« La redistribution des réfugiés est difficile d’un point de vue organisationnel, mais possible et nécessaire. Il est vrai que pour l’instant le nombre de personnes redistribué dans toute l’Union est symbolique [sic], mais depuis six mois, depuis que la Commission a publié son texte sur l’immigration, a été adopté pour la première fois le principe de solidarité dans un domaine qui était auparavant géré au niveau national »,
s’est réjouie de cette nouvelle avancée fédéraliste Federica Mogherini, la « ministre des Affaires étrangères » de l’Union européenne (UE).
« Tout le monde est conscient du fait que le Règlement de Dublin ne donne pas à l’Union les moyens pour réagir au phénomène de l’immigration, provoquée par les guerres, la pauvreté et les changements climatiques. Aucun pays ne peut gérer le phénomène tout seul. La crise que nous vivons en Europe n’est pas due au nombre de réfugiés venant d’Afrique du Nord ou du Proche-Orient [sic], mais au manque de moyens communautaires »,
a-t-elle mensongèrement affirmé sur le sujet.
« L’inadéquation entre phénomène européen et moyens nationaux est grave. La crise s’aggravera, avec des réactions en chaîne des opinions publiques et des gouvernements nationaux, si on ne se dote pas d’instruments à la hauteur. Il y a le risque de la désintégration »,
a affirmé encore Federica Mogherini, dans le but d’effrayer l’opinion publique alors que le rejet de l’UE n’a jamais été aussi fort, notamment parce que les populations comprennent que non seulement l’UE ne fait rien contre l’invasion, mais l’organise.
« J’ai dit qu’il ne serait pas facile d’appliquer la redistribution, parce que certains pays européens ne possèdent pas d’expérience dans l’hébergement des étrangers. Nous devons donc faire un travail d’accompagnement »,
a encore affirmé la commissaire européenne parlant d’un sujet qui ne la concerne en rien, elle qui en une année a été incapable d’obtenir la moindre avancée ni la moindre influence ni dans le dossier ukrainien, ni sur la question syrienne, ni sur la surveillance généralisée de l’Europe par les États-Unis – et les autres , ni aucun autre grand sujet international.
Comme Angela Merkel a été cadre du parti communiste est-allemand, Federica Mogherini est issue du très stalinien parti communiste italien.