ne faudra pas de passe sanitaire. Joyeux, nous nous inscrivons à 5.
Hier on me rappelle par TPH, la cave est obligée de demander le passe sanitaire.
Vu que nous sommes 4 non vaccinés sur 5 personnes, nous avons annulé.
[ « Un passe sanitaire » jusqu’ici, cela n’existait qu’au féminin : « Une passe sanitaire », mais à défaut d’animation, Olivier Véreux sur BFM nous propose des soirées réanimation]
« Jamais nous n’avons été aussi libres que sous l’occupation allemande »
Jean-Paul Sartre « La République du silence »
Le balancier va aller au bout de sa course dans le sens des folies à prétexte sanitaire. Les relater, les dénoncer, d’accord mais il faut d’ores et déjà s’organiser dans la vie réelle pour vivre autrement et en toute discrétion. Cela peut concerner les approvisionnements, les transports, l’hébergement en cas de danger, etc …
Quand des noyaux de personnes « aguerries » se connaissant entre elles existent localement, ne pas hésiter à former des cellules de résistance pour protéger l’entourage des excès tyranniques prévisibles. Discrétion et cohésion sont indispensables.
En PARFAIT accord avec votre commentaire !
Il faut l’union de ceux qui résistent discrétion comme dans une certaine période où le « résistant » était protégé.. certes, quelque fois dénoncé… mais quel beau travail accompli souvent en silence et à la barbe de ceux qui « contrôlaient » !