Le convoi de la liberté grossit de jours en jours, et sur les routes des dizaines de milliers de canadiens acclament les libérateurs qui veulent abattre la tyrannie covidiste !
Jeudi 27 janvier, des dizaines d’habitants de Toronto ont manifesté leur soutien aux routiers canadiens en se massant sur un pont enjambant l’autoroute 401, qui relie Toronto à Montréal. Ils protestaient contre l’obligation vaccinale pour les métiers essentiels, en vigueur depuis le 15 janvier au Canada et le 22 janvier aux Etats-Unis.
Plusieurs centaines de camionneurs se sont élancés le 23 janvier depuis Vancouver, sur la côte Pacifique, au sein d’un convoi, baptisé « convoi de la liberté », vers la capitale fédérale à quelque 4 400 km plus à l’est pour protester contre cette obligation. Le Canada et les Etats-Unis imposent le passeport vaccinal pour traverser cette frontière, longue de près de 9 000 km. Les autorités américaines menacent les éventuels contrevenants d’interdiction permanente du territoire, alors que le Canada impose aux routiers non vaccinés revenant des Etats-Unis une quarantaine de 14 jours.
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Comme tous les technocrates mondialistes, Justin Trudeau craint le peuple. S’il était lâché dans les rues sans sa garde rapprochée de mercenaires, nul doute que sa tête finirait au bout d’une pique en moins de dix minutes. C’est pourquoi, prétextant une contamination au rhume19, il a pris la fuite et a été exfiltré avec sa famille dans un lieu tenu secret. Depuis son bunker, le déserteur s’en est pris au « convoi de la liberté ». Dans un message vidéo enregistré depuis son bunker, il a accusé le convoi des camionneurs de rhétorique haineuse et de violence envers les citoyens. Il a ajouté qu’il préférait soutenir les manifestations antiblancs de Black Lives Matter …
Le mouvement canadien s’exporte en Europe. Un convoi pour la liberté et contre la tyrannie sanitaire s’organise sur le vieux continent, destination Bruxelles le 7 février.
Nous roulerons bientôt sur les cadavres fumants des démocraties.
Oscar Walter