Un camp d’été « décolonial » interdit aux Blancs
Des proches du PIR (Parti des Indigènes de la République) ont lancé un camp de formation à l’antiracisme… Exclusivement réservé aux personnes souffrant du « racisme d’état », autrement dit, aux personnes ayant un taux de mélanine trop élevé pour pouvoir honnêtement se revendiquer françaises. Cela a été confirmé par le gouvernement, étant donné que dans leurs vidéos « contre la haine » diffusées à la télévision entre deux programmes de propagande homosexualistes ou shoatique, faisant insidieusement la propagande du métissage, les victimes n’étaient jamais françaises et les agresseurs toujours trop pâles.
Ce «camp d’été décolonial» se présente comme une «formation à l’antiracisme politique». Il s’agit d’un camp de quatre jours, réservé aux personnes qui se considèrent « victimes du racisme de l’État français ». A l’origine de cette idée, deux militantes antiracistes: Fania Noël et Sihame Assbague.
Elles se revendiquent ouvertement « afro-féministes », pro-africaines et remplacistes, c’est à dire favorables à la disparition des populations Blanches de France. Au programme, des formations pour : « Combattre le racisme médical, pratiquer l’afro féminisme, militer pour l’abolition de la prison ou encore apprendre à parler de l’esclavage aux enfants ».
Mais les participants auront aussi des ateliers pour « combattre les politiques anti immigration » ou « décoloniser la culture »… Sur twitter, les organisatrices se réjouissent d’avoir reçu: « l’inscription d’un couple venant avec ses 7 enfants » avec le commentaire suivant « Le Grand Remplacement, c’est maintenant ». D’ailleurs, sur leur compte Twitter officiel, il est possible de voir le hashtag suivant : #TeamGrandRemplacement.
On ne le répétera jamais assez : l’antiracisme est un nom de code pour anti-blanc.