Canada : le terroriste de Québec est un identitaire « judéo-compatible »
Alexandre Bissonnette, un étudiant de 27 ans, a pénétré dimanche dans une mosquée, située dans le quartier Sainte-Foy de Québec et a ouvert le feu sur des fidèles réunis pour la dernière prière du soir. Il s’est ensuite enfui en voiture mais, pris de remords une demi-heure plus tard, il a appelé la police. « Il était armé et parlait de ce qu’il venait de faire », a déclaré l’inspecteur de police Denis Turcotte, ajoutant qu’il voulait se rendre.
L’attentat a fait six morts et dix-neuf blessés, dont cinq grièvement, dans ce Centre culturel islamique de Québec, considéré comme la grande mosquée de la capitale québécoise. Les six personnes tuées étaient toutes des envahisseurs à papiers canadiens, désignés comme « binationaux » par Mohamed Labidi, vice-président du Centre culturel islamique de Québec : un Marocain, deux Algériens, un Tunisien et deux Guinéens.
Le tireur a comparu au Palais de justice de Québec lundi en fin d’après-midi et reviendra devant la cour le 21 février. Il fait face à onze chefs d’accusation, six pour meurtres avec préméditation et cinq pour tentatives de meurtre à l’aide d’une arme à feu. La police a précisé qu’il pourrait encore être accusé d’« acte terroriste » et d’« atteinte à la sécurité nationale ».
En début d’après-midi, à Ottawa, le premier ministre canadien, Justin Trudeau, a profité de la reprise des travaux parlementaires pour inviter à une minute de silence après avoir rappelé qu’« un tel acte de violence n’a pas sa place dans la société canadienne ». Plus tôt dans la journée, il avait condamné cet « attentat terroriste ». Il s’est ensuite rendu à Québec pour participer à une veillée en hommage aux victimes près de la mosquée, puis à une rencontre avec la communauté musulmane locale.
Toute la journée, alors que la sécurité était renforcée aux abords des mosquées du pays, les appels à la solidarité, à la fraternité et à la tolérance ont été lancés par les élus canadiens et les représentants musulmans. « On est tous dans le chagrin », a dit le premier ministre québécois, Philippe Couillard.
Les avis divergent sur le tempérament de ce « loup solitaire ». Mais des éléments incontestables percent malgré tout. Selon le journal de référence canadien « The Globe and Mail », Alexandre Bissonnette s’est intéressé aux mouvances d’extrême droite au moment de la visite de Marine Le Pen à Québec, au mois de mars 2016. Il se serait « radicalisé » politiquement à la suite de cet événement. Quoi qu’il en soit, les médiats, tel le journal « Le Monde », décrivent à peu près tous Bissonnette comme « pro-Israël, pro-Trump, anti-féministe », qui « octroyait régulièrement la mention « j’aime » aux pages Facebook du nouveau président américain et de Marine Le Pen », tout en notant que « il ne semblait cependant faire partie d’aucun groupe de droite radicale connu. »
Pro-Trump, pro-Le Pen, pro-Israël et admirateur de Tsahal, qualifié de « terroriste d’extrême-droite », Alexandre Bissonnette est en réalité un identitaire judéo-compatible, ayant agi sous l’influence d’une idéologie « islamophobe ». Une idéologie de défiance irraisonnée envers l’islam (et lui seul) qui est tolérée voire encouragée par les forces mondialistes. En effet elle permet de susciter ou manipuler ce type d’idiots utiles, tels que Bissonnette ou Breivik (protestant, sioniste et franc-maçon), qui in fine servent le projet mondialiste.
Leurs passages à l’acte désorganisés sont insusceptibles de changer le cours de l’histoire dans le sens espérés. En revanche ils offrent de parfaits prétextes aux forces immigrationnistes et mondialistes :
– pour faire la promotion des pseudos vertus de « tolérance » et de « vivre-ensemble » et du pseudo modèle de société multiculturelle, multiraciale et métissée ;
– pour justifier l’adoption de législations toujours plus sécuritaires et liberticides qui finissent par s’appliquer contre les mouvements nationalistes, véritables opposants au système oligarchique en place.