Le Canada a été le théâtre ces derniers mois de plusieurs attaques terroristes. En un an, des Canadiens invertis à l’islam, en grande partie par la faute des autorités, ont commis deux attaques meurtrières. Parmi les mafias fortement implantées dans le pays, le lobby juif s’y livre à ses activités habituelles. Personne n’a oublié les persécutions que l’ennemi a organisé contre Ernst Zündel il y a quelques années ou contre le héros ukrainien Vladimir Katriuk il y a quelques mois.
Mais les autorités canadiennes, les mêmes qui organisent la submersion du pays, qui institutionnalisent le racisme antiblanc, favorisent l’avortement de masse, le pseudo-mariage pour les déviants sexuels, etc., luttent contre… « l’extrême droite ».
L’occupant juif a organisé une campagne de haine, largement relayée dans les médiats contre un groupe patriote dénommé Table rase (TR). Celui-ci promeut une vie saine, exalte les héros du Canada (de Jacques Cartier à Adrien Arcand) et d’Europe (un hommage a été réalisé pour les douze combattants de la division Charlemagne massacrés par les tueurs aux ordres de Washington et Moscou à Bad Reichenhall), diffuse des informations d’actualité, des sujets d’histoire (dernièrement sur la bataille du Fort Carillon), des articles de fond sur des problèmes sociétaux, dénonçant le libéralisme, le capitalisme sauvage, les dégâts commis contre la nature, les grands problèmes de santé, le racisme antiblanc, le féminisme, l’homosexualisme et autres maux). Il fait également la promotion de l’armement des citoyens (« Une population armée est une population libre » rappelle un visuel), cette hérésie pour les médiats du système qui détestent quand les peuples peuvent se défendre et qui n’apprécient que de voir les criminels armés.
Le groupe est tellement « d’extrême droite », qu’il évoque Sigmund Freud (juif), Abraham Lincoln (agent des banquiers), Albert Einstein (juif), Albert Camus (communiste), etc.
La page Facebook du groupe avait rassemblé près de 2 000 mentions « j’aime » de patriotes. Et certains de ses membres organisaient également des cours de sport et de défense personnelle.
« On ne peut pas blâmer les Forces canadiennes de ne pas connaître qui sont leurs locataires. Par contre, maintenant, ils sont au courant. Les Forces canadiennes doivent absolument enquêter sur ces soldats »,
a lancé le Juif Steven Silmovitch, avocat du B’naï Brith.
Grâce à ses liens dans les plus hautes instances, l’occupant a réussi à faire enquêter la police militaire sur cette « affaire ». « L’affaire » ? L’un de ces cours se serait déroulé dans le gymnase de la base des forces canadiennes militaire de Valcartier à Saint-Gabriel-de-Valcartier (Québec) avec plusieurs réservistes et comme instructeur un membre des forces canadiennes. Le cours portait sur l’utilisation du tomahawk en situation de combat.
(ou ici)
Pendant ce temps-là, les islamistes peuvent continuer à préparer des attentats et les autres occupants à piller et diriger le pays…