Au 1er tour notre position était « pas une voix pour le système », rappelant l’adage selon lequel, dans une présidentielle, au 1er tour on choisit et au 2e tour on élimine. Aujourd’hui la question est donc : est-ce que le vote Le Pen peut nous débarrasser de Macron, du Grand Reset et du mondialisme ? Et là rien n’est moins sûr.
Le débat a été un bon résumé de sa campagne. Trois heures de confrontation sans rappeler l’affaire Benalla, la France humiliée par les frasques d’un président en rut devant des mâles chocolats, les masques interdits puis les masques obligatoires, les 10000 morts dans les Ephads, la légalisation du Rivotril, les yeux crevés et les mains arrachées des gilets jaunes, la nouvelle affaire Alstom et les turbines Arabelles rachetées à prix d’or après avoir été bradées à General Electric, le milliard de Mac Kinsey, les millions de Rothschild évaporés, les libertés individuelles et collectives supprimées, les mouvements d’opposition dissous en Conseil des ministres, le renforcement de l’avortement, l’extension de la GPA, les attaques contre l’école libre, l’extension sans fin de l’immigration. Il y avait tellement de cloches à faire tinter et de tares à dénoncer.
Et pourtant la Le Pen est restée impassible, aphone. Alors une question s’impose : Est-ce le résultat d’un accord passé avec la Macronie ? Sans le parrainage de Bayrou et de ses maires du Modem, Marine Le Pen n’aurait même pas pu se présenter, avec pour conséquence directe, sa mort politique… Complice ou idiote utile du Système.
Macron a besoin d’une opposition pour canaliser les révoltes et pour entretenir l’illusion démocratique, alors que nous glissons de plus en plus vers la tyrannie. Dans ce jeu de bonneteau, Le Pen en larron intervient comme illusion politique, comme opposition contrôlée. Avec un parti lourdement handicapé par les dettes et par l’absence de militants, pouvant tenir le rôle d’assesseurs contrôlant la bonne tenue du scrutin, ce qui ouvre la porte à une fraude massive, le maître du jeu Macron assure sa réélection. Dans ces circonstances, je ne vois pas en quoi nos voix pourraient changer la donne, si ce n’est en cautionnant cette escroquerie électorale, en entretenant de faux espoirs, en contribuant à légitimer la Le Pen dans un rôle de première opposante au système et en cautionnant tous les reniements, y compris ne l’oublions pas, le parricide et l’exclusion de son père, à qui elle doit pourtant tout politiquement.
Nous voilà donc dans une position où il faut choisir entre deux rejets qui ont besoin l’un de l’autre pour perdurer. Nous refusons de le faire et nous pratiquerons l’abstention nationaliste. Pour se débarrasser de Macron ne faut-il pas se débarrasser de la le Pen !? C’est là toute la diablerie du système. En tout cas, l’urgence pour tout Français conscient des enjeux est d’en sortir individuellement, de se regrouper et de s’organiser collectivement.
Yvan Benedetti
Pour suivre Yvan Benedetti :
L’attitude de la vaniteuse imbécile qui reste – hélas ! – la seule représentante de notre courant idéologique lors de ces élections, incite, comme le dit Yvan Benedetti, à se poser les pires questions.
Rarement, un prétendant à l’Elysée s’est présenté avec autant de « casseroles » que Macron lors d’un débat. Mais on n’a jamais vu quelqu’un qui, comme Marine Le Pen, disposait de tels arguments, supporter les accusations discutables de son vis-à-vis sans y opposer les éléments à charge particulièrement lourds dont elle disposait pourtant !
S’ajoutent à cela les mêmes questions qu’on ne peut que se poser à la lecture des professions de foi des deux candidats arrivées ces jours-ci dans toutes les boites aux lettres.
Authentique travail de professionnels de la communication, celle de Macron est lisible sans effort, claire, et allant à l’essentiel, notamment la dernière page réalisée en dix points accessibles à tout lecteur.
Mais la profession de foi de la Le Pen est illisible, confuse, se perdant dans des détails inutiles. Et notamment la dernière page, capharnaüm brouillon et imprimé, de plus, en gris clair. Pour faire plus illisible encore ?
On croit cauchemarder devant un tel étalage d’incompétence en matière de communication.
Baigner depuis trente ans dans la politique, comme la feignasse de Montretout, pour n’être même pas capable de rédiger une profession de foi ? On ne peut que se demander si on atteint le comble de la sottise… ou si c’est volontaire !
L’ami Benedetti a-t-il raison de voir dans la Le Pen un « larron » de Macron, complice de la défaite de son propre camp ? Je n’irai pas jusque-là, mais j’admets qu’il est impossible de ne pas se poser la question, à moins d’admettre que, décidément, la sottise de cette dinde vaniteuse n’a pas de limite.
Cependant, je pense aux braves gens de notre camp Nationaliste… A tous ces militants courageux et désintéressés, qui ont, à mes yeux, autrement plus d’importance que la plupart de ceux qui prétendent s’exprimer en leur nom.
Pour ceux-là, chaque élection est d’abord une occasion de se compter. Une occasion de garder l’espoir en vérifiant que les copains et les sympathisants sont toujours là, fidèles au poste et prêts à continuer le combat quoi qu »il advienne.
