Le 20 novembre, Massar D., un Camerounais à papiers espagnols, se trouvait en état de mort cérébrale. L’individu avait été plongé dans un coma à la suite de son interpellation à la gare du Nord, à Paris le 9 novembre. La patrouille de la police des réseaux ferrés avait procédé à l’arrestation de cet envahisseur parce qu’elle le soupçonnait de vendre de la drogue dans la gare.
Après une course-poursuite, Massar D. a été immobilisé au sol par les forces de l’ordre. Quelques secondes plus tard, le suspect a fait un malaise recrachant « 30 pochons de crack » qu’il cachait dans sa bouche ! Le vendeur de drogue était en arrêt cardiaque à l’arrivée des pompiers mais son cœur est ensuite reparti. Néanmoins les lésions cérébrales étaient déjà irréversibles. Selon plusieurs médiats, les médecins ont encore extrait deux autres pochons de drogues pris dans les voies respiratoires. Massar D. est mort le 22 novembre 2017 après 13 jours d’hospitalisation au service réanimation de l’hôpital Lariboisière.
Blocus Info, un pseudo-collectif et le site Démosphère, tous deux se prétendant « indépendants » dans la bonne vieille tradition gauchiste, appelaient à un rassemblement de protestation contre les violences policières dimanche 3 décembre à Garde du Nord. L’incongruité du lieu de rassemblement faisait déjà présager l’appel à l’émeute raciale sous-jacent : nul n’ignore en effet que Gare du Nord est ce haut lieu servant de terrain de jeu à la voyoucratie barbare et aux bandes ethniques…
Et effectivement dans l’après-midi du 3 décembre plusieurs dizaines de colons africains se revendiquant de la « Brigade anti-négrophobie » étaient rassemblées là. Dans leurs rangs, on trouvait encore la fine fleur des militantes racistes anti-blancs comme Rokhaya Diallo ou Sihame Assbague (organisatrice des camps d’été « décoloniaux et non-mixtes » c’est-à-dire interdit aux Blancs), venues exciter leurs troupes !
Au fil de l’après-midi, les tensions se sont accrues entre émeutiers étrangers et police, les décorations de Noël servant même de projectiles, jusqu’à ce que les forces de l’ordre fassent usage de gaz lacrymogènes pour disperser la foule.
Les images démontrent la haine qui anime ces colons étrangers.
Et leurs slogans, réclamant sans honte « justice pour Massar » (l’envahisseur africain vendeur de mort sur notre territoire !), témoignent de cette escalade de la provocation à l’égard d’un État dont les gouvernants (lâches ou complices ?) se refusent à donner les directives de rétablissement de l’ordre public dans ces zones abandonnées à la racaille étrangère.
Avec nous, avant qu’il ne soit trop tard, foutons-les dehors !