Selon Le Figaro, les nouveaux radars de racket automatique installés depuis un an en France et flashant dans les deux sens de circulation ont flashé 300 000 automobilistes. Ces chiffres, sur 12 derniers mois, montrent que contrairement à ce que certains médiats avaient affirmé, ces radars flashent plus que les autres.
Le gouvernement d’occupation, qui légalise peu à peu les drogues et les comportements dangereux qu’elles induisent, laisse agir les casseurs d’extrême-gauche, organise l’impunité de centaines de milliers d’allogènes criminels, continue à persécuter arbitrairement les automobilistes au prétexte de sécurité. En réalité dans 95 % des cas, le seul et unique motif est de le racket des Français. Les 4 150 radars à l’œuvre sur le territoire ont rapporté en 2013 environ 800 millions d’euros à l’État mafieux. Ils ont constaté 19 millions « d’infractions », mais seulement 11 200 000 procès-verbaux ont été adressés à des automobilistes.
Les radars ont en moyenne moins flashé en 2013 que l’an passé. Le manque à gagner pour le gouvernement a été compensé par l’installation de nouveaux radars, en appliquant toujours les mêmes recettes qui révèlent l’escroquerie des radars, placés majoritairement sur les voies les moins dangereuses, les autoroutes, sur des portions limitées arbitrairement à 110, 90 voire 70 km/h.
De l’aveu même des autorités, les grands excès de vitesse, concernant les véhicules dépassant de plus de 30 km/h, la limite autorisée (par exemple rouler à 140 km/h sur une portion limitée à 110), représentent une part dérisoire du total, moins de 1 % en 2009. Sur les voies les plus sûres – mais les plus rentables – les autoroutes, l’État a installé un radar de racket automatique tous les 40 kilomètres, et sur les routes départementales, où se produisent les deux tiers des accidents mortels, mais moins rentables, tous les 400 kilomètres seulement.