Le 26 juin dernier, Boris Johnson au G7 avait ridiculement proposé de tomber la veste et la chemise afin de s’exhiber et de « montrer que nous sommes plus musclés que Poutine ». Même le journal de référence de la bien-pensance, Le Monde, avait commenté les rodomontades de Johnson en ces termes : « Il paraissait le plus débraillé de tous. Le cheveu fou, le pantalon tombant sur la taille, la chemise largement déboutonnée, visiblement humide et ostensiblement plaquée contre le ventre, il confirme, à l’occasion de cette photo, le théorème selon lequel sa présence dans une assemblée rend mécaniquement tout le monde un peu plus élégant qu’il ne l’est ».
En visite à Téhéran il y a quelques jours, Vladimir Poutine a implicitement répondu en se moquant des dirigeants du G7 : le président de la Fédération de Russie a lié la crise énergétique en Occident à une soif de « relations non conventionnelles »… En clair, vouloir remplacer le pétrole, le gaz et le nucléaire par le solaire, l’éolien, la biomasse ou les smart grids (et autres gadgets du même genre), c’est comme vouloir accorder aux unions stériles des LGBTQ la même place que celle de la famille naturelle et traditionelle dans une société.
La crise énergétique dans les pays européens est liée à leur approche des « relations non conventionnelles ». Cette conclusion a été faite par le dirigeant russe Vladimir Poutine.
Poutine estime que l’Occident a inutilement choisi des moyens alternatifs d’obtenir des ressources énergétiques, abandonnant les moyens traditionnels. Il s’agit d’utiliser le vent et le soleil.
« Je l’ai dit plusieurs fois. Je ne sais pas s’il est judicieux d’entrer dans les détails de la politique énergétique des pays européens. Ils ont négligé l’importance des sources d’énergie traditionnelles, en choisissant des sources non traditionnelles », a déclaré le président.
Selon Poutine, les Européens sont des experts majeurs des liens non traditionnels, de sorte que la politique énergétique est construite sur ce principe.
Et pendant ce temps-là, la Douma d’État russe (équivalent de notre Assemblée nationale) va examiner un projet de loi interdisant toute « propagande LGBT » dans les médias. Cette législation atteindra toutes les représentations de « relations sexuelles non traditionnelles », et complète celle de juin 2013 qui interdisait ce type de contenu uniquement auprès des mineurs.
Poutine est un récidiviste sur ce sujet, rappelons qu’il a décrété jour férié le 8 juillet, fête de la famille, de l’amour et de la fidélité
https://jeune-nation.com/actualite/geopolitique/vladimir-poutine-decrete-jour-ferie-le-8-juillet-journee-de-la-famille-de-lamour-et-de-la-fidelite
Des familles qui se chauffent comme il faut à l’électricité nucléaire et bientôt avec celle de Cadarache.
En matière de liberté, ces lois voulues par Poutine renvoient l’occident et la Russie dos à dos, puisque, dans les deux cas, elles interdisent de promouvoir ou défendre un type de sexualité.
On remarquera cependant que, dans le cas de la Russie, sont interdites les remises en question des bases de la famille et la natalité…
Alors qu’en occident, c’est la défense de la famille et de la natalité qui se trouve frappée d’interdit !
Mais, si ces lois nous interdisent d’exprimer une opinion, peut être ne pourra-t-on nous reprocher de conseiller la lecture d’un livre dont l’auteur, Rachel Carson, est considérée comme l’une des femmes les plus influentes du XXème siècle, suite à la parution du « Printemps silencieux », ouvrage traduit dans 16 langes et édité à plus de deux millions d’exemplaires.
Ouvrage dans lequel elle met en évidence que les « relations non conventionnelles », célébrées en occident comme un libre choix de société, sont au contraire les conséquences de l’action des perturbateurs endocriniens, tels que les polychlorobiphényles, sur les processus de reproduction des espèces qui y sont exposées.
Ce n’est pas moi qui le dit, bien sur, ni Jeune Nation, mais celle que l’on considère comme la fondatrice de la prise de conscience écologique moderne.
Et remarquez, messieurs les censeurs, que j’ai évité de parler de pathologie…
LGBTS sont des tendances marginales avec lesquelles on entend détruire et remplacer le principal:
la famille.
L’éolien, le solaire et la biomasse (ESB!) sont de même des énergies marginales avec lesquelles on entend remplacer le principal: le pétrole et le nucléaire.
Comme on le dit de la théorie marginaliste en économie: c’est la queue qui agite le chien.