Le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) vient de publier la 5e édition du bilan statistique « Insécurité et délinquance » pour l’année 2020. Les autorités estiment qu’en raison du « contexte de la crise sanitaire » (tyrannie sanitaire) les résultats doivent » être interprétés avec beaucoup de précaution « .
Même en prenant des précautions, une tendance incontestable qui n’étonnera personne se dégage : la surreprésentation des étrangers, avec une mention spéciale pour les ressortissants de pays africains, parmi les mises en cause.
Alors qu’officiellement, environ 7 % de la population vivant en France est de nationalité étrangère, ces personnes représentent 38 % des auteurs présumés pour des vols violents sans arme. Les étrangers mis en cause sont essentiellement d’une nationalité issue d’un pays d’Afrique (33 % du total des mis en cause) alors que ces nationalités représentent 3 % de la population résidant en France (Insee, recensement de la population 2017).
Avant de regarder les statistiques, gardez à l’esprit que parmi les dits « Français » nous retrouvons les millions de » Français de papiers » issus également de pays d’Afrique ou d’autres coins exotiques où le quotient intellectuel dépasse très rarement la température d’ébullition de l’eau. Les statistiques ethniques (pour ne pas dire raciales) étant interdites, nous devrons nous contenter de ces chiffres qui viennent corroborer les observations que nous pouvons faire au quotidien au travers de nos expériences personnelles en milieu épicé.
Mises en cause :
Victimes :
On note aussi que concernant les mis en cause dans des violences sexuelles, 9% sont de nationalité africaine.
Lire la suite sur Breizh Info
Oscar Walter