Leurs médiats anglophones titrent sur une recrudescence des actes « antisémites ». Entre dans cette catégorie, la simple inscription « liars » – menteurs – badigeonnée sur un panneau d’occupation annonçant en pleine rue et à la vue des enfants, les soixante-dix ans de la déportation des employés d’un camp de travail – transformé depuis lors en parc d’attractions – vers la Palestine alors pas encore colonisée.
Leurs journalistes font le lien avec le « conflit » à Gaza, mais uniquement pour aller dans le sens dicté et relaient complaisamment toutes les lamentations communautaristes, provoquant finalement une réaction des Anglais ulcérés.
Un prétendu exode massif d’abord annoncé…
Les attaques ciblées contre un torchon antifrançais le mois dernier ont été, depuis lors, l’occasion pour la caste de la presse d’affirmer que des milliers de juifs auraient quitté la France pour l’Angleterre ces deux dernières années, alors qu’en France, ils nous écrivent que ces mêmes quelques milliers auraient quitté la France… pour les colonies en Palestine…
Mais nous ne leur apprendrons pas que des milliers de milliers, ça donne des millions !
Pourtant seulement un quart des Anglais pense que les juifs sont plus avides d’argent que les autres et ils ne sont même qu’un sixième à considérer que les juifs ont trop de pouvoir dans les médiats, ou encore que ceux qui se disent le « peuple élu » (sic) se croient supérieurs aux autres.
En tout cas, nous ne leur retirerons à aucun prix que pour l’imagination affabulatrice, leurs membres les plus éminents – et les plus bavards – sont peut-être supérieurs à ceux de toutes les autres ethnies de la planète !
… puis seulement « envisagé »
Ainsi, l’histoire de la terrible fuite de milliers d’entre eux vers Albion – abandonnant leur République laissée sans son « avant-garde », la France n’étant dès lors « plus la France » !- découle d’une déclaration de leur grand rabbin d’Angleterre, Ephraïm Mirvis. Ce dernier aurait, en effet, rencontré en France [après la Shoahrlie],
« une communauté juive en état de choc »,
parmi laquelle certains envisageraient de peut-être émigrer.
Remarquons tout d’abord que qualifier une communauté de plusieurs centaines de milliers de personnes au moyen d’une si courte phrase relève d’une généralisation qui frise l’amalgame – voire leur « antisémitisme » ?
Ensuite, nous sommes finalement très loin de l’exode par milliers qui auraient déjà franchi la Manche et qu’annonçaient les gros titres !
Mais un psychanalyste freudien – domaine que « nous devons » également au même type de génie – nous dirait très probablement, dans toute sa sagesse d’ancien enfant scatophile qui facture trois cents euros la séance, que l’interprétation des rêves couplée aux phobies et obsessions de l’enfance permettrait d’expliquer tout ce fatras d’extrapolations autant fantasmagoriques que volontairement manipulatrices et mensongères.
Le « terrorisme » est une occasion supplémentaire de prendre en main les autochtones
Ne perdant pas le Nord, la communauté qui sait tout mieux que tout le monde en arrive inévitablement à parler du terrorisme pour opérer une confusion entre les historiens non conformes, les Palestiniens parqués et l’inévitable « terrorisme ». Il ne restait plus qu’à prendre prétexte de la lutte contre ce dernier, alors que les islamistes qui sévissent en Irak et en Syrie ont déclaré solennellement ne pas s’en prendre à Israël (« complotistes », taisez-vous !), pour s’arroger des privilèges supplémentaires.
Fort de ce raccourci douteux, le grand –lui également !- rabbin de Moscou, Pinchas Goldschmidt cherche à légitimer
« des actions menées par les groupes religieux [sans préciser lesquels] pour aider le combat international contre le terrorisme »,
feignant d’ignorer qui fabrique, arme et finance les vrais terroristes.
Simple réaction ou début d’une reconquête ?
Mais ces déclarations à sens unique, pas plus que les tempêtes médiatiques permanentes ne semblent avoir convaincu les Anglais du British National Party, puisqu’on envisage désormais une manifestation contre la judaïsation et l’oppression anti-Blancs en Angleterre.
Toujours selon leurs propres termes, les organisateurs dénoncent, notamment, les patrouilles d’une police juive qui tend à imposer ses lois talmudiques à tous les habitants des environs où elle sévit officiellement et en pleine rue !
Joshua Bonehill, organisateur en chef, prévoit que cette marche se déroulera le vingt-deux mars prochain, malgré les appels des « antifas » et organisations juives les plus en vue à empêcher les Anglais de s’exprimer publiquement en faveur d’une délivrance de leurs quartiers colonisés et désormais mis en coupe réglée par une police étrangère.
Ceci semble d’autant plus choquant pour ce jeune homme dynamique -qui compte déjà plus de vingt-six mille abonnés sur son compte twitter @VoiceOfBonehill- que les organisations patriotiques anglaises sont, elles, l’objet d’attaques incessantes sur lesquelles personne ne se lamente.
Rendez-vous est donc pris pour le 22 mars à Hackney, dans Clapton Common, un quartier de Londres, d’où partira peut-être un mouvement de reconquête plus général… à moins qu’en Angleterre, la « liberté d’expression » et les « droits de l’homme » ne soient réservés qu’à ceux qui s’en réclament sans cesse ?