Le Premier ministre du Canada annonce que tous ceux qui ne sacrifieront pas aux idoles de la religion covidiste seront jetés dans les rues pour y mourir de faim et de froid. On appelle ça la démocratie.
Après deux semaines de blocages au Canada, l’Etat fédéral menace les propriétaires de camions d’un gel de leurs comptes bancaires, et d’une suspension de l’assurance de leurs véhicules. En vertu d’une loi d’urgence de 1988, les banques devront revoir leurs relations avec les clients impliqués dans le financement de ces blocages. Les plateformes de crowdfunding sont elles aussi dans le viseur, avec un élargissement des règles anti-blanchiment.
La méthode forte. Au Canada, le gouvernement fédéral a décidé de mettre les banques à contribution pour mettre fin aux blocages « illégaux » menés depuis plus de deux semaines par les opposants à la vaccination et aux restrictions sanitaires liées au Covid.
En réponse à cette énième déclaration de guerre contre le peuple, de nombreux canadiens se précipitent dans les banques pour retirer leur argent.
Depuis le début du siècle, les démocraties occidentales empilent les mesures de contrôle social en les maquillant derrière de faux prétextes auxquels ils accolent l’adjectif « urgent » pour duper (avec succès) la plèbe : état d’urgence sanitaire, état d’urgence terroriste, état d’urgence climatique, … Le but ultime est toujours le contrôle. Le bien commun n’intéressent nullement les représentants des cartels bancaires, industriels et pharmaceutiques qui dirigent l’Ouest.
C’est pourquoi, cette tyrannie sanitaire ne prendra pas fin toute seule. L’objectif à peine dissimulé est d’arriver à un système de crédit social à la chinoise grâce notamment à la numérisation à outrance. L’identité numérique, l’euro numérique, le passeport sanitaire numérique ou encore le passeport climatique qui pointe le bout de son nez, sont les outils de l’asservissement des peuples européens.
Nous devons continuer de résister par la pratique de la solidarité au sein de nos communautés, par la désobéissance civile, par la contestation dans la rue, et enfin en augmentant nos capacités de résilience pour s’extirper de la tutelle de l’Etat voyou qui veut nous détruire.
Oscar Walter
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