Pour moi, la leçon de toute une vie de militantisme se résume à cette sentence de Clausewitz, plus grand stratège militaire de tous les temps, estimant que, quels que soient les aléas de la bataille : « Celui qui gagne est celui qui reste debout jusqu’au dernier quart d’heure » !
C’est pour cela, et c’est pour que nos militants puissent compter leurs amis et garder des raisons d’espérer et de rester debout, que je demande à tous mes camarades DE NE PAS ABANDONNER LA PLACE A NOS ADVERSAIRES LE JOUR DU VOTE.
Je ne suis pas d’accord pour une fois avec Yvan Benedetti. Le but du débat n’était pas quelle plaise à « son camp » mais qu’elel garde l’image de sa campagne qui aux dires de tous a été très réussie. Saborder Marine Le Pen ne créera pas la révolution nationale. S’abstenir c’est voter Macron, puis qu’il est en tête.
Si les sondages sont bidons, raison de plus.
Il n’y a pas de troisième voie à cette occasio. C’est ou Marine ou Macron.
*LE DOGME DES ÉLECTIONS*
*Les élections, telles qu’elles sont conçues n’ont rien de démocratiques. *
*Elles sont les principaux éléments d’un système reposant sur la tromperie, la domination, la dépossession, la confiscation et la répression.*
*Au nom de quoi devrions-nous accepter les lois et les décisions ( la politique) du candidat « élu » ?*
*Au nom de quoi devrions nous être la propriété d’un pouvoir quel qu’il soit ? *
*Les croyances en les élections, pour espérer mieux vivre, font partie de ces croyances irrationnelles, qui nous sont imposées depuis des siècles, par la violence, et maintenant, par la propagande, pour nous maintenir sous dépendance, nous dominer, nous spolier et nous asservir.*
* le système électoral français actuel, est de toute façon, biaisé. *
*Les élections ne servent qu’à élire et donner un semblant de légitimité au candidat choisi des le départ par les castes. Elles ont pour mission de faire voter les lois les plus répressives et liberticides, sans faire trop de vagues*
*Les candidats à la candidature, qui ne seraient pas totalement compatibles avec le système, seront de toute façon éliminés par « les règles du jeu ».*
*Les différences entre les programmes des candidats, sont des differences de style, dans les mots, dans les éléments et les programmes, qui ne dérangent pas. *
*Aucun n’a l’humain et les vrais droits humains dans son programme politique, car contraires à ses intérêts. Cela devrait nous/vous interpeller.*
Daniel Milan
*Devinette*
« – *J’ai 14 mises en examen dans mon gouvernement y compris mon Ministre de la Justice*,
– j’ai bradé :
*Alstom aux américains*,
*Alcatel aux finlandais*,
*Lafarge aux suisses*,
*Essilor aux italiens*,
– j’ai acheté avec vos impôts pour *10 milliards d’euros de Remdezivir* alors que l’OMS avait certifié que ce médicament était inutile pour lutter contre les COVID.
– j’ai dépensé *2 milliards pour quelques pages par des cabinets conseil établis dans des paradis fiscaux*,
– j’ai fait *éborgner et arracher des mains* à des pauvres français qui protestaient car ils n’arrivaient pas à payer leur carburant,
– j’ai fait *licencier 15 000 soignants* qui avaient sauvé des vies au péril de la leur en soignant sans masque ni blouse les malades du Covid,
– *j’ai fait fermer 5 700 lits d’hôpitaux* pendant la pandémie,
– *j’ai fait « achever » donc « tuer » plus de « 30 000 personnes âgées isolées en Epahd en leur faisant ingurgiter du *Rivotril* qui pourtant est un médicament interdit pour les pathologies pulmonaires,
– j’ai décidé d’instaurer la *retraite à 65 ans*,
– *j’ai augmenté les taxes sur les carburants* en proclamant éhontément que je reduisais les impôts,
– *j’ai réduit le pouvoir d’achat des retraités* en augmentant la CSG,
– *j’ai aggravé la pauvreté en France*. Il y a aujourd’hui plus de 10 millions de personnes qui ne survivent que grâce à l’aide alimentaire,
-j’ai instauré un *pass sanitaire toujours présent dans les hopitaux*
– *j’ai mis un pass vaccinal que j’ai juste suspendu pour les élections* et que je vais remettre, je vous le promets
– *j’ai injecté des millions de personnes de force*
– *j’ai commandé les 4/5/6 doses à venir*
– *j’ai fait des confinements,couvre feux à gogo alors que c’était inutile*
– *je vous ai rajouté 700 milliards de dette*,
-*J’ai appauvri les plus pauvres* etc…
*Qui suis-je?…*
*Petit indice : ne pas aller voter ou voter blanc, c’est le reconduire grâce à vous* !
Yvan Benedetti indique avec beaucoup de lucidité la voie à suivre. Il est le seul homme public français qui ait la stature pour diriger un mouvement de résistance organisée au système. La réponse correcte à ses consignes pour le second tour tient en deux mots : Oui, chef !
Pas question de laisser la moindre occasion à un second mandat du docteur Micron !
« A défaut de grives, on mange des merles », prétend le dicton.
C’est donc en se pinçant le nez et à reculons qu’il faudra donner son suffrage à la poissonnière de Montretout, car elle ne fera pas pire que le nain mondialiste, inféodé à MacKinsey et aux gnomes de Wall Street.