PIRE QUE LE COVID, LA DICTATURE SANITAIRE !
En France, l’âge médian des morts du COVID est de 84 ans, chiffre supérieur à l’espérance de vie (82,5 ans). Le virus est mortel pour les personnes très âgées et ayant des pathologies graves. Aux Etats-Unis, 94 % des personnes mortes du Covid présentaient d’autre maladies d’après les Centers for Disease Control and Prevention. Chaque année, 600 000 personnes meurent en France, soit 0,91 % de la population (plus de 1500 par jour). A date du 22 novembre, 48 518 personnes sont mortes du COVID sur 67 millions d’habitants. Cela représente 8 % des décès (alors que de nombreux témoignages rapportent qu’un certain nombre de décès ont été faussement attribués au coronavirus). Nous sommes très loin de la peste évoquée par le directeur général de la santé, Jérôme Salomon. La létalité du virus, le ratio du nombre de morts sur le nombre de contaminations, est très faible pour les moins de 50 ans (graphique 2).
Le gouvernement a refusé par idéologie le premier geste barrière, le contrôle des frontières. Les pays qui ont fermé leurs frontières dès le début comme la Corée du Sud, le Danemark ou la Nouvelle Zélande ont des taux de mortalité extrêmement faibles (graphique 1). Au printemps, une trentaine de pays ont interdit l’accès de leur territoire aux Français. Tandis qu’en France, nous avons laissé les frontières ouvertes aux quatre vents, sans aucun contrôle. Pendant l’été, des médecins ont dénoncé l’arrivée massive de malades venus notamment d’Algérie.
L’analyse des chiffres montre qu’il n’y a pas de corrélation entre le confinement et la mortalité. Les exemples du Pérou et de l’Argentine, qui ont imposé un confinement très dur, sont significatifs. De même, la Suède qui n’a pas confiné, a un taux de mortalité plus faible que celui de la France (graphique 1).
Il faut avoir conscience du fait que rien ne justifie de mettre un pays et une économie à l’arrêt. Il aurait été préférable de procéder à des mises en quarantaine ciblées, d’isoler les malades, et de protéger les plus faibles et les plus âgés plutôt que de séquestrer des millions de Français, de séparer des familles et de traumatiser nos enfants en leur imposant de vivre masqués. D’autant plus qu’aucune étude ne prouve l’efficacité du port généralisé du masque. Le climat de terreur entretenu par les médias a créé une fracture dans la société en cultivant la peur de l’autre, de sa famille, de ses collègues, de ses amis. Toutes ces mesures auront des conséquences dramatiques avec un accroissement de la pauvreté et des conflits sociaux. Quant au traitement, il ne doit pas être imposé. Il faut laisser la liberté de prescrire aux médecins, et à la population le choix de se faire ou non vacciner.
Devant ce constat, nous devons nous réveiller alors que le gouvernement est en train de confisquer nos libertés sous prétexte de lutte contre la pandémie, car ne soyons pas naïfs, tout nous montre que les restrictions et les mesures de distanciation ont vocation à être perpétuelles.
« Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est courte : jamais […] le monde tel que nous le connaissions dans les premiers mois de 2020 n’est plus, il s’est dissous dans le contexte de la pandémie […] le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations » (Klaus Schwab, président du forum économique mondial de Davos, le 3 juin 2020)
Les mondialistes, conscients de perdre pied ces dernières années devant la montée inexorable du nationalisme et du populisme, souhaitent profiter de cette crise artificiellement entretenue pour imposer leur projet de domination et de gouvernance mondiale dont la prochaine étape est le « Great Reset ».
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Le tract des Nationalistes téléchargeable : Pire que le Covid, la dictature sanitaire !
Le covid n’est qu’un prétexte pour justifier l’inimaginable qui était impensable il y a encore six mois .